Chretienté/christianophobieSocial et économie

Non, nos corps ne nous appartiennent pas !

La Visitation, oeuvre de Bradi Barth

Mesdames, non, nos corps ne nous appartiennent pas ! Le corps de ces messieurs ne leur appartient pas non plus, d’ailleurs. Tout appartient à Celui qui nous a créé, le bon Dieu, et c’est pour cette raison que nous ne devons pas faire n’importe quoi de nos corps – et encore moins de nos âmes !

La liberté à faire le mal n’existe pas. Tout doit être fait pour empêcher le mal. Alors, tout le discours débile des féministes est à jeter à la poubelle ! Elles ont pu, un temps, faire leur belle parce qu’elles ont pu profiter du fond chrétien de la société et des bornes morales à ne pas dépasser qu’elles s’appliquaient elles-mêmes, parfois inconsciemment ; seulement, à la génération suivante, la nôtre, déchristianisée et sans bornes, c’est l’explosion, et la femme « libérée » se trouve esclave de son corps, empoisonnée de produits chimiques depuis l’enfance et sans aucune féminité… Les femmes, désormais, imitent les hommes de façon ridicule et laide. Elles se font esclaves sexuelles et consommatrices effrénées, serves du capitalisme mondial, qui les fait tourner à l’orgueil narcissique et les rend tout à fait manipulables, car elles sont souvent seules et sans protecteurs.

NON, NOS CORPS NE NOUS APPARTIENNENT PAS !

Il suffit d’avoir fait l’expérience d’une grossesse pour ne plus pouvoir en douter une seconde. Pendant une grossesse, votre corps vous échappe complétement, des forces le dirigent à votre insu, tout change et vous n’y pouvez rien. Et cela est bon : c’est cette réappropriation patente de notre corps par le bon Dieu qui permet ce miracle renouvelé qu’est la naissance issue de la procréation – soit la collaboration des parents à l’œuvre créatrice de Dieu.

Pendant la grossesse aussi, le bon Dieu demande la coopération de la femme, qui doit se donner complétement, lâcher prise et se placer entre les mains du Père pour la vie du plus faible. Ne pas vouloir coopérer, le refuser, ne fait que détruire la création et souffrir les créatures : meurtres via les contraceptions diverses, abstinence coupable chez les couples catholiques ou, pire, tentatives de contrôle qui apportent toujours des complications en tout genre…

Heureuses celles qui savent qu’elles ne s’appartiennent pas ! Une mère le sait encore et toujours plus dans la gestion de son foyer. Et cela est bon ! Nous, femmes, nous avons le privilège de le savoir dans notre chair, alors profitons-en. Les hommes, eux, n’ont pas ces contraintes, et c’est bien dommage pour eux : ils ont plus difficilement conscience qu’ils ne vivent que pour autrui, qu’ils appartiennent au bon Dieu, qu’ils sont Son instrument.

Alors aidons nos hommes – par l’exemple de l’abandon total à nos maris, représentants de Dieu dans nos familles – à prendre conscience de leur rôle et de leur devoir d’abandon à Dieu, afin qu’ils se sacrifient pour nous et nos enfants.

Pauline Blanche

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France


Illustration : La Visitation de Bradi Barth

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