Poésies royalistes

La nuit était noire Le temps était froid, Le soleil devait se lever, Certains jours parfois ;   J’avais marché,

Mariant le prénom de la Reine des Cieux Avec celui fameux de trois Reines de France, Répand à ses entours,

L’éternel Laboureur, inlassable Fermier, Oeuvre sur Sa charrue et laboure Ses champs. Un champ particulier incline Son penchant, Il est

Ils ne croyaient plus Dieu au ciel Et sur la terre plus personne Pour la reconstruire Babel, A chercher Dieu,

POUR ses concitoyens, il est ce qu’on le croit. Or, une flamme intacte irradie en son cœur Un séculaire espoir

Gisaient au fond de l’eau, La charrue la faucille, Mais aussi le marteau ; Loin des bruits de la ville.

L’Histoire nous apprend, malgré les évictions Honteuses de la Gueuse en son éducation, Où se trouvent l’honneur et la vraie

Que des feuilles mortes jonchant le solD’un songe reverdies et envolées,Que les voici emportées par un volDe colombes comme brins