Calais, symbole de la France post-immigration

Ces derniers jours, la tension est montée de plusieurs crans. Le 13 octobre, une manifestation a réuni plusieurs centaines de policiers et de Calaisiens. Selon un responsable du syndicat policier SGP-FO, « il y a une augmentation exponentielle de la criminalité : ces trois derniers mois, il y a eu 80 crimes et délits, contre 7 sur la même période en 2013 » [2]. Une semaine après, le 20 septembre, suite à un embouteillage, de nombreux camions étaient arrêtés sur l’autoroute. Les chauffeurs ont subi l’attaque d’une vague de 300 à 400 migrants, se précipitant sur les véhicules. Les 180 CRS présents ont dû appeler de nombreux renforts pour gérer (difficilement) la situation. Dans la soirée, la situation s’est à nouveau dégradée. Toute la nuit, des affrontements éclateront entre des centaines d’Erythréens et d’Ethiopiens, à coups de pierres et de bâtons. Une « scène de guérilla », selon un témoin [3].
Les affrontements continuent le lendemain. Le troisième jour, le 22 octobre, suivant un schéma classique, des clandestins essayent de s’installer dans des camions en profitant des bouchons. Nouvelle intervention des CRS, nouveaux affrontements, etc.

Face à cette situation, et pour éviter l’envenimement des conflits intercommunautaires larvés, il faut réagir rapidement. Non seulement reprendre le contrôle de nos frontières pour maîtriser enfin l’immigration, et la limiter drastiquement ; mais aussi assurer le retour dans leur pays d’origine des populations étrangères présentes en France et non assimilées. Plusieurs peuples distincts ne peuvent vivre ensemble sur le même territoire, cela conduit systématiquement à des affrontements : l’Histoire nous l’a amplement démontré, et l’actualité internationale nous le démontre encore.
François Etendard
1 : Le témoignage d’un routier : L’Union
2 : Source : France 3 région
3 : Source : Le Figaro
4 : Source : Le Figaro