La fin du monde unipolaire ou le début des persécutions de masse ?, par Antoine Michel

 

Au gré du visionnage des vidéos de la dernière université d’été de CIVITAS (https://www.youtube.com/channel/UC2QQRXdvgxwgxrlPx8BvkzQ/videos)  composées de nombreuses conférences instructives et intéressantes – avec en particulier celles du père Joseph dont la réflexion est toujours profonde et interpelle, tout en manifestant un équilibre certain – j’ai écouté avec attention la conférence de Stanislas Berton.

 

Il présente avec brio les techniques contemporaines de la guerre révolutionnaire pour faire émerger une nouvelle tour de Babel avec un nouvel homme : guerre hors limites, volonté de « laver le cerveau » et faire de tout un chacun un combattant du nouvel ordre mondial.

 

Dans une autre intervention sur TV libertés (https://www.youtube.com/watch?v=BlGEtM_ZzxU), il explique en quoi la grande réinitialisation est en train de rater et comment nous basculons dans un monde multipolaire, avec les révélations de plus en plus prégnantes sur la guerre bactériologique, la manipulation de l’information, QAnon, etc.

Il serait presque optimiste sur l’échec de ce mondialisme.

 

Et certes, le démon part perdant, et nous constatons comment tous les plans mondialistes, malgré une notable accélération, se heurtent au réel et à l’inertie de la nature humaine, décidément réticente à se faire « recréer ».

 

Comme il le dit, « la bête blessée » des mondialistes est d’autant plus dangereuse qu’elle est blessée.

 

Là est tout l’enjeu : les ennemis s’excitent de plus en plus et les stratégies de long terme, comme le noyautage des institutions, le lavage de cerveau généralisé via les informations et l’éducation libérale, arrivent à leur fin, de mon point de vue.

 

Ils ont atteint certainement un climax dans la propagande dissolvante libérale depuis les années 60, et les élites mondialistes, du moins celles qui sont intelligentes, sentent bien que cette ère est terminée.

 

Nous, nous le savons : nous sommes convertis à la foi de toujours, nous n’écoutons plus les médias, nous travaillons à nous désintoxiquer des écrans et de la technologie, nous ne croyons plus au progrès de la science, nous ne sommes pas béats devant le médecin, etc. En bref, nous ne sommes plus influençables, nous élevons nos enfants dans une optique traditionnelle et combattante et nous ne céderons jamais. On ne lâche rien !

Nous savons que les vieux croûtons idéologiques arrivent sur leur fin et qu’ils ne vivront pas éternellement (Soros, Schwab et autres Biden et François sont les soleils couchants de la révolution « jeuniste » soixante-huitarde !). Les jeunes, ou pas trop vieux, sont lessivés et suivistes : ceux qui ne le sont pas sont de notre bord !

Ils s’approchent du jugement dernier, et les pires d’entre eux ne doivent pas se sentir bien : comme un Voltaire devenant de plus en plus haineux et violent à mesure que les flammes de l’enfer s’approchent de son lit !

 

Les élites globalistes, après la Manif pour tous, les gilets jaunes, Trump, tentent le tout pour le tout avec le COVID et le « great reset » et tentent de faire advenir le « nouveau monde »… Mais cela ne marche pas si bien que cela : tout se retourne contre eux. La limitation des mouvements pousse les gens à revivre localement, le dégoût de la propagande devient de plus en plus généralisé, et dans des grands pays comme la France, c’est bien un tiers de la population au moins qui réfléchit lucidement sur la situation mondiale, et n’a aucune illusion sur les plans et les bons sentiments de nos dirigeants…

 

Ils sont mal.

 

Ils sont donc très dangereux.

 

L’obsession occidentale (des mondialistes) en Ukraine de vouloir rendre le conflit total et global est inquiétant : comme si ces élites n’avaient plus comme dernière carte que le chaos global, la guerre mondiale, pour fondre le nouvel ordre mondial sur les cendres des nations et des peuples.

 

Il serait logique que les choses aillent de plus en plus dans un sens jacobin de terreur : c’est ce à quoi je travaillerais de toutes mes forces si j’étais eux. Pourquoi ?

 

Car nous autres convertis, catholiques intégraux, royalistes, sommes devenus complétement imperméables à toutes ces bêtises, et nous ne nous réformerons plus, nous sommes arrivés dans la lumière, il est hors de question de repartir dans les ténèbres !

 

Alors, leur seule solution, c’est de nous éliminer physiquement.

Ils nous ont déjà éliminés socialement et ont fait de nous des intouchables moraux, et même presque physiques avec leur piqûre : sauf que finalement la situation n’a pas été actée définitivement et on peut maintenant vivre pas trop anormalement sans certificat et sans piqûres.

L’attaque sur l’école à la maison, et bientôt les écoles hors contrats manifeste bien cette mutation de la persécution purement intellectuelle à une persécution de plus en plus agressive et concrète.

 

Mais nous résisterons ! Ils n’auront donc que deux choix : soit nous laisser faire… et cela signifie notre victoire à moyen terme, car tout se retourne peu à peu dans le bon sens d’un point de vue moral ; soit nous exterminer… et cela signifie aussi notre victoire car ils feront de nous des martyrs. Cette dernière solution serait d’ailleurs la plus rapide pour une restauration forte et intégrale, même si elle n’est pas souhaitable, jamais.

 

Alors, ennemis, comment allez-vous décider de perdre ?

 

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Antoine Michel