Doit-on livrer un peuple civilisé à l’incurable choléra-morbus islamique ?

Aperçu de la situation intérieure d’une France qui se consume par des signes de désorganisation et des symptômes d’anarchie qui se manifestent et se multiplient sur tout le territoire national. En dépit des efforts burlesques de ces messieurs républicains, leurs discours à l’eau de rose tournent au drame politique, faisant grossir en cela le nombre de rieurs.

La France se consume par les faiblesses d’un État moribond, où l’action du gouvernement se meurt sous une attitude prétendue légale, fidèle à des théories chimériques, aux principes dérisoires où son intervention se fait à demi-pas. Ayant perdu toute autorité dans la capitale et en provinces, ne lutte plus qu’avec désavantage contre ceux qui décident du sort de la France.

Une partie endogène de la population française s’étant mis en tête de détruire le territoire national, l’horizon de la France apparaît surchargé de tempêtes, l’avenir s’annonce trouble. Le discours professé par un certain clan politique à l’extrême gauche de l’hémicycle de l’Assemblée nationale, hautement inflammable, se répand et se propage aux esprits les plus faibles et impuissants à reconnaître le bien et le mal.

Ainsi ce clan politique s’amourache, tout en défendant le mauvais génie turbulent et grossier des farouches islamistes. Trahissant avec orgueil la bannière de leur parti déjà servile où s’étaient enrôlés leurs ambitions.

Attisant ce feu inflammable, par une malveillance active, ardente, infatigable dans la recherche à ruiner les fondements de l’ordre et ravir l’autorité. Subtil à exploiter tous les mécontents, à soulever les haines, semer l’hostilité, faisant naître des germes de trouble pouvant aboutir à une guerre civile.

Que d’obscurs prédicants qui cherchent à enfermer la France dans des langes eux-mêmes obscurs. Ce clan politique aux ciseaux mutilateurs de la pensée humaine. La triste réalité se montre dans toute sa laideur !

Terreur et horreur, ses deux mots sonnent comme le footballeur dribble son adversaire. Le soir de la finale du Paris Saint-Germain contre l’Inter de Milan le 31 mai 2025, la France été une nouvelle fois secouée par des émeutiers. Les malfaisants de la rue gagnent à tout moment du terrain.

La terreur toujours plus intense, cherche à pénétrer en profondeur les esprits, à émouvoir les Français, les arrachant au repos de la tranquillité. Ces multitudes de faits de délinquance, nous offre hélas le présage trop certain de nouveaux traumatismes.

Nos « gouvernants », sont-ils tellement dans le déni, ou bien simplement dans l’idéologie qui leur obscurcit la vue ? Aujourd’hui un voile funèbre enveloppe la statue de Melpomène et celle de la liberté.

Pour la France, l’épreuve est décisive, et la question est maintenant dans les mains et à la conscience politique, puisqu’ils sont aux commandes. Mais il est bien connu, le discours de promesses des candidats républicains est en quelque sorte, un vestibule d’espérance constitutionnelle, qui ne doit hélas ! qu’aboutir à des ruines.

Rien dans les discours, dans ces amas de mots, rien n’est fait pour le bonheur de la France et des Français. Il n’y a rien à regretter, rien à imiter. On peut ajouter que leur audace grandit de la petitesse de ces hommes et femmes politiques. Ce qui donne sujet aux plus affligeantes réflexions.

Ainsi des ministères impuissants à faire le bien ne peuvent que laisser faire le mal. Alors on peut adresser ces foudroyantes interrogations : Ministres de la République, qu’avez-vous fait ? Que faites- vous pour la sécurité, pour la dignité nationale ?

L’État ne joue plus son rôle de protecteur, comme autrefois le roi protecteur, lorsqu’il prête serment lors de son sacre. Dans l’état actuel, cette menace endogène met beaucoup d’ardeur à poursuivre de ses traits envenimés et poissonneux sa progression de destruction.

Cette menace veut déraciner jusque dans le cœur des Français, jusqu’au dernier germe des sentiments religieux, en s’attaquant à ne pas en douter aux fondamentaux de la foi catholique, laisser à l’abandon dans le vaste champ d’interprétation qui s’ouvre devant le mécontentement national, il y a lieu de soupçonner les complicités ministérielles.

Français, hâtez-vous ! Le temps presse, ce fanatisme politico-religieux, où l’islamo-gauchisme ardent menace nos libertés. Il marche, il court, il peut nous gagner de vitesse. Il est important de détruire les doctrines après avoir expulsé les hommes.

Que conclure de toutes ces variations d’atmosphères ? Qu’il y a indécisions, faiblesse et découragement chez ces hommes et femmes d’état !

Pour Dieu et le Roi !

Philippe Didier