Vie des royalistes

[Exclusif – 2ème partie] Le duc et la duchesse d’Anjou à la Messe Solennelle du 25.06.2016 en la Chapelle Royale du Château de Versailles !

Immédiatement après la cérémonie de réception dans l’Ordre des nouveaux membres dans les salles des Croisades, a lieu le second temps de cette cérémonie : la messe solennelle de Saint Jean-Baptiste en la Chapelle Royale attenante. Les familles et amis des nouveaux membres arrivent les premiers dans la chapelle et s’installent, guidés par quelques Chevaliers en coule noire, vers les places qui conviennent. Les chaises de la nef centrale ont été disposées en six longues rangées se regardant l’une – l’autre et tournant le dos aux collatéraux, dégageant une allée centrale menant à l’Autel, tandis qu’elles ont été laissées dans leur orientation normale, regardant l’Autel, dans les collatéraux et autour de l’entrée sous l’avancée de la balustrade royale. Votre serviteur, accompagné de Dominique Hamel, Rédacteur en chef de Vexilla Galliae, rejoint le baron et la baronne Bernard Hüe à des places situées dans le collatéral gauche, dans l’arche dégagée entre deux piliers soutenant le déambulatoire supérieur. Cette place décentrée s’avèrera excellente pour moi car elle me placera en vue directe du rang droit de la nef centrale où se trouveront, me faisant face, le duc et la duchesse d’Anjou.

Attendant l’arrivée des Dames et Chevaliers de l’Ordre et le commencement de la messe, nous avons le loisir d’admirer les magnifiques sculptures en bas-reliefs couvrant les voûtes et les murs des collatéraux en belle pierre de tuffeau de Loire au grain si fin et dotée de cette merveilleuse couleur blonde naturelle, ainsi que les somptueuses peintures du plafond de la nef centrale, œuvre d’Antoine Coypel, éclairées par les hautes fenêtres chiffrées du monogramme royal aux deux « L » entrelacés ! Nous sentons véritablement que nous sommes chez le Roi et, nous retournant vers la balustrade surplombant l’entrée de la Chapelle, nous croyons encore voir Louis XIV, son fondateur, Roi Très Chrétien assistant tous les jours à la Sainte Messe, assis et regardant avec gratitude les fidèles de son Royaume par-delà les siècles…

            La Messe Solennelle de Saint Jean-Baptiste commence :

            Au milieu du brouhaha diffus et feutré des conversations, un roulement de tambours, d’abord doux, puis se renforçant, se fait entendre, qui impose un silence immédiat, bientôt suivi de la sonnerie de cuivres entonnant la Marche solennelle des Chevaliers de Saint Jean, de Richard Strauss.

           Le cortège des membres de l’Ordre de Malte commence par l’entrée de trois porte-drapeaux en habit militaire de l’Ordre, d’un rouge éclatant, coiffés de bicornes noirs à plumes noires ; les suivent immédiatement une délégation de l’Ordre du Saint-Sépulcre conduite par son Lieutenant pour la France accompagné d’une Dame en habit de Chœur, c’est-à-dire revêtue  d’un manteau noir marquée de la croix de Jérusalem sur l’avant gauche, coiffée d’une mantille de dentelle noire et de trois Chevaliers en long manteau blanc marqué de la grande Croix de Jérusalem rouge de leur ordre puis quatre Chevaliers de l’Ordre de Saint-Jean, du Grand Baillage de Brandebourg, branche protestante autonome issue de l’Ordre de Saint Jean de Jérusalem lors de la Réforme, en manteau noir. Ensuite arrivent les membres de l’Ordre de Malte précédés de l’un d’eux en coule noire, tenant une canne de cérémonie à gros pommeau globulaire d’argent ciselé ; un nouveau porte-drapeau en habit militaire et coiffé d’un bicorne noir à plumes noires précède environ trente Dames de l’Ordre, toutes en capes noires et mantilles de dentelle noire, la dernière étant la princesse Marie-Marguerite ; puis environ deux-cents Chevaliers en habit de Chœur et enfin vingt Chevaliers en uniforme militaire dont le prince Louis de Bourbon, revêtu de l’uniforme de bailli de l’Ordre et bicorne noir sous le bras, enfin, entrent successivement cinq profès de l’Ordre. Enfin, entrent  S.E. le Prince de La Rochefoucauld-Montbel, Grand Hospitalier de l’Ordre à Rome, en puis S.E le comte de Beaumont-Beynac, Président de l’Ordre Souverain de Malte en France, tous deux en uniforme militaire, bicorne sous le bras.

            Cette impressionnante entrée, effectuée au rythme de la Marche solennelle des Chevaliers de Saint Jean, voit les porte-drapeaux se poster à la gauche de l’Autel, les Dames de l’Ordre prendre place aux chaises des premiers rangs situés à la droite de l’Autel dans la nef centrale, la duchesse d’Anjou occupant la première chaise, au premier rang des Dames de l’Ordre, les Chevaliers investir le reste des rangs de la nef centrale, en commençant par ceux situés à la droite de l’Autel à la suite des Dames de l’Ordre pour s’achever par ceux situés à la gauche de l’Autel, le duc d’Anjou occupant la première chaise, au premier rang à la droite de l’Autel parmi les Chevaliers, Son Eminence le Cardinal Tauran prendre place parmi le collège clérical à la droite de l’Autel dans le Chœur. Son Excellence le comte de Beaumont-Beynac et le prince de La Rochefoucauld-Montbel prennent place dans des fauteuils situés à la gauche de l’Autel dans le Chœur.

            Son Excellence le comte de Beaumont-Beynac remonte alors l’allée centrale pour accueillir le général d’armée Jean-Louis Georgelin, Grand Chancelier de la Légion d’honneur, représentant le chef de l’Etat. A l’entrée du général Georgelin, une sonnerie de trompettes retentit et celui-ci prend place sur un siège devancé d’un prie-Dieu disposés à son intention au milieu de l’allée centrale dans la partie succédant immédiatement à l’avancée de la balustrade royale.

            Une cloche sonne à ce moment fortement, les orgues s’animent, l’assemblée se lève, joint sa voix à celle de la chorale qui entonne l’émouvant Christus vincit, Christus regnat, Christus imperat ! et la procession d’entrée du clergé débute. Après l’encens et les cierges qui annoncent la Croix, symbole de notre rédemption que chacun salue humblement, suivent environ dix prêtres, dont l’abbé Xavier Snoëk, Chapelain de l’Ordre de Malte, curé de l’église Sainte Elisabeth de Hongrie à Paris, en aubes blanches et étoles portant la croix de l’ordre, qui  précèdent les célébrants revêtus de chasubles ivoires rebrodées d’or dont Son Excellence Monseigneur Thomazeau, Chapelain général de l’Association française des membres de l’Ordre de Malte et Son Eminence le Cardinal Tauran, bailli de l’Ordre de Malte, en soutane et calotte écarlate et chasuble rebrodée d’or, qui, malgré les indispositions de l’âge qui l’accablent,  a tenu à participer à la procession ouvrant la célébration de la Sainte Messe ! Pour lui, il s’agissait sans doute d’un devoir normal, inhérent à son état de grand serviteur de Dieu, qu’aucune contingence ne saurait venir entraver ; pour nous, ce fut un exemple admirable de l’humilité que notre Père demande toujours, même et surtout aux plus élevés de Ses serviteurs ! Merci Votre Eminence !

            Après le temps de la Pénitence, vient celui de la Parole. Un Chevalier lit la première lecture, une Dame lit la seconde lecture, un clerc lit l’Evangile et Son Eminence le Cardinal Tauran prononce l’Homélie. Cette homélie fut si profonde que je ne résiste pas à vous en partager une très brève relation :

            « Chacun de nous est voulu par Dieu. Chacun de nous a une vocation. La naissance de Jean-Baptiste nous le prouve. Jean-Baptiste est l’homme d’une mission : annoncer la Vérité ! Seulement, cette Vérité est si haute qu’elle peut déranger. Jean-Baptiste la soutiendra jusqu’au martyre…

            Nous aussi, nous devons avoir le courage de la différence ! La différence de l’autre, d’abord, qui est toujours un mystère pour nous. Apprenons à faire confiance au mystère de l’altérité et à concevoir l’autre essentiellement comme un frère en Dieu ! Et la différence devant les autres, ensuite, à laquelle nous appelle notre Foi en un Christ qui nous demande d’aimer nos ennemis et qui nous sauve en mourant sur le bois de la Croix ! Avons-nous ce courage ?

            Jean-Baptiste fut uniquement préoccupé par Jésus. Il désigna le Christ et s’effaça. Telle fut la mission de Jean-Baptiste. Quel exemple pour l’Eglise ! Nous devons être des Jean-Baptiste pour le monde d’aujourd’hui ! Discernons la mission qui nous a été impartie et essayons, au travers de toutes nos incapacités, de la réaliser sans attendre d’autre satisfaction que de savoir que nous faisons la Volonté de Dieu !

Parmi ces prophètes d’aujourd’hui, sont les Chevaliers de l’Ordre de Malte. Ils se penchent et essaient de soulager les souffrances des petits, des oubliés. Ils acceptent de recevoir la gratitude ou l’ingratitude des secourus comme les deux faces de la médaille du service. Car leur grandeur réside justement dans l’humilité du serviteur, toujours plus humble que celui qu’il sert !

Dans le monde impitoyable qui nous entoure, si les Chrétiens ont encore un pouvoir, c’est le pouvoir d’aimer ! Ce pouvoir est indestructible et recèle une force de conversion inégalable ! Les Chrétiens sont des citoyens à part entière et doivent se faire entendre là où ils vivent, là où ils travaillent. Les Chrétiens seront invincibles si, à l’image du Christ crucifié, au lieu de répondre au mal par le mal, ils pardonnent !

Soyons toujours source de paix autour de nous ! Amen ».

Les moments culminants de la Sainte Messe, l’Offertoire et la Consécration, arrivent. Toute l’assistance se lève, des clercs présentent l’encensoir à Son Eminence le Cardinal Tauran, qui le recharge d’encens, encensent l’Autel, le collège clérical, les Dames et Chevaliers de la nef centrale et toute l’assemblée.

Au moment où l’on nous invite à nous donner « La Paix du Christ », le comte de Beaumont-Beynac reçoit le Baiser de Paix du célébrant et se rend auprès du représentant du Chef de l’Etat pour lui transmettre la Paix du Seigneur puis, remontant la nef, fait de même avec Monseigneur le duc d’Anjou, premier des Chevaliers, et avec la duchesse d’Anjou, première des Dames, qui le gratifie d’un magnifique sourire. Ensuite, il se tourne vers la Dame de l’Ordre en cape noire et mantille de dentelle noire immédiatement assise à la gauche de la duchesse d’Anjou qui n’est autre que Madame Jacques Chirac. Puis le Président transmet la Paix du Seigneur au premier des profès, au Lieutenant de France de l’Ordre du Saint-Sépulcre et au chef de la délégation de l’Ordre de Saint Jean.

A ce propos, je veux témoigner d’un comportement qui m’a impressionné : Après la messe, alors que la Chapelle Royale mettait un temps infini à se vider de sa nombreuse assistance, la duchesse d’Ajou, blessée, restait prudemment assise. Mais, lorsqu’un membre du clergé, un Chevalier, une Dame de l’Ordre, un militaire ou une autre personne venait la saluer, celle-ci se levait pour recevoir l’hommage que l’on lui rendait. Je vis alors, à chaque fois, Madame Jacques Chirac se lever en même temps que la duchesse d’Anjou et rester debout aussi longtemps que se prolongeait l’hommage qui ne lui était pas adressé et attendre que la duchesse d’Anjou se fût rassise pour se rassoir à son tour ! Ce comportement ne se fût-il présenté qu’une fois, eût-on pu croire qu’il s’était agi d’une méprise, mais il se présenta près d’une dizaine de fois, et à chaque fois, Madame Jacques Chirac resta debout tant que la duchesse d’Anjou le fût elle-même ! Les Chodron de Courcel ont conservés l’habitude des nobles usages que l’aristocratie s’honorait d’entretenir avec la Famille Royale !

Mais, revenons à la procession de la Communion. Là encore, un symbole édifiant s’offrit à mes yeux : Les Chevaliers, en commençant par les derniers des rangs de gauche de la nef centrale et se poursuivant par ceux des rangs de droite se dirigent en procession vers l’Autel pour recevoir la Communion. Le dernier Chevalier à la recevoir est donc le duc d’Anjou ! Les Dames de l’Ordre font de même et la dernière à se présenter est donc la duchesse d’Anjou ! Voyez-vous, voilà la grandeur insurpassable de la monarchie : Le duc d’Anjou, incarnation d’un Principe divin et incarnation de l’Etat, vers lequel convergent tous les égards, est d’abord le Premier Serviteur de son Royaume !

Pour achever, le comte de Beaumont-Beynac remercie Son Eminence le Cardinal Tauran, Monseigneur Thomazeau et le général Georgelin, de leur présence et Madame Catherine Pégard, Présidente de l’Etablissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles, de son accueil toujours bienveillant pour cette solennité annuelle, puis entame la prière quotidienne des membres de l’Ordre que reprennent l’ensemble des Dames et Chevaliers présents, tandis que les drapeaux de l’Ordre s’abaissent.

Son Eminence le Cardinal Tauran prononce une bénédiction solennelle et la prière d’envoi. Les drapeaux sont relevés et la procession de sortie commence. D’abord, la Croix et le clergé naturellement, puis les porte-drapeaux, les Dames et les Chevaliers de l’Ordre. Enfin arrivent le duc et la duchesse d’Anjou accompagnés de Madame Chirac. Je remarque alors que le général Georgelin, général d’armée, ancien Chef d’état-major des Armées et actuel Grand Chancelier de la Légion d’honneur et Chancelier de l’Ordre national du Mérite, est resté près de son fauteuil, laissant passer la procession, afin d’y attendre, debout, le passage du duc d’Anjou. Le général s’incline sensiblement devant Sa Majesté, ce qui me comble, comme vous pouvez l’imaginer.

La duchesse d’Anjou est à peu près la dernière, précédée de Madame Jacques Chirac, à sortir de la Chapelle Royale et suit l’assistance qui se dirige vers le Parterre Nord…

Ensuite le comte de Beaumont-Beynac et le prince de la Rochefoucauld-Montbel terminent le cortège. Le président demande au représentant du Chef de l’Etat de bien vouloir l’accompagner sur le Parterre du Nord pour la suite de la cérémonie. Les membres du corps diplomatique, des corps constitués ainsi que les officiers généraux présents les suivent.

Un grand carré s’est alors formé, encadré des Dames et Chevaliers de l’Ordre de Malte et de toute l’assistance. Sous les fenêtres des Grands Appartements du Roi, huit trompettes sonnent l’hymne de l’Ordre Souverain. C’est l’annonce de la mise à l’honneur d’environ trente jeunes ambulanciers et secouristes de l’Ordre de Malte France, alignés le long de la façade et qui reçoivent une médaille et les félicitations du comte de Beaumont-Beynac, accompagné de Monseigneur Thomazeau, du général Georgelin et du prince de La Rochefoucauld-Montbel.

Intervient ensuite le général Joël Prieur, général de division, qui commanda la brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris jusqu’en 2011 et est actuellement Conseiller Secourisme et Actions de secours de l’Ordre de Malte France et qui remet cinq médailles de la Sécurité Intérieure. C’est la première fois que cette distinction est attribuée à des secouristes et des bénévoles de la sécurité civile. Il honore ainsi des secouristes et ambulanciers de l’Ordre de Malte qui se distinguèrent lors des attentats de janvier et novembre 2015. Quatre médailles de la Sécurité Intérieure, échelon bronze et une médaille, échelon argent, sont décernées.

Son Excellence le comte de Beaumont-Beynac et Monsieur Yann Baggio, Président de l’Ordre de Malte France, reçoivent ensuite la prestation de serment de secouristes et ambulanciers de l’Ordre :

Les secouristes intègrent la promotion « Comte Chandon de Briailles », tandis que les ambulanciers intègrent celle de « Raoul Chevreul ».

Cette ultime cérémonie terminée, l’assistance est invitée à rejoindre le cocktail donné dans les Salles des Croisades.

J’ai le plaisir d’y croiser SAR monseigneur le prince Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme, notre éminent éditorialiste, le prince de Bauffremont, Président de l’Institut de la Maison de Bourbon et monsieur Laurent de la Rosière, Secrétaire général de l’Institut de la Maison de Bourbon, nous nous retrouvons dans le grand salon où avait eu lieu la réception des nouveaux membres tôt le matin et dans lequel se dressent maintenant deux grands buffets couverts de mignardises. Très vite, après l’attroupement confus que provoquent toujours de tels appâts, chacun se salue et deux pôles d’attraction se dégagent : le premier est la zone entourant le fauteuil dans lequel se tient Son Eminence le Cardinal Tauran, que chacun vient saluer, le duc et la duchesse d’Anjou les premiers, qui eurent un long entretien avec Son Eminence, mais aussi le baron et la baronne Bernard Hüe et de nombreuses autres personnes, puis le second est le couple princier ! Quelle satisfaction de voir qu’incessamment, chacun vient présenter ses hommages au duc et à la duchesse d’Anjou. Le couple resta ainsi debout près d’une heure, et j’admire la duchesse d’Anjou surtout, la jambe bandée après son accident, accueillant, sans manifester aucun signe de fatigue, l’expression de la fidélité de leurs sujets. J’ai eu l’honneur de parler à la princesse Marie-Marguerite quelques instants, la remerciant des si belles photographies de la princesse Eugénie qu’elle et le duc d’Anjou nous avaient envoyées à l’occasion de sa Première Communion. Elle me remercia à son tour du poème que j’avais écrit pour les accompagner, évoquant même quelques rimes qui lui avaient plu, « un mystère, une Foi, un espoir »… Je puis donc affirmer que la duchesse d’Anjou parle un très agréable français et le lit avec suffisamment d’acuité pour se souvenir de rimes lues il y a plusieurs semaines !

Ce fut une merveilleuse journée et vous prie de m’excuser d’en avoir fait une si longue relation, mais je tenais à évoquer les différentes cérémonies avec le plus de détails possible afin que votre patiente lecture vous donnât l’impression d’y avoir assisté vous-même.

Franz de Burgos    

PS :

–          Vous pouvez retrouver la première partie de l’article publié ce dimanche 3 juillet sur ce lien : Première partie

–          Profitez aussi, afin de vous faire partager pleinement cette journée, du reportage photo publié ce jour que vous pouvez découvrir sur ce lien : reportage photo

–          Et je renouvelle mes sincères remerciements à SE le comte de Beaumont-Beynac de m’avoir convié avec Franz de Burgos à cette journée et de nous avoir transmis quelques photos et illustrer ainsi au mieux les deux articles de Franz de Burgos.

D. Hamel

 Les portes de la Chapelle Royale s’ouvrent…

 

 La duchesse d’Anjou avec, à ses côtés, madame Bernadette Chirac

 

 

 

Et vous avez bien sûr reconnu SAR le prince Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme

 

le prince de Bauffremont, pdt de l’Institut de la Maison de Bourbon avec Franz de Burgos

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