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Quand les païens adorent les démons, sans savoir !, Par Paul de Beaulias

 

 

Et pourtant c’est évident.

Regardez par vous-mêmes…

 

Ce « matsuri », le « nebuta », le plus grand du nord du Japon, a été interrompu pendant deux ans pour cause de COVID, et il reprend…

Il suffit de regarder les têtes des « divinités » qui ne se cachent quasiment pas d’être des démons. Têtes de morts, visages démoniaques, sorcières, serpents (ou dragons), vous avez tout, toute la panoplie. Avec les publicités des grandes sociétés et des assurances (comme quoi c’est compatible avec le démon). Regardez à huit minutes aussi. A 34 minutes c’est pas mal aussi, Bouddha entouré de ses sbires… On voit bien qui c’est.

Mais tout cela est de la « culture » évidemment, alors…

 

Dire qu’il y a quelques années je ne le remarquais pas, alors que cela crève les yeux…

Les images parlent mieux que de longues explications.

 

Revenons vite à la seule Foi véritable ! Sinon, gare à tous !

J’aimerais aussi souligner qu’en France, nous ne sommes plus si loin de cette adoration publique et assumée des idoles, voire des démons… La déchristiannisation galope…

 

 

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Paul de Beaulias

2 réflexions sur “Quand les païens adorent les démons, sans savoir !, Par Paul de Beaulias

  • Pierre de Meuse

    Ma foi, nos terroirs chrétiens connaissent eux aussi ce type de bestiaire, dont certains éléments sont postérieurs au christianisme. Citons la Tarasque, hydre rhodanienne fêtée en Provence, les matagots auvergnats et les loups-garous en Flandre, la Peluda ,du Languedoc qui. dit-on, réchappa au déluge sans l’aide de Noé, et surtout Mélusine la sirène bretonne, avec sa cour de fées, ses yeux verts et sa chevelure rouge, son corps de poisson, son sourire exquis sur des dents de requin. Je vous vois venir, vous allez me dire que tous ces monstres ne sont autres que des créatures du Malin. Mais justement, le propre de ces êtres mythologiques est d’être ambigus, quelquefois bienfaisants, quelquefois malfaisants. C’est qu’ils expriment une origine (l’air, la terre, le feu), mais aussi des souvenirs ancestraux, délicieusement effrayants, une pulsion inavouée, féconde ou nuisible. Bien sûr, les Savonaroles de patronage exigeront qu’on en fasse un bûcher sans plus tarder. Permettez-moi de vous dire qu’en pensant ainsi, vous vous montrez jacobin ou janséniste, dont le modèle n’est pas moins effrayant que la Tarasque ou le Dracon.

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    • Cher Monsieur
      Je ne vous répondrai que par un fait que je voulais ajouter à l’article, mais vous m’éviter de le faire:
      La région où se déroule cette fête démoniaque pas du tout bon enfant est sous les flots et pluie diluvienne depuis qu’elle a commencé, subissant des dégâts inouïs…
      Mais à part cela tout va bien. Pas besoin de l’exclure à la jacobine: s’ils se convertissent ils brûleront leurs idoles, comme l’ont fait nos ancêtres (et les leurs d’ailleurs quand ils ont été chrétiens). Un catholique ne va jamais forcer l’abolition de quoi que ce soit, c’est le converti qui brûle ses idoles (comme jamais on a cherché à abolir l’esclavage, mais on l’a sanctifié le rendant d’abord humain, puis amenant sa disparition) Les catholiques respectent toujours l’ordre existant, et dénoncent les désordres.
      On pourrait aussi citer ces “rites shintos” où, sous prétexte de traditions millénaires, on promène des phallus et on travestit des gens, de façon tout à fait officielle et admise (pas du tout d’inversion de type carnaval)

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