Social et économie

Le “vaccin”, ce poison, par Antoine Michel

 

Il est urgent de se dépouiller de la vision « statistique » plus que fausse qui est utilisée comme arme de guerre par les instances terroristes qui occupent toutes les positions importantes sur la planète.

 

Ce biais « statistique » est d’une perversité immense que nous connaissons bien.

Je suis moi-même issu d’une école de commerce, et je peux témoigner à quel point il est aisé de faire parler comme l’on veut des chiffres statistiques qui sont traités pour faire dire ce que l’on veut bien leur faire dire : et cela permet de mentir sans mentir, si on peut dire ; tout l’art consiste à passer de la vérité « statistique » qui est en fait bien faible et bien inutile, à part des cas extrêmement réduits, en général simplement pour analyser, mais certainement pas pour agir, à une vérité absolue, dogmatique et présentée comme une réalité incontournable.

 

On vous dit ; « vous avez une probabilité de 20% de mourir dans le mois » et vous croyez que vous pouvez mourir avec beaucoup de chance dans le mois ; mais cela ne veut rien dire quand on y réfléchit une demi-seconde ! Sur quels critères, pourquoi, comment ?

On vous dit encore que vous avez le choix entre avoir 100 euros comme cadeau, ou 10 000 euros avec 1% de chance, que faites-vous ? Nous préférons toujours la certitude, et nous ne réfléchissons pas de manière de statistique, mais de manière binaire, risqué ou non risqué.

La supercherie statistique – qui ne remet pas en cause la vérité statistique circonscrite à son domaine très restreint ; le problème aujourd’hui, comme d’ailleurs pour la science en général, c’est que l’on use hors de leur champ de validité des vérités, ce qui est une grave erreur méthodologique, et une grave tromperie, puisque la vérité invalide devient un mensonge (exemple : appliquer la théorie de l’évolution dans la société, comme si c’était d’ailleurs une vérité) ; quand encore les chiffres ne sont pas trafiqués, ce qui arrive souvent malheureusement… – la supercherie statistique, disais-je, permet de cacher la réalité des faits, les véritables morts et autres grands dégâts réels que nous pouvons tous constater si l’on veut bien ouvrir les yeux.

Prenons l’exemple du « vaccin » – qui n’en est pas un, rappelons-le, puisque le vaccin, mithridatisation moderne qui consiste à s’inoculer du poison en petite quantité pour s’immuniser, comme le faisait autrefois une Agrippine, est une technique aussi vieille que le monde, certes jamais utiliser à cet échelle (comment penser inoculer du poison à toute une population avec toutes les personnes fragiles, et pas forcément exposés ? Mais passons…), mais le « vaccin » que l’on nous vend de force consiste à faire produire par notre propre corps le poison via une technologie génétique…

Ainsi le vaccin serait sûr ?

Regardez autour de vous. Oubliez les statistiques et prenez les faits que vous avez autour de vous.

Pour ma part, j’ai appris, à mon grand désarroi et avec une grande colère, que ma grand-mère, décédée il y a tout peu, avait été vaccinée la veille de son décès… On a mis trois mois à apprendre qu’elle avait été vaccinée la veille de son décès…Mais ne vous inquiétez le lien de cause à effet n’a pas été prouvé par une étude statistique, comme il n’est pas prouvé que si vous mourrez lors d’une collision d’une voiture à pleine vitesse votre décès soit due à l’accident de voiture, vous avez peut-être eu un accident cardiaque juste avant l’accident, qui sait…

 

Ma mère se fait hospitalisée dans les deux semaines après son injection, avec des symptômes étranges de vertiges et vomissements.

Mon oncle, qui avait une maladie de Charcot, meurt dans les trois mois après la vaccination, alors qu’il vivait stablement avec sa maladie depuis plus de deux ans.

L’oncle de 59 ans d’une amie d’enfance fait un AVC dans les deux jours après l’injection : la moitié du corps paralysé à vie.

 

Sur mes cinq collègues qui se sont fait vaccinés et dont j’ai des nouvelles, seul un n’a aucun symptôme. Un autre une douleur au bras pas possible. Une autre a passé une nuit affreuse, avec nausées et sans pouvoir dormir. Une autre a passé un jour et demi complétement dans les vapeurs avec de la fièvre et vomissement. Et la dernière trois jours au lit avec plus de 39 degrés de fièvre.

 

On creuse, on trouve des gens que l’on connait qui ont des plaques rouges horribles sur tout le bras, etc, etc.

 

Tout cela sont des faits en dur, pas de la statistique.

Et cela fait commence à faire beaucoup en à peine quelques mois et malgré les campagnes pour nous vendre le remède miracle.

 

En attendant, je ne connais toujours pas dans mon entourage direct un vrai malade du COVID depuis 18 mois : ni mort, ni symptôme… Pas de chance quand même.

Pour mon cas, un mort à 0 en faveur du vaccin contre le Covid. Qui dit mieux ?

Alors il faut peut-être arrêter de nous prendre pour des bouffons et se réveiller.

Et certains devraient faire attention, car autant le Covid ne tuait personne, autant ici nous avons des morts dans nos familles.

 

Et nous n’oublierons pas.

La justice se fait toujours tôt ou tard.

 

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Antoine Michel

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