Civilisation

Le féminisme tue ! 

L’expansion du féminisme et sa pénétration profonde dans les esprits de notre temps, évidemment encouragée et martelée non seulement par les pouvoirs illégitimes ici et là et reflétée dans les institutions avec l’effacement du père de famille, l’égalité homme-femme partout, est une réalité sur laquelle nous n’avons pas besoin de nous attarder. Le fait est ici massif que personne n’irait le nier. 

Il ne s’agit pas ici de refaire un traité sur les raisons profondes, anthropologiques, de la nocivité de l’idéologie féministe, qui est non seulement contre-nature et détruit la femme (en voulant en faire un homme, ce qu’elle n’est pas), mais par-là détruit la famille et toute la société, et détruit toute la politique en niant l’autorité paternelle, l’autorité des chefs virils et en empêchant le bon exercice de cette direction par les hommes. Comme ces derniers sont portés à diriger, mais qu’on leur dit qu’il ne faut pas, qu’ils sont portés à agir sur le monde extérieur et à l’action, mais qu’il ne faut pas, ils sont mal dans leur peau, ou, pire, pour ceux qui sont intelligents, ils usent de ce féminisme pour quand même diriger et aller de multiples lits mais sans jamais prendre les responsabilités ni du pouvoir ni de la génération… 

Le féminisme tue ! 

Vous allez dire que j’exagère. 

Non, c’est du vécu, et c’est très concret.

Prenons une conséquence du féminisme, aujourd’hui malheureusement bien ancrée dans les esprits : la division des tâches entre le père et la mère pour les soins du bébé – sans même parler de l’entretien de la maison. 

C’est une catastrophe universelle qui s’ensuit : le père n’est pas fait pour s’occuper des nourrissons ni des petits enfants. Il est maladroit, il ne peut évidemment pas donner le sein, il ne comprend rien, il est idiot avec le nourrisson. Cela le fatigue et le vexe dans son autorité, et tout cela parce qu’on lui demande de faire la mission de sa femme, ce qu’il ne peut pas faire bien… 

Cette conséquence du féminisme entraîne très souvent de graves tensions dans le couple, surtout après une première naissance, car l’enfantement est toujours fatiguant. La nature, pour cela, a épargné à l’homme cette fatigue de l’enfantement et des premiers mois qui suivent, afin que dans le couple au moins un des deux puissent avoir la tête qui fonctionne, prendre des décisions, protéger sa femme et ses enfants, et ne pas être trop fatigué, ce qui est dangereux pour tout le monde. Le féminisme crée et favorise ces situations d’instabilité et de danger, de conflits et de tensions…et cela peut avoir des conséquences dramatiques, toujours sur les esprits et les mœurs, mais parfois aussi sur les corps. Au minimum cela pèse sur la natalité, car toutes ces fatigues, tensions et autres rendent héroïques la décision de passer au second, et ne parlons pas d’aller au-delà… 

Combien d’accidents et de morts de nourrissons parce que c’est le père qui s’en occupe au lieu de la mère !

Il suffit de regarder les chiffres par exemple du « bébé secoué » : 50% des homicides commis par une personne extérieure au foyer (personnel enseignant, ce qui pourrait être en soi l’objet d’un article condamnant l’école pour les enfants petits – car si aucun bébé ni petit enfant n’allait à l’école, combien de morts et de viols en moins !), 40% du temps le père et le reste la mère. 

Et oui, la statistique ne ment pas : le père tue plus son enfant s’il s’en occupe bébé. C’est normal il n’est pas fait pour cela. Si vous mettez de la vaisselle au lieu du linge dans le lave-linge, il y a de la casse, et ce n’est pas la faute du lave-linge mal-utilisé mais bien de ceux qui l’usent mal. Et ici, pour garder l’analogie, la notice, les vendeurs, la publicité et même la loi disent qu’il faut mettre de la vaisselle dans le lave-linge… 

Pauvres victimes de notre temps ! Pauvres gens que nous sommes et qui subissons ces mensonges contre-nature qui nous concernent tous et qui frappent peu ou prou, tôt ou tard chacun de nous. 

Alors oui le féminisme tue car le féminisme est une erreur contre-nature profonde et destructrice. 

À tous les pères de famille : NE VOUS OCCUPEZ JAMAIS DE VOS BÉBÉS C’EST LE RÔLE DES MÈRES. 

C’est dit 

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France 

Pauline Blanche

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