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Louis XIV et Marie-Thérèse d’Autriche La révélation d’un couple – 2

Les actes des communications des sessions du centre d’études historiques paraissent une fois par semaine, chaque samedi. Les liens des communications en bas de page.

Centre d’Etudes Historiques

1661, la prise de pouvoir par Louis XIV.

Actes de la XVIIIe session du Centre d’Études Historiques (7 au 10 juillet 2011)

Collectif, Actes de la XVIIIe session du Centre d’Études Historiques, 1661, la prise de pouvoir par Louis XIV, CEH, Neuves-Maisons, 2012, p.189-214.

Par Joëlle Chevé

Historienne et journaliste

Le serment de Saint-Jean-de-Luz

Aucune princesse Habsbourg n’a été accueillie avec autant de curiosité et d’impatience. L’absence de relations diplomatiques entre la France et l’Espagne depuis 1638 a fermé l’un à l’autre les deux pays. Et c’est le choc des retrouvailles à Fontarabie puis sur l’Île aux Faisans, au cours desquelles les deux camps s’observent, s’étonnent de leurs différences, notamment vestimentaires[1], mais communient tous dans la ferveur de la paix retrouvée. Les sentiments du jeune couple royal sont plus mêlés. Si Louis XIV semble heureux d’avoir pris la bonne décision, il est très empressé de découvrir les traits de son épouse et s’inquiète de ce que peut cacher l’énorme garde’infante dont elle est revêtue. Marie-Thérèse, elle, est heureuse de ce mariage enfin conclu, mais, pour l’heure, elle est au désespoir de quitter son père et Louis se montre très touché par ses larmes. Philippe IV, de son côté, est épuisé et pleure également leur séparation. Quant à Anne d’Autriche, son rêve enfin accompli, elle rayonne d’un bonheur à peine assombri par l’appréhension que sa nièce ne plaise pas à son fils. Banalités, dira-t-on, que tout cela ! C’est oublier qu’il est rarissime que ces mariages dynastiques se passent ainsi en famille. Les jeunes princesses se séparent en général très rapidement de leurs parents et continuent leur voyage vers l’inconnu en compagnie des gens de leur maison. La brutalité de ces usages a été épargnée à Marie-Thérèse. Alors, certes, elle pleure et rit à la fois, mais son entourage espagnol en fait autant, de même que la famille de France. Partager ensemble ces émotions, ces joies et ces appréhensions, n’est pas une garantie de réussite pour le couple, mais c’est au moins l’amorce d’une intimité fondée sur l’intime conviction qu’ils sont de même « essence ». Le soir de son arrivée à Saint-Jean-de-Luz, le 7 juin 1660, Marie-Thérèse pose un acte politique d’une portée qui dépasse son insignifiance apparente. Elle demande, après le souper[2], l’autorisation d’écrire à son père et propose à Louis XIV de lire sa lettre. La correspondance des princesses étrangères, et particulièrement des Habsbourgs, avec lesquels les Bourbons sont en guerre depuis si longtemps, est une affaire d’État, soumise à une étroite surveillance. On se souvient qu’en 1637, Anne d’Autriche, avant la naissance de Louis, avait été accusée par Richelieu d’avoir transmis, par la voie des bénédictines du Val-de-Grâce, des informations militaires à son frère Philippe IV, et que Louis XIII avait alors envisagé de la répudier. Une affaire que Louis XIV et Marie-Thérèse n’ignorent pas et qui donne au geste de cette dernière un poids très fort. C’est un acte d’allégeance que pose la jeune reine de France, en indiquant clairement qu’elle sera une épouse loyale. Une qualité très rare, que Louis XIV, trahi tant de fois par sa propre famille notamment pendant la Fronde, apprécie à sa juste valeur. Par la suite, il ne fera jamais surveiller la correspondance de son épouse avec sa famille espagnole ou autrichienne, en dépit de la méfiance de certains de ses ministres.

 

Mais revenons au mariage. La nuit de noces, bien différentes de ce que fut celle de Louis XIII et d’Anne d’Autriche, est une réussite. Il est vrai que les mariés ont tous deux vingt-deux ans et que Louis XIV est déjà expérimenté dans le domaine sexuel ! Le lendemain matin, ce dernier manifeste une joie tapageuse : « Le roi parut de la plus belle humeur du monde ; il riait et sautait et allait entretenir la Reine avec des marques de tendresse et d’amitié[3] qui faisaient plaisir à voir. »[4] Marie-Thérèse est à l’évidence comblée, mais elle a une raison supplémentaire d’être satisfaite car elle a, ce matin du 10 juin 1660, marqué un point essentiel pour l’avenir. Louis XIV lui a demandé d’accepter le renvoi de sa suite espagnole et surtout celui de la comtesse de Priego, dont la haute charge de première dame de la reine ne pouvait être tenue par une étrangère. La réponse de Marie-Thérèse est un modèle de diplomatie : « Elle lui répondit qu’elle n’avait pas d’autre volonté que la sienne et lui dit qu’elle avait quitté le Roi son père qu’elle aimait tendrement, son pays et tout ce qui lui avait été offert[5], pour se donner entièrement à lui ; qu’elle l’avait fait de bon cœur mais qu’aussi elle le suppliait de lui accorder en récompense cette grâce qu’elle pût toujours être avec lui et que jamais il ne lui proposât de la quitter puisque ce serait pour elle le plus grand déplaisir qu’elle pût avoir. »[6] On conviendra que ces lignes ne sont pas celles d’une princesse consciente des enjeux politiques de son mariage comme des risques qu’elle encourt en n’étant pas reine régnante mais seulement épouse du roi. L’exemple de sa mère, si souvent séparée de son époux par le couple Olivares, et celui de son père, multipliant les infidélités et les débauches, ont sans doute motivé sa demande, et non pas sa supplique, comme la forme peut le laisser entendre. En arguant des nombreux renoncements auxquels elle a consentis, elle affirme le devoir de réciprocité que s’impose au nom de l’égalité de leur naissance et de leur engagement chrétien, tout en lui rappelant subtilement l’honneur qu’elle lui fait en l’épousant. Elle montre, par ailleurs, au-delà de sa pudeur, une ruse naïve de jeune mariée, profitant de la félicité des noces pour obtenir des « concessions sur l’oreiller » ! Un système que les princesses des Habsbourgs utilisent volontiers avec une réelle efficacité[7]. Louis XIV, sans doute pris de court, mais séduit par cette jeune femme vive, volontaire, fière, et tout à la fois tendre et soumise, ordonne aussitôt à Froullay, son maréchal des logis, de le loger toujours avec la reine « quelque petit que le logis puisse être ». Il n’avait pas pris la mesure de ce qu’il lui accordait, pas plus qu’elle n’avait imaginé que, ce logis, il lui faudrait le partager avec d’autres… Il a promis et s’en tiendra à sa promesse, au prix d’une stricte organisation spatiale et temporelle de ses amours adultères. Et Saint-Simon de remarquer, entre respect et indignation : « Parmi tous ses amours, le Roi ne découcha jamais d’avec la Reine, souvent tard mais sans y manquer, tellement que pour être plus à son aise, il se mettait les après-midi entre deux draps chez ses maîtresses. »[8] Que Marie-Thérèse n’ait pas été dupe de cette situation est une évidence. Reste que son mari lui revient tous les soirs. Le fait est assez rare pour être remarqué. Quel roi de France s’est imposé de telles contraintes et quelle reine de France a obtenu un tel engagement ?

 

Un couple « moderne »…

Le 23 août 1660, l’entrée à Paris de Marie-Thérèse d’Autriche et de Louis XIV a été le véritable adoubement de leur couple. La nouvelle reine, selon la tradition, aurait dû faire son entrée seule dans la capitale du royaume. Louis XIV et Mazarin en ont décidé autrement. La présence du roi aux côtés de la reine ou derrière son carrosse a conféré à cet événement une dimension nouvelle et singulière. L’image qui est alors renvoyée est celle d’un couple dont l’heureuse union et la fécondité promettent au royaume un avenir prospère et pacifique. L’absence de Mazarin, trop malade pour participer à l’événement et qui s’est fait représenter par un carrosse vide à ses armes, laisse aux deux souverains la plénitude du gouvernement personnel de Louis XIV. Faut-il voir dans cette entrée conjointe un affaiblissement de la reine désormais dans l’ombre du roi ? Faut-il y voir, au contraire, sa position mieux affirmée à ses côtés ? Le débat reste ouvert. Les travaux de Fanny Cosandey insistent sur la dévalorisation du statut de la souveraine à la fin de l’époque moderne : « Le terme de reine ne recouvre désormais d’autre réalité que celle d’épouse royale (…). Dès lors son parcours, assimilé à celui d’une sujette, est déterminé par le mariage chrétien qui l’unit étroitement au roi. Souveraine elle fait figure d’épouse ; épouse elle apparaît sujette. »[9] Peut-on affirmer pour autant « qu’elle tend à redevenir une princesse ordinaire » ? Marie-Thérèse aurait été horrifiée par de tels propos, tant sa naissance lui apparaissait comme le critère essentiel de sa distinction et de son élévation au-dessus du commun des mortels. Certes, elle n’a pas été sacrée à Saint-Denis. Marie de Médicis a été la dernière à recevoir l’onction divine, car la mort d’Henri IV, le lendemain de la cérémonie, a jeté sur celle-ci une ombre funeste. L’Infante, imprégnée d’une vision théocratique de la monarchie, a peut-être regretté l’absence de cette consécration, encore qu’en Espagne elle n’ait pas été en usage. Cependant, ce qu’elle a perdu dans le domaine du sacré a largement été compensé par l’hommage que lui a rendu plus d’un million de Parisiens, de provinciaux et d’étrangers, et la popularité gagnée ce jour-là ne s’est jamais démentie. Elle s’est même augmentée de sa réputation de sainteté et de sa présence régulière à Notre-Dame et à l’église de Saint-Germain-L’auxerrois, face au Louvre, alors que Louis XIV faisait ses dévotions en particulier dans la chapelle du palais.

Une popularité dont le roi se réjouit et qui lui est fort utile lorsque l’étalage de sa vie adultère crée trop de rumeurs. La reine est une caution morale indispensable au Roi Très Chrétien, ce dont elle est parfaitement conscience lorsqu’elle lui déclare, nous y reviendrons, qu’elle a eu « pour lui des complaisances contre sa conscience et contre sa réputation. » Elle vise naturellement ici sa vie extraconjugale qui a signifié pour elle chagrins, humiliations politiques et résignation, et qui l’a contrainte à conserver une totale impassibilité sous les regards plus ou moins bienveillants des courtisans. Louis XIV partage, cependant, ses convictions religieuses et vit ses infidélités avec une mauvaise conscience permanente : « Le roi avait un fonds de religion qui paraissait même dans ses plus grands désordres avec les femmes (…). Les grandes fêtes lui causaient des remords, également troublé de ne pas faire ses dévotions ou de les faire mal. »[10] En revanche, il n’est pas imprégné autant qu’elle de l’idéal du mariage chrétien revisité par la Réforme catholique, qui place au centre de la relation conjugale la communion des esprits et des âmes des époux. Marie-Thérèse entretient avec ferveur l’exigence d’une possession entière, absolue et réciproque. Comme l’écrit encore la marquise de Caylus : le Roi « a toujours eu pour elle des égards qui l’auraient rendu heureuse si quelque chose avait pu la dédommager de la perte d’un cœur qu’elle croyait lui être dû. » [11] Et, en effet, elle pense que ce cœur lui est dû, tant elle est convaincue que l’on ne peut s’unir qu’entre semblables et que cette similitude est la condition même de l’amour. Et, plus surprenant, elle n’a jamais cessé de croire que le roi lui reviendrait. Crédulité, naïveté, sottise ? Nous nous garderons bien d’en juger. Optimisme extraordinaire, en tous les cas, et qui se nourrit de réalités tangibles. La régularité de leur vie, qui se déroule sous les yeux de la cour pendant plus de vingt ans et qui les réunit tous les jours à la messe et au dîner, autour de leurs enfants et des autres membres de la famille royale, puis, presque tous les soirs jusqu’à dix heures, autour des tables de jeux dans les appartements de la reine. Le roi s’esquive ensuite pour souper dans ses appartements ou dans ceux de ses maîtresses et regagne ensuite, plus ou moins tardivement, le lit de la reine. La fin de la vie de Marie-Thérèse est une étonnante réponse à son optimisme, car ce fut « un temps que les années et la piété du roi la lui rendaient heureuse. Il avait pour elle des attentions auxquelles elle n’était pas accoutumée ; il la voyait plus souvent et cherchait à l’amuser. »[12] Que l’influence de Mme de Maintenon ait été décisive dans ce rapprochement, ne change rien au fait qu’un tel retour de flamme est rarissime dans la plupart des couples royaux, ou pas… Au total, une vie conjugale transparente, si l’on compare à l’opacité de celle d’Anne d’Autriche et de Louis XIII, que les historiens scrutent à la loupe pour comptabiliser les rares périodes où ils ont fait chambre commune et en déduire la date de conception de leurs enfants.

 

Depuis Henri IV, les Français n’avaient pas eu sous les yeux une famille royale aussi nombreuse et aussi affectueuse. Marie-Thérèse a tissé des liens étroits avec la Grande Mademoiselle, avec Monsieur[13], et, plus tardivement, avec Madame[14] – elle en a été jalouse – puis avec la Palatine[15]. Mais c’est surtout à travers leurs enfants que le couple communie dans une même tendresse. De nombreuses anecdotes relatent la vie de famille, l’attention qu’ils témoignent à leurs enfants, l’éducation qu’ils leur réservent – ils sont d’accord sur le choix de Bossuet comme précepteur du Grand Dauphin – et sur leurs établissements futurs. La naissance du dauphin en 1661 a suscité une grande émotion chez Louis XIV et plus encore celle du duc d’Anjou en 1668. Il est très présent lors des couches de son épouse. En 1667, pour la naissance de la Petite Madame, il assiste le médecin Félix, qui l’a chargé d’immobiliser les genoux de la reine pendant le travail. Mais les douleurs sont si fortes qu’il a du mal à la maintenir et « que l’enfant étant au passage, il avait ouï les os se rompre comme si l’on avait rompu un bâton[16] ». Vision étonnante que celle Grand Roi, mettant ainsi la « main à la pâte » – il fera de même pour la Palatine en 1676 -, et assistait ses proches dans la souffrance physique avec une humanité qu’il ne leur montre guère par ailleurs. On l’avait déjà vu à l’œuvre lors de la mort de sa mère en 1665, puis lors d’une grave maladie de Marie-Thérèse en 1662. Deux petites princesses décèdent en 1662 et 1664, le duc d’Anjou en 1671, et un dernier fils, en 1672. Quant à la Petite Madame, qui avait atteint l’âge de cinq ans, Louis XIV l’assiste en 1672 jusqu’au dernier moment à Saint-Germain où elle a été prise de convulsions et a perdu l’ouïe et la parole. Lors de son agonie, il se retire en larmes – un roi de France ne demeure jamais sous le toit d’un mort – et se réfugie à Versailles où il prend le grand deuil. Autant de drames qui les rapprochent, l’une acceptant avec désespoir mais soumission les décrets de la Providence, l’autre y reconnaissant la punition de ses fautes : « Ce qui lui cause le plus de douleur est que tout le peuple murmure de la vie qu’il continue avec les dames de la faveur et disent hautement que c’est un châtiment de Dieu. »[17]

[1] Voir à ce sujet : Chevé Joëlle, Marie-Thérèse d’Autriche, op. cit., chapitre XIII « Chic et choc », p.151-167.

[2] Équivalent de notre dîner.

[3] Le terme est à prendre au sens du XVIIe siècle d’amour.

[4] Mlle de Montpensier, op. cit, p.358.

[5] C’est nous qui soulignons.

[6] Mlle de Motteville, Mémoires, Michaud et Poujoulat, Paris, 1838, 2e série, t. X, p.497.

[7] Voir à ce sujet : Magdalena Sanchez,The empress, the queen, and the nun. Women and power at the court of Philip III, John Hopkins University Press, Londres, 1998.

[8] Saint-Simon (duc de), Mémoires, Gallimard, La Pléiade, 1988, t. VIII 1721-1723, p.623.

[9] Fanny Cosandey,La Reine de France. Symbole et pouvoir, XVe-XVIIIe siècles, Gallimard, 2000, p.11.

[10] Mme de Caylus, Souvenirs, Paris, 1873, p.45.

[11] Ibid, p.84. C’est nous qui soulignons.

[12] Ibid., p.82.

[13] Philippe d’Orléans, frère de Louis XIV

[14] Henriette d’Angleterre, duchesse d’Orléans

[15] Élisabeth-Charlotte de Bavière, deuxième épouse de Philippe d’Orléans.

[16] Propos rapportés par Olivier Lefebvre d’Ormesson, Journal, Documents inédits sur l’histoire de France, Paris, 1861, t.2 1661-1672, p.484.

[17] Saint-Maurice Tomas-François (marquis de), Lettres sur la cour de Louis XIV (1667-1670), Paris, C. Lévy, 1911-1912, t.2, p.110

Communications précédentes :

Préface : http://vexilla-galliae.fr/civilisation/ histoire /2653-ceh-xviiie-session-preface-de-monseigneur-le-duc-d-anjou

Avant-Propos : http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2654-ceh-xviiie-session-avant-propos

La rupture de 1661 (1/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2663-la-rupture-de-1661-2-3

La rupture de 1661 (2/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2664-la-rupture-de-1661-2-3

La rupture de 1661 (3/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2684-ceh-la-rupture-de-1661-3-4

De Colbert au patriotisme économique (1/3)

De Colbert au patriotisme économique (2/3)

De Colbert au patriotisme économique (3/3): http://vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/2693-ceh-de-colbert-au-patriotisme-economique-3-3

1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (1/3)

1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (2/3)

1661 : transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban (3/3): https://www.vexilla-galliae.fr/civilisation/histoire/ceh-1661-transfert-de-la-cour-des-aides-de-cahors-a-montauban-3-3/

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