Politique

Laurence Rossignol et vos enfants

« Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l’Etat ».

Déclaration de Laurence Rossignol, sénatrice socialiste de l’Oise. Le nauséabond fumet du stalinisme et des jeunesses embrigadées dans les appareils d’Etat des régimes autoritaires enveloppe la France.

La vie des parents souhaitant apporter une éducation vraiment catholique à leurs enfants est sans cesse endurcie par les menées socialistes, l’Etat voulant mettre la main sur les enfants. On connaissait les personnalités Soixante-Huitardes qui mettaient la main sur les enfants de la manière la plus ignoble et la plus impunie. On connaissait les désirs malsains de l’Etat socialiste désirant accomplir les utopies communisantes de nouvelle humanité toute lisse et parfaitement formatée aux modèles imposés par le gouvernement et ses maîtres à penser.

On ne connaissait pas encore cette sénatrice, qui finalement n’a fait que de dire tout haut ce qui se trame depuis des décennies. Où en serons-nous demain ? Devrons-nous devenir hors-la-loi pour enseigner la religion aux enfants ? En Allemagne déjà, des enfants ont été enlevés de force à leurs parents qui faisaient l’école à la maison.

Il pourrait être étonnant de constater que cette sénatrice a deux enfants. Mais elle aura la note maximale aux tests qui seront probablement menés sur les parents prochainement. Portant sur la conscience de la nécessité d’inoculer la perversité aux enfants dès le plus jeune âge : faites des cœurs vicieux, vous n’aurez plus de catholiques.

La sénatrice n’en est pas à son premier exploit : agressée et volée à Compiègne en plein jour, elle s’est scandalisée que personne ne vienne la secourir. Ce n’est pas comme si cette parlementaire, par ses responsabilités, faisait vivre le système profondément défectueux qu’est la république. Elle ne semble pas se rallier aux vraies solutions contre l’insécurité, qui ont déjà été énumérées mais qu’il convient toujours de rappeler : permission aux forces de l’ordre de faire leur métier sans crainte excessive de la « bavure », remise en cause totale et rétroactive de l’immigration, renversement des valeurs pour le retour du respect et de l’autorité. Là peut-être des hommes auront le courage d’attraper les gredins qui dévalisent les pauvres sénatrices.

Julien Ferréol

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