Histoire

[CEH] Turenne et Louis XIV – Partie 1 : Les ambitions déçues d’un grand seigneur face à l’émancipation politique d’un jeune roi

Turenne Louis XIV

Turenne et Louis XIV

Par Fadi El Hage

Dans le Panthéon militaire louis-quatorzien, parmi les centaines de généraux qui servirent durant les soixante-douze ans de règne (huit sous une régence, soixante-quatre de règne personnel, mais cinquante-quatre de gouvernement personnel), cinq généraux d’armée ont profondément marqué l’imaginaire national (nous ne comptons pas ici Vauban, poliocrète et non général d’armée) : Turenne, Condé, Luxembourg, Vendôme, Villars. Il est intéressant de constater que les deux premiers concernent la première partie du règne, et les deux derniers la fin du règne, tandis que Luxembourg fait la jonction entre les deux.

Henri de La Tour d’Auvergne, vicomte de Turenne, naquit le 11 septembre 1611 à Sedan, principauté détenue par son père, le maréchal de Bouillon, l’un des principaux chefs protestants de France. Formé à l’école de ses oncles Maurice de Nassau et Frédéric-Henri d’Orange-Nassau, il servit à partir de la décennie 1630 le royaume de France. Ses origines illustres et ses qualités militaires expliquent son avancement rapide. Maréchal de camp à vingt-trois ans, lieutenant général des armées du roi à trente et un ans, Turenne risquait de ne pas atteindre la dignité de maréchal de France, Louis XIII se refusant à l’accorder à un protestant (il ne l’avait fait que pour des raisons politiques, souvent contraint et forcé). La mort de Louis XIII fut suivie rapidement par la promesse du bâton, la régente Anne d’Autriche voulant asseoir son autorité.

Durant les cinq dernières années de la guerre de Trente ans, Turenne et Condé furent les plus grands généraux, commandant les principales armées et remportant les victoires les plus marquantes, dont une conjointe à Nördlingen en 1645.

En 1649, Turenne se jeta dans la Fronde et revint à l’obéissance à la fin de cette même année… avant de servir dans les rangs espagnols en 1650, suite à l’arrestation des princes. Vaincu à Rethel, il fut amnistié en 1651 et reprit sa place dans le commandement des armées l’année suivante, la seule marque notable de méfiance ayant été qu’il dut commander conjointement avec le maréchal d’Hocquincourt en 1652.

Après avoir « racheté » sa trahison, qui était le signe d’un des derniers soubresauts de ce « devoir de révolte »[1] nobiliaire, que l’absolutisme allait annihiler, Turenne fut jusqu’au traité des Pyrénées le principal général de l’armée royale. La victoire des Dunes le consacra comme le « sauveur » de la monarchie française.

Alors que Condé avait été du côté espagnol jusqu’à la fin de la guerre, Turenne n’avait quitté les rangs de l’armée royale française qui brièvement. La période 1658-1660 fut peut-être le zénith de Turenne à la Cour, consacré le 5 avril 1660 par l’attribution de la charge de maréchal général des camps et armées du roi. Mazarin, comme toujours, laissait espérer beaucoup en accordant peu ou du moins pas autant que prévu, mais ce fut sa mort qui mit fin aux espoirs que nourrissait Turenne. En 1661, ce dernier voyait un jeune roi de vingt-trois ans voulant prendre les affaires en main personnellement. Ce gouvernement personnel, qui s’avéra ne pas être une lubie de jeunesse, dura cinquante-quatre ans, dont quatorze durant lesquels Turenne fut en relation avec le roi, de façon plus ou moins marquée et régulière. Apparemment, Turenne avait beaucoup à perdre avec un tel changement politique, voyant de nombreuses ambitions déçues. La fin du rôle politique de la haute noblesse dans le système monarchique explique l’insignifiance relative de Turenne en temps de paix, mais, la guerre venue, celui-ci s’avérait indispensable. C’était le moment où les rapports avec Louis IV étaient les plus ostensibles.

Partie 1 – Les ambitions déçues d’un grand seigneur
face à l’émancipation politique d’un jeune roi

En ayant atteint son zénith politico-militaire à la veille de la signature du traité des Pyrénées, Turenne se sentait en droit d’espérer de grandes récompenses. Sauveur de la Couronne après sa période frondeuse, il avait été déterminant dans le succès contre l’Espagne. Ce rôle providentiel n’ouvrir toutefois pas de grandes perspectives à Turenne, qui, pensant comme un grand seigneur à la mode pré-absolutistes, nourrissait le désir de participer aux affaires du royaume de près, que ce fût dans le Conseil ou aux armées. Être Turenne n’était pas être un maréchal de France parmi d’autres. Il fallait dépasser sa condition nobiliaire et militaire, mais la surprise (relative) du gouvernement personnel de Louis XIV ne pouvait que décevoir les ambitions d’un héros du temps de guerre.

A – Le rêve politique

Il faut garder à l’esprit que Turenne avait une haute idée de sa noblesse. Issu de familles à l’ancienneté nobiliaire incontestable (les La Tour d’Auvergne et les Montmorency), gratifié officiellement du rang de prince étranger depuis 1652, il avait pris un esprit pré-absolutiste, expliquant par ailleurs son attitude au début de la Fronde. Son rang, ainsi que son prestige personnel, pouvaient légitimement lui permettre de songer à jouer un rôle dans la politique du royaume. N’est-ce pas pour ces raisons que François de Guise put devenir influent sous le règne de François II et au début du de celui de Charles IX ?

En février 1661, Mazarin, se sachant atteint de la gangrène, songea à l’organisation gouvernementale après sa mort. LE nom de Turenne circula, pour les affaires militaires[2], mais pas autant que celui de Le Tellier, déjà en place. Le 9 mars, le Cardinal mourut. Le lendemain, à l’instar des princes et ministres d’État comme Condé, Gramont, Villeroy et Du Plessis-Praslin, Turenne était présent lors de la déclaration de Louis XIV affirmant « qu’il avait pris la résolution de gouverner lui-même son Etat (…) en leur disant que quand il aurait besoin de leurs bons avis, il les ferait appeler. »[3]

La décision de Louis XIV de gouverner personnellement rendait vaine toute ambition ministérielle. La haute noblesse était écartée des affaires, sauf en cas nécessaire d’aide et conseil, mais cela était tout à fait banal pour un maréchal de France, dans la mesure où le serment de maréchal de France, de même que certaines lettres patentes pour cette dignité (ainsi, celle de Fabert[4]), précisait le devoir d’aide et de conseil, résidu féodal.

De fait, Turenne continua à être sollicité à titre exceptionnel, mais il n’avait pas une position analogue à celle de Fouquet (jusqu’à son arrestation), Le Tellier ou Lionne. Dans certains choix, il était sollicité à l’occasion, mais il n’avait pas une voix forcément supérieure.

B – L’épée de connétable

Le 5 avril 1660, Turenne fut promu maréchal général des camps et armées du roi[5]. Cette charge avait été donnée précédemment à Lesdigières, en 1621. On a beaucoup glosé sur celle-ci depuis son attribution à Turenne, mais surtout suite à « l’affaire des trois maréchaux » de 1672. On a voulu y voir une charge de connétable bis, à laquelle crut apparemment Turenne, qui se crut en droit de ne plus venir aux séances du tribunal des maréchaux de France, d’enlever les bâtons de ses armoiries et de ne vouloir se faire appeler que « vicomte de Turenne ». Or, si le titre de maréchal général était synonyme de connétable, il aurait dû se permettre d’en avoir les fonctions, et donc, à l’instar de celui-ci, il aurait dû avoir une autorité supérieure à celle du doyen des maréchaux.

En fait, la préséance n’était pas en faveur de Turenne parmi les maréchaux, y compris après avoir été fait maréchal général. L’opuscule Le Pouvoir des conestables mareschaux de France, publié par le greffier de la Connétablie Claude Tabit en 1668, place Turenne en troisième position, derrière François-Annibal d’Estrées, promu en 1626, et Antoine de Gramont, élevé en 1641. Aucune différence n’était établie vis-à-vis de ses collègues plus anciens. Il restait officiellement un maréchal de France parmi d’autres, a fortiori en temps de paix. La place supérieure qu’il acquit en 1667 et en 1672 était due à ses seules qualités de général. En 1667, il était évident qu’il était plus à même de commander l’armée de Flandre que les maréchaux de Gramont et d’Aumont, aux services un peu moins éclatants et à l’activité militaire moins marquée. Pour éviter les conflits, Aumont eut droit à un corps d’armée séparé, à l’instar de Bassompierre en 1627, quand il refusa de partager le commandement avec le duc d’Angoulême. Gramont, quant à lui, préféra servir en tant que colonel des gardes-françaises.

La charge de maréchal général n’était en fait qu’un titre de maréchal de camp général, qui existait depuis le XVIe siècle, consistant à commander les maréchaux de camp. Par la suite, il n’y eut plus de chef des maréchaux de camp et Luynes l’attribua au maréchal Lesdiguières de façon quelque peu curieuse, dans la mesure où ses lettres patentes de maréchal général indiquent clairement des fonctions de maréchal de camp. Il en est de même pour Turenne, qui n’exerça la charge qu’en 1665, lorsqu’il dut acheminer jusqu’à la frontière une armée envoyée contre l’évêque de Munster, afin de la confier au lieutenant général de Pradel. Il ne joua qu’un rôle logistique, inhérent à celui des maréchaux de camp.

Néanmoins, Turenne avait l’esprit à l’esprit l’épée de connétable, en dépit de son abolition en 1627, confirmée en 1643. Après tout, en 1669, l’amiralat de France fut rétabli, bien que vidé de toute substance. L’abbé de Choisy affirme que s’il s’était converti dès 1660, il aurait été fait connétable[6]. Dans ses Mémoires, il raconte un échange entre le roi et Turenne, qui aurait eu lieu en 1668 :

« Il courut à Saint-Germain et supplia le roi de déclarer publiquement la nomination de son neveu au cardinalat. Sa Majesté lui dit qu’elle le ferait avec plaisir ; mais qu’il songeât qu’il ne s’était converti que depuis huit ou dix jours, et que les huguenots ne manqueraient jamais de dire que c’était la récompense de sa conversion. « Je suis trop bien connu, Sire, reprit M. de Turenne, pour craindre de pareils discours ; et mon neveu sans moi pouvait fort bien espérer cette grâce de Votre Majesté. Je me suis converti dans un temps non suspect. – IL est vrai, lui dit le roi, qui si vous l’aviez voulu faire en 1660, vous pouviez espérer autre chose qu’un chapeau rouge. »[7]

Cet extrait est à mettre en parallèle avec une lettre de Turenne à sa femme, datée du 6 avril 1660, soit du lendemain de sa nomination à la charge de maréchal général :

« Dès que j’arrivai Mr le Cardinal me dit que c’était une chose que mon affaire ; k’en remerciai hier le roy ; j’en presterai demain le serment et on envoiera sceller la commission à Paris. Le roy me dit qu’il ne tenoit qu’à moy que fust davantage. »[8]

Le 18 mai 1660, il fit part à sa femme de la circulation de la rumeur disant qu’il songeait à abjurer le protestantisme pour l’épée de connétable, comme le fit Lesdiguières quarante ans auparavant. Si Louis XIV avait réellement songé à faire Turenne connétable, au cas où il deviendrait catholique, cela n’aurait été possible qu’en vidant la charge de son essence. Lesdiguières ne fut pas aussi puissant qu’Anne de Montmorency, probablement par tempérament, mais également parce qu’il en fut revêtu à l’âge de soixante-dix-neuf ans. Or, en 1660, Turenne n’avait que quarante-neuf ans. Il était dans la force de l’âge, auréolé d’un immense prestige militaire. Il serait quand même surprenant de voir un roi voulant gouverner personnellement, sans aucun personnage trop puissant dans son entourage, ressusciter l’office de connétable.

C – Le rêve princier

Fils du maréchal de Bouillon et frère du duc de Bouillon, qui furent princes de Sedan, Turenne considérait qu’il avait droit au titre de prince étranger, même, si, objectivement, c’était une prétention bien chimérique[9], car fondée uniquement sur l’attribution de la principauté par Henri IV à Bouillon. En 1652, Turenne s’était pourtant vu confirmer ce titre, qui ne lui accordait finalement pas une place plus importante à la Cour. Bussy-Rabutin, qui était souvent jaloux de Turenne mais qui pouvait avoir des jugements perspicaces, commenta la « princerie » du maréchal :

« Jusqu’à quarante-cinq ans, il s’étoit contenté d’être gentilhomme, d’une ancienne maison. Véritablement il s’en lassa et voulut être prince. Dans les brouilleries de la Cour, en 1648, quatre ou cinq maisons de gentilshommes crurent que le temps étoit propre pour faire valoir leur chimère de principauté. Celle de la Tour en fut une. Mais leurs visions n’ayant pas été suivies d’un heureux succès, celle du maréchal de Turenne se réveilla en 1651. Le duc de Bouillon, son frère, étroitement uni dans le conseil avec le cardinal de Mazarin, et lui, à la tête de la principale armée, se trouvoient en état d’obtenir un brevet de princes. Ce fut alors que le bâton de maréchal, que M. de Turenne avoit autrefois souhaité comme la borne de son ambition, lui parut au-dessous de sa naissance. Il en témoigna un si grand mépris, qu’on l’appeloit monsieur le maréchal quand on vouloit lui dire une injure ; et cette ridicule vanité étoit fondée sur ce qu’il prétendoit que ses prédécesseurs avoient été souverains de Boulogne et comtes d’Auvergne, et que la principauté de Sedan appartenoit à sa maison par sa mère, toutes lesquelles prétentions étoient mal fondées. Cependant la considération où il étoit autorisoit ces chimères ; mais ce rang ne fut pas d’abord tellement établi, qu’il ne le tint en des contraintes extraordinaires. »[10]

Turenne avait des ambitions, des prétentions qui, à une autre époque, auraient pu lui conférer une place particulière à la Cour, mais également dans la politique du royaume. La maison princière étrangère de Lorraine était influente (et inquiétante) jusqu’à la Fronde. Une telle prétention était un reste de la féodalité, mais le gouvernement personnel de Louis XIV, couronnement du renforcement de l’autorité politique des rois de France, annihilait toute possibilité de participation profonde aux affaires du royaume, d’autant plus que la Fronde avait complètement échoué.

Titre fait pour flatter l’orgueil, la « princerie » étrangère n’ouvrait aucune perspective politique, ni même à la Cour, où Turenne ne se sentit pas à son aise, a fortiori en temps de paix, où le soldat devenait insignifiant.

À suivre…

Par Fadi El Hage,
Docteur en Histoire moderne,
Chercheur associé à l’Université Panthéon-Sorbonne.


[1] Arlette Jouanna, Le Devoir de révolte, Paris, Fayard, 1989.

[2] Camille-Georges Picavet, Les dernières années de Turenne (1660-1675), Paris, Calmann-Lévy, 1919, p. 30.

[3] Jean de Boislisle, Mémoriaux du Conseil de 1661, Paris, Renouard, Société de l’Histoire de France, 1905, t. I, p.1.

[4] Jules Bourelly, Le Maréchal de Fabert (1599-1662), Paris, Didier, 1881, II, p. 393-395.

[5] Sur l’histoire de cette charge, nous renvoyons au chapitre 9 de notre thèse « Pourquoi leur donner cette dignité ? » Mérite, fonctions et honneurs et maréchaux de France à l’époque moderne (1515-1793), soutenue le 30 novembre 2010 à l’Université Paris I – Panthéon-Sorbonne, sous la direction du professeur Hervé Drévillon.

[6] François-Timoléon de Choisy, Mémoires de l’abbé de Choisy, Paris, Le Mercure de France, Le Temps retrouvé, 2000, p. 361.

[7] Ibid, p. 360.

[8] Bulletin de la Société d’histoire du protestantisme français, 1875, p. 124.

[9] Guy Antonnetti, « Les princes étrangers », dans État et société en France aux XVIIe et XVIIIe siècles : Mélanges offerts à Yves Durand, sous la direction de Jean-Pierre Bardet, Dominique Dinet, Jean-Pierre Poussou et Marie Catherine Vigal, Paris, Presse de l’Université de Paris-Sorbonne, 2000, p. 45-47.

[10] Roger de Bussy-Rabutin, Mémoires de Roger de Rabutin, comte de Bussy, publiées par Ludovic Lalanne, Paris, Charpentier, 1857, I, p. 346.


Publication originale : Fadi El Hage, « Turenne et Louis XIV », dans Collectif, Actes de la XVIIIe session du Centre d’Études Historiques (7 au 10 juillet 2011) : 1661, la prise de pouvoir par Louis XIV, CEH, Neuves-Maisons, 2012, p. 247-268.

Consulter les autres articles de l’ouvrage :

Préface, par Monseigneur le Duc d’Anjou (p. 5-6).

Avant-Propos, par Daniel de Montplaisir et Jean-Christian Pinot (p. 7-9).

► « La rupture de 1661 », par le Pr. Lucien Bély (p. 17-34) :

► « De Colbert au patriotisme économique », par le Pr. Bernard Barbiche (p. 35-46) :

► « 1661 : le transfert de la Cour des aides de Cahors à Montauban », par Florence de Baudus (p. 47-60) :

► « 1653-1661 : Permanence des révoltes antifiscales », par le Pr. Yves-Marie Bercé (p. 61-76) :

► « Découverte et esprit scientifique au temps de Louis XIV », par Vincent Beurtheret (p. 77-87) :

► « Louis XIV au Château de Vincennes », par Odile Bordaz (p. 89-102) :

► « 1661 et les arts : prise de pouvoir ou héritage », par Jean-Claude Boyer (p. 103-113) :

« La collection de tableaux de Louis XIV », par Arnauld Brejon de Lavergnée (p. 115-117).

► « Du cardinal Mazarin et du Jansénisme », par l’abbé Christian-Philippe Chanut (p. 119-162) :

► « Voyager avec Jean de La Fontaine à travers la France de l’« avènement », par Laurent Chéron (p. 163-187) :

► « Louis XIV et Marie-Thérèse d’Autriche : La révélation d’un couple », par Joëlle Chevé (p. 189-214) :

► « Attraction solaire et spectacles de cour : une prise de pouvoir métaphorique », par Sabine du Crest (p. 215-230) :

► « Pauvreté et Église à l’aube du siècle de Louis XIV », par le père Jean-Yves Ducourneau (p. 231-246) :

« Turenne et Louis XIV », par Fadi El Hage (p. 247-268) :

  • Introduction / Partie 1 : Les ambitions déçues d’un grand seigneur face à l’émancipation politique d’un jeune roi
  • Partie 2 : Un seigneur de la guerre insignifiant en temps de paix ?
  • Partie 3 : Turenne, le dieu de la guerre du gouvernement personnel de Louis XIV ? / Conclusion : À la recherche du nouveau Turenne.

« 1661 ou l’avènement du roi de guerre. La prise en main des affaires militaires par Louis XIV », par Bertrand Fonck (p. 269-307) :

Les actes des communications des sessions du Centre d’Études Historiques paraissent chaque samedi sur Vexilla Galliae.

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