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Point de situation en Ukraine, par Antoine Michel

 

L’opération spéciale en Ukraine continue, la guerre artificiellement nourrie par le sang des Ukrainiens et autres mercenaires, et les armes américaines.

 

Cet article ne vise pas à analyser tout en détail, ni à se prétendre grand connaisseur du terrain : il a pour humble but d’évoquer certains traits qui ne sont pas soulevés parmi les bons observateurs de la situation, ou peu mis en valeur.

 

Rappelons les faits récents et saillants : les troupes kiéviennes lancent des contre-attaques à corps perdu un peu partout depuis septembre, et ont regagné du terrain.

La Russie a mobilisé la réserve dans la foulée des contre-attaques, le tout concomittant avec les référendums dans les quatres provinces qui ont demandé leur rattachement à la fédération de Russie (pour les deux régions encore ukrainiennes, d’abord leur indépendance, puis leur rattachement), et le parlement russe a accepté de les intégrer.

 

Les frontières russes ont ainsi changé, et nominalement une partie du territoire russe est sous occupation ukrainienne : la guerre continuera tant que les russes n’auront pas sécurisé leurs nouvelles frontières, a priori.

 

Sinon, les américains jouent la guerre nucléaire : Biden a changé la doctrine en avril et abolit la règle du « don’t use first ». Poutine fait les choses biens, et il affirme et réaffirme quejamais il n’utilisera l’arme nucléaire, et que jamais la Rusie n’honnera pas ses contrats (pour le gaz, etc).

 

Les forces atlantistes sabotent les gazoducs, pour augmenter la pression sur l’Europe et le Kremlin (Biden qui annonçait en Février qu’il ferait en sorte que ce gazoduc ne livre plus de gaz !).

 

Bref, la situation se complique et s’enlise.

 

Que penser de tout cela ?

 

Il semble que les contre-offensives ukrainiennes sont – espérons-le – une sorte de va-t-ou pour tenter un coup décisif au moment des référendums, et donc de la perte définitive d’une partie de son territoire. La coïncidence est trop forte : ces référendums ont été préparés, et on n’organise pas ce genre de chose en une semaine. Les contre-attaques kiéviennes arrivent pile à ce moment, comme pour les empêcher, ou les noyer sous des succès militaires – il est probable que les autorités ukrainiennes étaient au courant de la préparation de ces référendums.

De la même façon, on ne peut pas ne pas avoir l’impression que les kiéviens tentent le tout pour le tout avant que l’armée de réserve russe n’arrive : cette armée de réserve va complétement changer le rapport de force humain sur le terrain.

 

De plus, l’hiver arrive très vite là-bas, donc beaucoup de choses devraient se jouer dans le mois, avant que tout soit « gelé » pendant l’hiver, interdisant tout grand mouvement jusqu’au printemps prochain.

 

La situation est globalement inquiétante : les États-Unis et ses affidés mondialistes montrent tous les jours leur obsession de pousser à la guerre totale et mondiale. Menaces nucléaires délirantes, qu’on n’aurait pas pu imaginer même en 100 fois moindres durant la guerre froide (le premier ministre anglais qui déclare qu’il n’hésiterait pas à user de l’arme nucléaire même si cela signifiait d’annihiler tout le monde !). Depuis le début, toutes les tentatives de négociations entre Kiev et Moscou ont été mis en échec de force par les américains et autres mondialistes.

 

Les Polonais se fourvoient méchamment, en fonçant tête baissée dans d’anciennes haines, et en affaiblissant d’autant une portion encore vivante de la chrétienté, et cela pour servir le mauvais camp !

 

Le changement de frontière rend la continuation de la guerre inéluctable.

 

La seule solution, c’est que la Russie gagne vite et fort. Toute voie diplomatique semble impossible aujourd’hui. Et la volonté, honorable, de vouloir limiter au maximum les pertes russes, comme si nous étions en Syrie ou en Afrique, allonge la guerre de façon dangereuse : les mondialistes trouvent là le prétexte, certes faux, pour accentuer la dictature dans les pays occidentaux, justifier la faillite qu’ils ont eux-mêmes provoqués tant au plan énergétique que financier.

 

Alors prions pour une victoire russe forte, avantageuse et rapide !

Et prions pour que les vérités deviennent si éclatantes que personne ne puisse plus les ignorer !

Prions plus que tout pour que ces fous satanistes n’appuient sur le bouton nucléaire, préférant tout détruire plutôt que de reconnaître leur défaite, déjà actée !

 

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Antoine Michel

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