CivilisationHistoire

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (9)

Les actes des communications des sessions du centre d’études historiques paraissent une fois par semaine, chaque samedi. Les liens des communications en bas de page.

Centre d’Etudes Historiques

1661, la prise de pouvoir par Louis XVI.

Actes de la XVIIIe session du Centre d’Études Historiques (7 au 10 juillet 2011)

Collectif, Actes dela XVIIIe session du Centre d’Études Historiques, 1661, la prise de pouvoir par Louis XIV, CEH, Neuves-Maisons, 2012, p.119-162.

Par l’abbé Christian-Philippe Chanut

L’Assemblée générale du Clergé de 1654 n’entérine pas moins la condamnation des cinq propositions, puis celle de 1655 prescrit la signature d’un formulaire qui condamne Jansénius, sauvegardant toutefois explicitement la doctrine de saint Augustin[1]. Sur le moment, la démonstration d’Antoine Arnauld n’a pas grand succès, mais le formulaire n’en a pas davantage (il reste lettre morte dans bien des diocèses). Naturellement, les antijansénistes, emportés par leur élan, vont trop loin, accumulant contre leurs adversaires des facta à caractère politique qui finissent par lasser l’opinion. Le sommet de la calomnie et de l’abjection est atteint par la « Relation juridique de ce qui s’est passé à Poitiers touchant la nouvelle doctrine des jansénistes » (1654) de Filleau de La Bouchetterie (avocat au présidial de Poitiers) qui invente la fable souvent répétée d’une conjuration ourdie en 1620, à la chartreuse de Bourgfontaine (près de Villers-Cotterets), par Jansénius et Saint-Cyran[2], pour ruiner la foi en l’Eucharistie afin d’instaurer le déisme.

Sur ces entrefaites, à Paris, le 1er février 1655, M. Picoté, vicaire à Saint-Sulpice, refuse l’absolution au duc de Liancourt[3], ami notoire de Port-Royal, qui ne veut point rompre ses relations avec ses amis jansénistes. Trois semaines plus tard, Antoine Arnauld fait paraître la « Lettre à une personne de condition » (24 février 1655) à quoi répondent une dizaine de libelles contradictoires. À la fin du mois d’août 1655, Antoine Arnauld publie la « Seconde lettre à un duc et pair » (rédigé le 10 juillet 1655), adressée au duc de Luynes[4], où (si l’on peut dire) il résume le jansénisme[5], non sans redire que les cinq propositions ne sont pas dans l’œuvre de Jansénius.

La polémique reprenant de l’ampleur, Antoine Arnauld profite de son avantage pour déférer la question au Pape (27 août 1655), ce qui n’empêche pas la Sorbonne, dont le nouveau syndic, M. Guyard (élu le 1er octobre 1655), est un affidé des Jésuites, d’examiner la « Seconde lettre à un duc et un pair » et d’en condamner deux propositions : celle qui dit que les cinq propositions ne sont pas dans l’ « Augustinius », et celle qui dit que saint Pierre dans son reniement est un juste auquel la grâce a manqué. Antoine Arnauld, dans des conditions douteuses, est exclu de la Sorbonne, en février. Le mois suivant, le Ciel semble lui-même venir au secours de la cause du Grand Arnauld par le miracle de la Sainte-Épine, le jour même où l’introït de la messe disait : « Fais un signe en ma faveur afin qu’ils voient » (24 mars 1656, vendredi de la troisième semaine de Carême)[6].

Au moment où Arnauld a été exclu de la Sorbonne, Blaise Pascal[7] a déjà commencé la publication anonyme (son anonymat ne sera percé qu’en 1659) des lettres qui deviendront les « Provinciales » dont la première est datée du 23 janvier 1656 (« Lettres de Louis de Montalte à un provincial de ses amis et aux Révérends Pères Jésuites sur le sujet de la morale et de la politique de ces Pères »). Ses deux principales cibles sont la « Somme des péchés » du R. P. Bauny qui été mise à l’index en 1640, et le « Liber theologia moralis » (1644) où le R. P. Escobar a compilé les maximes de vingt-quatre casuistes de la Compagnie de Jésus. Le style drôle et mondain des « Provinciales » leur assure un énorme succès qui, dépassant très largement le monde universitaire, amuse les beaux esprits ; en même temps et pour longtemps, les « Provinciales » donnent des arguments aux parlementaires et aux clercs séculiers qui, très attachés aux libertés de l’Église gallicane, sont hostiles à la Compagnie de Jésus, regardée comme leur pire adversaire.

À l’origine, les « Provinciales » sont conçues pour dénoncer la condamnation d’Antoine Arnauld et pour exposer les problèmes de la grâce, dès la cinquième lettre, Pascal entame une violente dénonciation de la morale laxiste des casuistes jésuites qui proposent « le ciel à bas prix et une vie sans contraintes »[8]. Pascal est moins scandalisé par les opinions probables, souvent ridicules et parfois révoltantes, des laxistes (autorisation du vol, de l’usure, de la banqueroute frauduleuse, du duel, de l’assassinat et de la désobéissance envers les supérieurs, marchandage sur l’amour de Dieu) que par la manière dont ils substituent la satisfaction de l’amour propre à la recherche sincère du sûr par amour de Dieu.

Alors que l’assemblée générale du Clergé, alertée par des curés de Paris et de Rouen qui ont vérifié les citations des « Provinciales » (4 septembre 1656), vient de condamner la morale laxiste (27 octobre 1656), le jésuite Pirot publie une maladroite « Apologie pour les casuistes » pour justifier les maximes laxistes incriminées dans les « Provinciales ». Se déchaîne alors une vaste campagne d’écrits (plusieurs sont de Pascal) dont le « Factum pour les curés de Paris » contre le « Scandale » et « la témérité incroyable » de la morale jésuite (1658), qui aboutit à la condamnation de l’« Apologie pour les casuistes » par la Sorbonne et par le Saint-Office.

Les jésuites Annat et Nouet[9] qui s’efforcent de répondre aux « Provinciales » n’ont guère de succès, mais un de leurs confrères, le R. P. François Annat, a l’honneur discuté de se voir adresser directement les deux dernières (17ème et 18ème). Pendant que les « Provinciales » amusent et instruisent la place publique au détriment des Jésuites, M. Arnauld, M. Nicole[10] et Pascal se cachent et fourbissent leurs armes doctrinales dans la clandestinité. Il n’empêche que, le 16 octobre 1656, dans la bulle « Ad sacram », Alexandre VII Chigi affirme que les cinq propositions sont bel et bien dans l’« Augustinus », et qu’elles ont été condamnées au sens où Jansénius les a entendues. Reçue par l’assemblée générale du Clergé de France (17 mars 1657) et enregistrée au Parlement avec la bulle « Cum Occasione » (19 décembre 1657), la bulle « Ad sacram » outre qu’elle met un point final à la campagne des « Provinciales » (la dernière est datée du 4 décembre 1656), oblige surtout le parti janséniste à se déterminer précisément. Antoine Arnauld se retranche dans la distinction du droit et du fait : il adhère à la condamnation des propositions hérétiques (le droit) mais soutient qu’elles ne sont pas dans l’« Augustinus » (le fait) ; le Pape s’est trompé mais il s’engage à garder un silence respectueux par déférence envers le chef de l’Église.


[1]  « Je me soumets sincèrement à la constitution de Notre Saint-Père le pape Innocent X du 31 mai 1653 selon son véritable sens expliqué par l’assemblée de Messeigneurs les Prélats de France du 28 mars 1654 et confirmé depuis par le bref de Sa Sainteté du 29 septembre de la même année. Je reconnais que je suis obligé en conscience d’obéir à cette constitution et je condamne de cœur et de bouche la doctrine des cinq propositions de Cornelius Jansénius contenue dans son livre intitulé Augustinius que le Pape et les évêques ont condamné, laquelle doctrine n’est point celle de saint Augustin, que Jansénius a mal expliquée, contre le vrai sens de ce saint docteur. »

[2] Outre Jansénius et Saint-Cyran, Filleau y met l’évêque de Belley (Jean-Pierre Camus), Arnaud d’Andilly, l’évêque de Lisieux (Cospean) et un conseiller au Grand Conseil (Simon Vigor).

[3] Roger du Plessis (1598-1674), second fils de Henri de Silly, et d’Antoinette de Ponse (morte en 1632), fut un compagnon d’enfance de Louis XIII qui le fit premier gentilhomme de la chambre du Roi, chevalier du Saint-Esprit (reçu le 14 mai 1633), duc de La Rocheguyon et pair de France, Marquis (1674) puis duc de Liancourt, Marquis de Montfort, puis Seigneur de Liancourt, puis duc de la Rocheguyon et pair de France, Marquis de Liancourt, Marquis de Guercheville et Comte de Beaumont. Amateur d’art et protecteur des lettres, d’abord lié au courant libertin, il évolue vers le jansénisme sous l’influence de sa femme Jeanne de Schomberg (1600-1674) qu’il avait épousée le 24 février 1620. Il mourut à Paris le 1er août 1674.

[4] Louis-Charles d’Albert (né à Paris le 25 décembre 1620-1690), duc de Luynes et pair de France à la mort de son père (15 décembre 1621), duc de Chevreuse, grand fauconnier de France (1643-1650). Il mourut à Paris le 20 octobre 1690.

[5] C’est dans la « Seconde lettre à un duc et pair » que M. Arnauld présente saint Pierre dans son reniement comme un juste auquel la grâce a manqué.

[6] Il y avait à Port-Royal de Paris une jeune pensionnaire de dix à onze ans, nommée Mlle Périer, fille de M. Périer, conseiller à la cour des aides de Clermont, et nièce de M. Pascal. Elle était affligée depuis trois ans d’une fistule lacrymale au coin de l’œil gauche. Cette fistule, qui était fort grosse au dehors, avait fait un fort grand ravage en dedans. Elle avait entièrement carié l’os du nez, et percé le palais, en telle sorte que la matière qui en sortait à tout moment lui coulait le long des joues et par les narines, et lui tombait même dans la gorge. Son œil s’était considérablement rapetissé ; et toutes les parties voisines étaient tellement abreuvées et altérées par la fluxion, qu’on ne pouvait lui toucher ce côté de la tête sans lui faire beaucoup de douleur. On ne pouvait la regarder sans une espèce d’horreur ; et la matière qui sortait de cet ulcère était d’une puanteur si insupportable que de l’avis même des chirurgiens on avait été obligé de la séparer des autres pensionnaires, et de la mettre dans une chambre avec une de ses compagnes beaucoup plus âgée qu’elle, en qui on trouve assez de charité pour bien lui tenir compagnie. On l’avait fait voir à tout ce qu’il y avait d’oculistes, de chirurgiens, et même d’opérateurs plus fameux ; mais les remèdes ne faisaient qu’irriter le mal, comme on craignait que l’ulcère ne s’étendit sur tout le visage, trois des plus habiles chirurgiens de Paris, Cressé, Guillard et Dalencé, furent d’avis d’y appliquer au plus tôt le feu. Leur avis fut envoyé à M. Périer, qui se mit aussitôt en chemin pour être présent à l’opération ; et on attendait de jour à autre qu’il arrivât (…) Dans ce même temps, il y avait à Paris un ecclésiastique de condition et de piété M. de la Potherie, qui, entre plusieurs saintes reliques qu’il avait recueillies, prétendait avoir une des épines de la couronne de Notre Seigneur (…) Les religieuses ayant donc reçu cette sainte épine, la posèrent au-dedans de leur chœur sur une espèce de petit autel contre la grille ; et la communauté fut avertie de se trouver à une procession qu’on devait faire après vêpres en son honneur. Vêpres finies, on chanta les hymnes et prières convenables à la sainte couronne d’épines et au mystère douloureux de la Passion ; après quoi elles allèrent, chacune en leur rang, baiser la relique, religieuses professes les premières, ensuite les novices, et les pensionnaires après. Quand ce fut le tour de la petite Périer, la maîtresse des pensionnaires, qui s’était tenue debout auprès de la grille pour voir passer tout ce petit peuple, l’ayant aperçue, ne put la voir, défigurée comme elle était, sans une espèce de frissonnement mêlée de compassion, et elle lui dit : « Recommandez-vous à Dieu, ma fille, et faites toucher votre œil malade à la sainte épine. » La petite fille dit ce qu’on lui dit, et elle a depuis déclaré qu’elle ne douta point, sur la parole de sa maîtresse, que la sainte épine ne la guérît. Après cette cérémonie, toutes les autres pensionnaires se retirèrent dans leur chambre. Elle n’y fut pas plus tôt qu’elle dit à sa compagne : « Ma sœur, je n’ai plus de mal, la sainte épine m’a guérie. » En effet, la religieuse l’ayant regardée avec attention, trouva son œil gauche tout aussi que l’autre sans matière et même sans cicatrice (Jean Racine : « Abrégé de l’histoire de Port-Royal »).

[7] Pascal rencontre l’augustinisme à Rouen (1646) grâce à deux médecins de son père, les frères Deschamps, qui lui font lire Saint-Cyran et peut-être Jansénius, dont il est si fortement frappé que, dans sa famille dont la foi a été jusqu’alors tiède, il engendre un mouvement de ferveur qui touche particulièrement sa sœur Jacqueline. Cette première conversion le conduit d’une foi médiocre à une piété ardente. Quand Pascal convalescent regagne Paris avec Jacqueline (1647), ses contacts avec Port-Royal deviennent fréquents. Mais, après la mort de son père et l’entrée de sa sœur à Port-Royal, commence la « période mondaine » où il cherche sa voie du côté des sciences et de la vie en société. Quelques années suffisent cependant pour qu’une grande sécheresse spirituelle le saisisse. La crise se dénoue dans la nuit du 23 novembre 1654, par une expérience mystique du « Dieu sensible au cœur » dont Pascal garde le souvenir dans le « Mémorial » cousu dans la doublure de son vêtement. Dès lors, Pascal se lie très étroitement au groupe de Port-Royal, où il tient une place importante. Pour Pascal, la vérité chrétienne tient le milieu entre les erreurs contraires du calvinisme et du pélagianisme. À l’origine, Dieu veut sauver tous les hommes, et accorde à Adam la grâce nécessaire pour faire à volonté le bien ou le mal ; librement commis par l’homme, le péché originel blesse gravement sa nature, détournant son cœur de Dieu pour le soumettre à la concupiscence, désir de tout pour soi engendre en l’homme une délectation dans le mal à laquelle il cède infailliblement. Par une miséricorde gratuite, Dieu choisit, dans la masse digne de perdition, des personnes auxquelles il accorde une grâce qui fait naître dans le cœur une délectation dans le bien qui rompt les chaînes de la concupiscence, et leur permet d’accomplir librement ses commandements. Pour Pascal, comme pour Saint-Cyran, la conversion engendre un renouvellement profond de l’âme, entièrement tournée vers Jésus-Christ : elle s’accommode mal d’une foi tiède.

[8] Outre la « Somme des péchés » du P. Bauny, Pascal vise le « Liber théologia moralis » (publié en 1644) où le P. Escobar a compilé les maximes de vingt-quatre casuistes de la Compagnie de Jésus.

[9] P. Jacques Nicolet : « Réponses aux Lettres Provinciales publiées par le Secrétaire du Port-Royal contre les PP. de la Compagnie de Jésus sur le sujet de la morale desdits Pères ».

[10] Pierre Nicole (né à Chartres le 13 octobre 1625) reçut de son père une parfaite connaissance du grec et du latin. Reçu au collège d’Harcourt (1642), il fut maître ès art (1644). Attiré à Port-Royal par deux proches parentes, il y fut un des maîtres des petites écoles (1646) tout en poursuivant des études de théologie en Sorbonne qu’il abandonna à cause de l’affaire des cinq propositions. De 1649 à 1649 Nicolas étudie l’hébreu, mais sa mauvaise vue le contraignit de modérer son ardeur au travail. Fermement augustinien, quand survint la dispersion des petites écoles du faubourg Saint-Jacques, il rejoignit les Granges où il enseigna jusqu’en 1656. En novembre-décembre 1656 il demeura chez le duc de Luynes pour élaborer avec Pascal la 16ème « Provinciale » ; en 1657, il rassembla les dix-huit lettres en un volume dont il rédigea l’avertissement ; au printemps 1658 il fit paraître une traduction latine des « Provinciales », avec commentaires et additions, sous le pseudonyme de Guillaume Wendrock. Aux petites écoles, Nicole enseignait « la philosophie et les humanités », mais aussi le latin. À partir de l’été 1654, il collabora avec Antoine Arnauld. En 1662 ils firent paraître « La Logique ou L’Art de penser », une des œuvres majeures du siècle. Nicole réclama la distinction du fait et du droit, dans ses dix « Lettres sur l’hérésie imaginaire » (1664-1665) et ses huit lettres sur « Les Visionnaires ». Il rédigea des ouvrages contre les spiritualités mystiques, contre la compagnie du Saint-Sacrement et contre les calvinistes. Pour répondre aux arguments du pasteur Jean Claude, il écrivit « La Perpétuité de la foi dans l’Église catholique touchant l’Eucharistie » (1664) ; le pasteur Claude ayant répondu, Nicole et Arnauld firent paraître les trois gros volumes sur « La Perpétuité de la foi » (1669, 1672, 1674). Durant la paix de l’Église (1668-1679), Nicole qui s’était dégagé de la tutelle d’Arnauld, publié « Le Traité de l’éducation d’un prince » (1670), les « Essais de morale qui doivent guider les chrétiens dans les difficiles chemins de la vie quotidienne » qui enchantèrent Mme de Sévigné. En 1677, il traduisit en latin la lettre des évêques de Saint-Pons et d’Arras qui dénonçaient « les monstrueuses erreurs des casuiste » au pape Innocent XI. En 1679, il se retira en Flandre avec la volonté de se tenir à l’écart des querelles théologiques. Il refusa de s’unir à Arnauld qui le rejoignit à Bruxelles, pour continuer les polémiques. Le 6 juillet 1679, il écrivit à l’archevêque de Paris pour l’assurer de son éloignement « de toutes sortes de contestations ». Il put entrer en France (1680) et paraître à Paris (1683). Il écrivit alors contre les calvinistes « Les Prétendus réformés convaincus de schisme » (1684) et « De l’unité de l’Église » (1687). Il compléta ses « Essais de morale » par des « Réflexions morales sur les épîtres et sur les évangiles », revint sur les problèmes de la grâce dans un « Traité de la grâce générale » (1691) qui marquait sa rupture avec Arnauld, poursuivit ses méditations spirituelles dans un « Traité de la prière » (1695). Il combattit les quiétistes dans sa « Réfutation des principales erreurs quiétistes » (1695). Par ailleurs il créa pour les filles pauvres des petites écoles à Troyes. Il mourut d’apoplexie le 16 novembre 1695.

Communications précédentes :

Préface : http://vexilla-galliae.fr/civilisation/ histoire /2653-ceh-xviiie-session-preface-de-monseigneur-le-duc-d-anjou

Avant-Propos : http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2654-ceh-xviiie-session-avant-propos

 La rupture de 1661 (1/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2663-la-rupture-de-1661-2-3

La rupture de 1661 (2/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2664-la-rupture-de-1661-2-3

La rupture de 1661 (3/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2684-ceh-la-rupture-de-1661-3-4

De Colbert au patriotisme économique (1/3)

De Colbert au patriotisme économique (2/3)

De Colbert au patriotisme économique (3/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2693-ceh-de-colbert-au-patriotisme-economique-3-3

1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (1/3) 

1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (2/3)

1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (3/3): https://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/ceh-1661-transfert-de-la-cour-des-aides-de-cahors-a-montauban-3-3/

Permanence des révoltes antifiscales, 1653-1661 (1/3)

Permanence des révoltes antifiscales, 1653-1661 (2/3)

Permanence des révoltes antifiscales, 1653-1661 (3/3)

Découverte et esprit scientifique au temps de Louis XIV (1/2)

Découverte et esprit scientifique au temps de Louis XIV (2/2)

Louis XIV au Château de Vincennes (1/3)

Louis XIV au Château de Vincennes (2/3) 

Louis XIV au Château de Vincennes (3/3) 

1661 et les arts : prise de pouvoir ou héritage ? (1/2)

1661 et les arts : prise de pouvoir ou héritage ? (2/2)

La collection de tableaux de Louis XIV

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (1)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (2)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (3)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (4)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (5)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (6)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (7)

Du cardinal Mazarin et du Jansénisme (8)

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