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La Chine d’aujourd’hui, notre monde de demain…, par Rémi Martin

 

Il est urgent de cesser toute béatitude face à la Chine, si encore il en resterait chez tout bon royaliste qui se respecte.

Pour aider à cela, il est bon de visionner ce bon documentaire sur le « planning familial » chinois d’environ 35 minutes :

L’horreur en image, si on veut, mais en même temps, nous pouvons déjà y voir tellement le monde qui vient en France…

Certes, pas encore de loi coercitive pour avoir un enfant unique chez nous, mais on s’en approche doucement : école obligatoire à partir de 3 ans avec l’abrogation de l’école à la maison, contrôles médicaux de plus en plus serrés de la naissance à la mort avec les vaccins obligatoires et les séances gynécologiques obligatoires, et peut-être pire, servitude volontaire déjà effective quant à la procréation chez tout le monde et encore plus chez les femmes (pilules, stérilet, séances gynécologiques dès le plus jeune âge, vaccination contre le col de l’utérus, etc., etc.).

Le documentaire parle de lui-même. J’aimerais ici apporter quelques réflexions, un peu hétérodoxes peut-être :

– Ces enfants qui n’existent pas administrativement sont un peu comme des intouchables modernes – pas des esclaves qui, eux, existent légalement a priori –, dont l’existence n’est garantie que par la protection de leur famille, parentèle ou clan (ces non-existants administrativement, s’ils sont victimes de crimes, personne n’a à en répondre, puisqu’ils n’existent pas… n’est-ce pas ? Il ne vaut mieux pas imaginer le trafic potentiel des filles sans existence administrative, le rêve des réseaux de proxénètes, qui permettent aux parents de se débarrasser de ce poids mort social, et pour la fille de croire pouvoir refaire sa vie…).

– Cette politique de l’enfant unique, derrière ses raisons malthusiennes alléguées, n’est-elle pas plutôt un moyen de perpétuer une société confucéenne sous couvert d’égalitarisme ? Réfléchissons : si on veut maintenir le nom et la famille après avoir aboli le droit d’aînesse et institué un égalitarisme strict, il ne reste plus qu’à avoir un seul enfant… Et tous ces premiers-nés, sans cadet dont ils doivent s’occuper, sont autant d’héritiers privilégiés, que l’on peut nommer « citoyens égaux », mais en fait une aristocratie sans devoirs envers les cadets, fabriquée artificiellement par le parti communiste sur des monceaux de cadavres de bébés et une montagne de terreur et de propagande.

– La terreur est autant féminine que masculine : les filles contrôlées tous les trois mois pour voir si elles sont enceintes le sont par des matrones cocos du planning familial…

– La vie continue malgré tout : la loi étant tellement contre-nature, certains fuient, se cachent, s’arrangent… En fin de compte, on revient au terme primitif de la vie sociale, en tout cas au stade dur, sans cœur, du paganisme : vous avez du pognon, vous pouvez payez le tribut et avoir des enfants, sinon…

– De ce mal terrible, il sort quelque bien contre toute attente : comme quoi, ne pas aller à l’école est un grand bien. Ces enfants victimes de l’ire du parti et de la méchanceté sociale sont (plus) indépendants de la propagande (que la moyenne), et savent que ce n’est pas un bout de papier qui définit leur existence…

– Pourquoi la République terroriste française, depuis la Révolution, n’a-t-elle pas limité le nombre des naissances ? Car si elle l’avait fait, elle aurait eu les Bourbons sur le trône tout de suite tout le long du XIXe siècle, et un coup de force royaliste pendant l’avant-guerre. Après-guerre, il suffisait d’attendre que les libéraux qui se pensaient conservateurs fassent le mal à la place des satanistes… Mais au contraire, la république jacobine avait plutôt intérêt à faire naître beaucoup d’enfants : pourquoi ? Pour deux raisons : le principe de l’égalité des successions établi, plus il y a d’enfants, plus les familles éclatent et se divisent, et cela permet de liquider les vieilles et vénérables familles qui ont fait la France, et qui résistaient à la Révolution… D’autre part, cela faisait de la chair à canon pour les guerres exterminatrices républicaines…

– Une dernière réflexion : que sont devenus les gens du documentaire ? Il a été tourné en 2014, entre-temps le Covid a été le prétexte au durcissement totalitaire en Chine comme ailleurs (déjà que ce n’était pas folichon… sans parler qu’Hong-Kong est maintenant complètement sous contrôle chinois). N’auraient-ils pas été testés positifs au Covid, et depuis disparus dans un camp de concentration sanitaire pour avoir bravé le régime et permis à ces informations de sortir de Chine ?

La Chine communiste, décidément, est proche de la Chine antique à l’État central totalitaire, possédant toutes les rizières, et créant toute noblesse, en interdisant autant que faire se peut la parcellisation de son pouvoir. Cela ne marchait pas longtemps, mais il semblerait que grâce aux technologies modernes, l’esclavagisme de masse avance.

Pour que la France ne devienne pas comme cela, battons-nous et restaurons !

Et fermons au plus vite les officines terroristes du style « planning familial ».

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Rémi Martin

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