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Une centaine de personnalités féminines appellent au rejet des vaccins « souillés par l’avortement »

foetus vaccin covid

Un groupe international de près de cent femmes — médecins, religieuses consacrées et responsables et militantes pro-vie — ont lancé un appel aux chrétiens et à toutes les personnes de bonne volonté pour que l’on cesse de justifier moralement l’utilisation de vaccins « souillés par l’avortement », c’est-à-dire ayant recours pour leur développement, leur production ou leur contrôle à des lignées de cellules provenant de bébés avortés. La déclaration, que j’ai moi-même eu l’honneur de signer, souligne que le fait de ne pas s’opposer à cette pratique alimente et fait avancer la culture de la mort à travers le trafic et l’exploitation de bébés avortés à des fins d’expérimentation médicale.

Sa publication initiale en anglais a été faite par le vaticaniste Edward Pentin.

Parmi les signataires, originaires de 25 pays de par le monde, figure le docteur Wanda Półtawska, médecin polonais centenaire, amie personnelle de feu le pape Jean-Paul II et victime d’expériences pseudo-médicales menées par le médecin personnel d’Adolf Hitler dans le camp de concentration nazi de Ravensbrück. Le Dr. Półtawska, également spécialiste en psychiatrie, aujourd’hui âgée de 100 ans, a consacré ces 70 dernières années à œuvrer pour la vie et pour la famille.

On notera aussi la présence, parmi les signataires, de trois anciens membres de l’Académie pontificale pour la vie : le Dr Pilar Calva (Mexique), Mercedes Wilson de Arzu (Guatemala) et Christine de Marcellus Vollmer (Venezuela). Ainsi que de l’Allemande Gabriele Kuby, amie de Benoît XVI.

Parmi les autres signataires figurent Abby Johnson, une militante américaine anti-avortement qui a travaillé comme directrice de clinique pour Planned Parenthood jusqu’en 2009, et dont les mémoires ont servi de scénario pour le film Unplanned de 2019 ; et sœur Deirdre Byrne, ancienne chirurgienne générale militaire et ancienne missionnaire qui a servi au Kenya, en Afghanistan, en Haïti, en Irak et au Soudan, et dont la prise de position en faveur des enfants à naître a attiré l’attention de la nation américaine en août 2020.

L’opposition aux vaccins développés ou produits au moyen de cellules fœtales obtenues lors d’avortements a déjà suscité la controverse en France et ailleurs, autour de la question de savoir si le recours aux vaccins constitue une coopération au mal, et à quel degré. Le pape et les instances vaticanes ont implicitement ou ouvertement rejeté cette opposition en allant jusqu’à dire que la réception du vaccin constitue un devoir de charité pour le catholique.

Le texte ci-dessous rejette cette approche en insistant sur le caractère barbare des avortements qui sont pratiqués, certes à la demande de la femme, mais organisés dans des conditions optimales pour augmenter les chances de réussite pour les chercheurs : avortements tardifs, prélèvement des organes sans anesthésie lorsqu’ils se font sur des tout-petits encore vivants…

En effet, les chercheurs ont besoin d’organes formés pour récolter des cellules vivantes capables de produire une lignée dite « immortelle » qui se prêtera le mieux à l’ingénierie génétique et à la reproduction autonome pendant de longues années (mais avec une limite dans le temps qui conduit à pratiquer de nouveaux avortements pour tenter d’aboutir à de nouvelles lignées exploitables). Ainsi les cellules HEK-293 aujourd’hui largement vendues et utilisées, ont-elles été obtenues au cours des années 1970 au terme de 293 expériences pratiquées sur des cellules prélevées sur des reins (kidneys en anglais) d’un nombre indéterminé d’« embryons humains » — ou plutôt des fœtus, vu le moment de la gestation.

À l’heure actuelle, le bénéfice attendu des agents biologiques Pfizer et Moderna, qui font tous les deux appel à ces lignées pour leurs tests, comme celui du vaccin à adénovirus AstraZeneca qui les utilise dans sa production, reste très modeste — même en admettant les statistiques d’efficacité présentées par leurs producteurs — eu égard au peu de létalité du COVID-19 parmi la population jeune et en en bonne santé, d’autant que rien ne permet aujourd’hui d’affirmer qu’ils protègent contre la contagion. Par ailleurs leurs effets indésirables immédiats, nettement plus fréquents que pour le vaccin anti-grippal, par exemple, ainsi que le nombre non négligeable de décès après vaccination et l’ignorance des effets à long terme d’une technique jamais utilisée à ce jour, constituent autant de circonstances dont il faut tenir compte dans le jugement moral que l’on porte sur ces vaccins « souillés par l’avortement ». Et quoi qu’il en soit de la réponse, il nous appartient de  contester de manière claire le recours de plus en plus fréquent dans le monde de la recherche médicale aux « matériaux » fournis par des fœtus délibérément avortés. Car d’autres solutions existent.

À titre personnel, tout cela m’est une raison suffisante pour avoir signé le texte que je vous présente ci-dessous. Puisse cette démarche entreprise par des femmes au nom de l’amour maternel aider à cette prise de conscience.

Sans quoi, la logique de l’exploitation des enfants avortés (comme on l’a vu avec l’affaire du Planning familial vendant ou fournissant des « produits d’avortement » pour la recherche dans des conditions abominables) ne fera que s’étendre.

Si demain, la recherche médicale devait présenter comme un remède miracle une substance tirée de lignées de cellules souches embryonnaires récoltées sur des embryons produits in vitro, puis détruits par et pour la recherche, devrions-nous l’accepter à son tour ? 

Ci-dessous, ma traduction intégrale de la déclaration. Toutes les notes, avec leurs liens, sont en fin de message.

Jeanne Smits[0]


La voix des femmes pour la défense des enfants à naître
et en opposition aux vaccins souillés par l’avortement

L’avortement est le massacre des Saints Innocents des temps modernes. En tant que femmes, nous souhaitons que notre cri féminin soit entendu dans le monde entier. Cette déclaration vient du plus profond de nos cœurs maternels qui se consacrent à défendre la cause de la vie et à combattre la culture de la mort. Nous l’affirmons donc de tout cœur :

« Nous ne serons pas complices du massacre des Saints Innocents des temps modernes et nous refusons donc d’accepter tout vaccin fabriqué en utilisant des cellules provenant de fœtus humains avortés. »

L’avortement : source du tissu fœtal

Regardons honnêtement la réalité de l’avortement. Environ une grossesse sur cinq dans le monde se termine par un avortement ; on estime que cela représente environ 40 à 50 millions d’avortements par an dans le monde[1]. Depuis que l’industrie de l’avortement a commencé à fonctionner pour de bon, pas moins de 2,5 milliards de bébés à naître ont été assassinés dans le ventre de leur mère. Réfléchissons un instant à ce chiffre, et essayons de sonder cet abîme sans fond.

La cruauté exceptionnellement barbare du XXe siècle, avec ses deux guerres mondiales meurtrières et ses idéologies plus meurtrières encore, est sans commune mesure avec l’immense ampleur de ce massacre mondial des plus impuissants de tous les êtres humains. Comment ne pas garder ce fait fermement à l’esprit alors que nous réfléchissons à la moralité des vaccins fabriqués en utilisant des cellules provenant de fœtus humains avortés ?

Ce génocide des enfants à naître est impensable par son ampleur, mais il est tout aussi inadmissible par son odieuse brutalité : la manière dont ils sont assassinés est d’une barbarie qui dépasse l’entendement. Plaçons sous nos yeux quelques-unes des méthodes d’avortement chirurgical les plus utilisées[2]. Imaginons un bébé garçon à neuf semaines après la conception : il peut faire des culbutes, froncer les sourcils et avaler. Pour avorter ce garçon à naître, un tube creux muni d’une lame acérée à son extrémité est inséré dans le ventre de sa mère et relié à un puissant aspirateur, qui le déchiquette en petits morceaux qui seront aspirés dans un flacon, puis jetés.

Imaginons maintenant une petite fille à naître, à la fin du troisième mois dans le ventre de sa mère : elle peut pleurer en silence, et elle le fait parfois, et elle peut ressentir la douleur. Pour avorter cette fillette, on insère une paire de pinces dans le ventre de sa mère pour saisir, briser et détacher ses os par torsion, jusqu’à ce que son corps soit totalement démembré, sa colonne vertébrale très probablement brisée et son crâne écrasé quand elle sera arrachée au corps de sa mère.

Enfin, imaginons un garçon à naître à 20 semaines : il peut reconnaître la voix de sa mère. Pour l’avorter, le médecin insère une longue aiguille dans l’abdomen de sa mère et lui injecte une forte solution saline, qu’il avale ; le poison corrosif le brûle à l’intérieur et à l’extérieur. En l’espace d’un jour, sa mère donnera effectivement naissance à son bébé mort ou mourant. Beaucoup de ces bébés naissent vivants, puis sont laissés seuls pour mourir. C’est une mort plus cruelle que celle des enfants sacrifiés dans la Géhenne, la vallée près de Jérusalem où les anciens Israélites sacrifiaient autrefois leurs propres enfants, les brûlant vivants entre les mains de l’idole cananéenne, Moloch. Les feux de l’infanticide les ont consumés plus rapidement que ne le sont les minuscules victimes d’aujourd’hui. Aujourd’hui, dans les mains de Moloch, il fait un froid glacial : le petit garçon frissonne avant de devenir silencieux et immobile, couché dans une mare de sang qui se refroidit rapidement. Autrefois emmailloté au chaud dans le ventre de sa mère, il gît maintenant sans vie dans une pièce stérile, nu de la tête aux pieds, sans personne pour le pleurer, sans que personne ne soit en deuil à cause de lui[3].

Le « fruit » de la recherche sur le tissu fœtal

Comme si le nombre et la brutalité barbare de ces avortements ne suffisaient pas, on récolte aujourd’hui des parties de corps de bébés avortés[4] à des fins de recherche médicale dans une sorte d’histoire d’horreur de fœticide des temps modernes. Les avorteurs ont reconnu avoir modifié les procédures chirurgicales[5] afin de s’assurer que certaines parties du corps soient laissées intactes et utilisables par les chercheurs. Imaginez le même petit garçon, non pas brûlé par une solution saline, mais livré vivant à une horreur comparable au sacrifice humain des Aztèques, qui arrachaient les cœurs des vaincus alors qu’ils étaient étendus, haletants, sur les autels des sacrifices. Après avoir été mis au monde, peut-être par césarienne[6], le petit garçon ressent une douleur atroce lorsque l’avorteur lui prélève très rapidement un rein — sans anesthésie — pour que son organe puisse être expédié d’un jour sur l’autre afin de le garder bien frais pour le chercheur complice[7]. Sachant cela, comment pouvons-nous volontairement tirer profit de leur sacrifice en usant d’un vaccin qui a utilisé le corps de ces bébés avortés à un moment quelconque du processus de production, peu importe depuis combien de temps ?

Pourtant, certains diront que ce mal est derrière nous, qu’il date de plusieurs décennies, alors que d’autres soutiennent que l’utilisation d’un vaccin souillé par l’avortement est moralement licite parce que la coopération au mal est « lointaine »[8]. Mais ces positions reflètent-elles la véritable ampleur et la gravité de la situation ? Le mal que représente l’utilisation de lignées cellulaires fœtales avortées ne se limite pas à l’assassinat initial : s’y ajoutent la commercialisation permanente du corps de l’enfant, ainsi que le refus ultime de donner une sépulture à ses restes profanés. En outre, l’utilisation de tissus fœtaux avortés dans le cadre du développement d’interventions médicales alimente très certainement, et alimentera toujours la recherche de nouveaux tissus fœtaux avortés[9]. Les lignées de cellules fœtales ne durent en effet pas indéfiniment[10], et les fabricants de vaccins sont fortement poussés à créer de nouvelles lignées qui correspondent aux anciennes — en choisissant de mener des expériences avec des bébés avortés du même sexe et à peu près du même âge[11]. Cela s’est produit à de multiples reprises au cours des dernières décennies, la lignée cellulaire fœtale avortée la plus récente ayant été mise au point en 2015[12]. En outre, en raison de l’absence notable de protestations à propos des lignées cellulaires, la recherche biomédicale sur les enfants avortés s’est élargie au cours des dernières décennies pour s’étendre à la collecte des corps de bébés à naître assassinés[13] pour les utiliser dans le cadre de recherches qui seraient normalement considérées comme non éthiques sur un être humain[14]. Moloch n’est jamais rassasié.

Les vaccins COVID-19 et le tissu fœtal

Examinons maintenant le cas actuel des vaccins COVID-19, dont beaucoup utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés[15], soit directement au cours du processus de fabrication, soit indirectement par le biais de tests. Tous ces maux ne pourront qu’être perpétués et encouragés par l’acceptation passive, « à titre temporaire » d’un vaccin entaché sur le plan moral. Réfléchissons au fait que le vaccin ROR, développé en 1971 et commercialisé par Merck, a été présenté comme une obligation morale[16] en raison de son potentiel de réduction du syndrome de rubéole congénitale (ce à quoi il ne parvient pas[17]). Le ROR contient un composant rubéoleux contestable sur le plan moral dont l’obtention a nécessité près de 100 avortements distincts[18], et malgré les déclarations de nos prélats selon lesquelles les catholiques qui utilisent le vaccin doivent s’opposer à son utilisation par d’autres moyens[19], il est toujours utilisé cinquante ans plus tard. Ni les voix des bergers ni les fidèles n’ont étouffé l’approbation tacite manifestée par leurs actions. En effet, le consentement généralisé aux vaccins souillés par l’avortement, en particulier de la part des chrétiens, n’a fait que contribuer à la culture de la mort[20]. Nous ne pouvons pas rester les bras croisés alors que l’utilisation de fœtus humains avortés dans la recherche médicale est peu à peu normalisée en tant qu’élément « malencontreux » de la médecine moderne. Il est temps que le clergé et les laïcs affrontent cette horreur avec audace et qu’ils défendent le droit à la vie des plus vulnérables avec « la plus grande détermination »[21]. Il faut en finir avec ce fruit maléfique de l’avortement ! que leur utilisation n’est pas seulement morale, mais qu’elle constitue un véritable acte de charité envers son prochain[22], compte tenu de la gravité de la pandémie. Nous suggérons humblement que de telles déclarations, y compris certaines déclarations officielles émises par des évêques[23] et même par le Vatican[24], sont fondées sur une évaluation incomplète de la science de la vaccination et de l’immunologie, et nous supplions leurs auteurs de repenser leurs déclarations à la lumière des faits suivants :

1) Les candidats vaccins dont on dit qu’ils utilisent des cellules fœtales avortées « uniquement pendant la phase des tests » ont utilisé les cellules HEK-293 [Human Embryonic Kidney-293, « rein d’embryon humain »] comme partie intégrante du développement[25] de leur candidat ARNm, et les ont utilisées à nouveau pour confirmer l’efficacité de l’ARNm, parfois par le biais de plusieurs types de tests[26] de confirmation.

2) Les vaccins candidats en question n’ont pas été rigoureusement testés quant à leur efficacité pour prévenir l’infection ou la propagation du SARS-CoV-2[27], mais seulement pour la réduction de la gravité des symptômes chez les personnes qui développent des « cas confirmés » de COVID-19. Même cette évaluation d’un effet protecteur modeste a pu être considérablement exagérée[28].

3) Le taux moyen de survie à l’infection par le SARS-CoV-2 est supérieur à 98,3 %[29], et il est peu probable que des vaccins aussi peu efficaces aient un impact significatif sur ce taux.

4) Le vaccin présente 5 à 10 fois plus de risques de provoquer des réactions indésirables que les vaccins anti-grippaux et provoque 15 à 26 fois plus de maux de tête, de fatigue et d’étourdissements (selon les données du VAERS[30][organisme américain qui enregistre les effets indésirables liés aux vaccins]). Le vaccin a également provoqué bien d’autres réactions graves et de nombreux décès[31]. Les données de sécurité recueillies sont insuffisantes pour identifier les éventuels effets à long terme[32].

5) Du fait de la nature expérimentale du vaccin[33], inciter, contraindre ou obliger des personnes à le recevoir constitue une violation directe de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme[34].

Pris ensemble, tous ces facteurs indiquent que les déclarations qui justifient l’utilisation des vaccins candidats COVID souillés par l’avortement non seulement passent sous silence la gravité et l’immédiateté des crimes commis contre les enfants à naître, mais ignorent également les données scientifiques sur la maladie, et l’inadéquation des vaccins candidats actuels et leurs risques connus et inconnus.

Pour conclure notre réflexion, en tant que chrétiens nous sommes appelés à nous revêtir de l’esprit du Christ et d’unir nos cœurs au Sacré-Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie. C’est pourquoi nous ne coopérerons plus avec cette immense secte infanticide. Nous ne pouvons plus offrir ce grain d’encens à Moloch. L’heure est venue pour nous d’imiter les premiers chrétiens dans leur disposition à donner leur vie pour la Vérité. Nous ne serons pas complices. L’heure est venue de se lever !

+ 8 mars 2021
Fête de saint Jean de Dieu, saint patron des hôpitaux et des malades,
Journée internationale de la Femme

Consultez la liste intégrale des 86 signataires sur leblogdejeannesmits.


[0] Nous relayons ici l’article de Jeanne Smits publié sur son blogue, à l’adresse suivante : https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/03/une-centaine-de-femmes-parmi-lesquelles.html

[1] Thomas D. Williams, PhD, “Global Abortions Surpass 1.1 Million in First Ten Days of New Year”, Breitbart, 10 janvier 2021.

[2] “All the Facts You Ever Need to Know about Abortion Methods”, LifeSiteNews.com.

[3] “Devons-nous refuser les vaccins fabriqués à partir de cellules dérivées de fœtus humains avortés?”, Le Blog de Jeanne Smits, 26 janvier 2021.

[4] Meredeth Wadman, “The Truth about Fetal Tissue Research”, Nature Magazine, 9 décembre 2015.

[5] Debra Vinnedge, “Forsaking God for the Sake of Science”, Children of God for Life, 13 juin 2012.

[6] Ibid.

[7] Debra Vinnedge, “Aborted Fetal Cell Line Vaccines and the Catholic Family: A Moral and Historical Perspective”, Children of God for Life, Octobre 2005.

[8] Fraternité Saint Pie X, “Is it Morally Permissible to Receive the Covid-19 Vaccine?”, Society of Saint Pius X, 4 décembre, 2020.

[9] Dr. Theresa Deisher, “Recently Aborted Baby DNA in Vaccines”, Sound Choice Pharmaceutical Institute, 1er novembre 2019.

[10] Debra Vinnedge, “Aborted Fetal Cell Line Vaccines and the Catholic Family: A Moral and Historical Perspective”, Children of God for Life, Octobre 2005.

[11] Christine Beiswanger PhD, “A Brief History of IMR-90”, Coriell Institute for Medical Research, 2004.

[12] Carol Szczepaniak, “The Ethics of the Walvax-2 Cell Strain”, Nebraska Coalition for Ethical Research, 14 mars 2016.

[13] “Coalition Fetal Tissue Research Letter”, Endocrine Society, 16 septembre 2019.

[14] Stacy Trasancos, “How Aborted Children are Used in Medical Research in 2020”, National Catholic Register, 15 décembre 2020.

[15] “Covid-19 Vaccines and Treatments in Development”, Children of God for Life, 12 janvier 2021.

[16] “Moral reflections on vaccines prepared from cells derived from aborted human fetuses”, Académie pontificale pour la vie, 9 juin 2005.

[17] Catherine J.M. Diodati, “Immunization: history, ethics, law and health”, Integral Aspects, 1999.

[18] Debra Vinnedge, “Vaccines from Abortion: Time to Report the Truth”, Children of God for Life, 20 mai 2019.

[19] “Instruction Dignitas Personae sur certaines questions bioéthiques”, Congrégation pour la Doctrine de la foi, 8 septembre 2008.

[20] Jean-Paul II, “Encyclique Evangelium Vitae”, 25 mars 1995.

[21] Jean-Paul II, “Exhortation apostolique post-synodale Christifidelis Laici”, 30 décembre 1988.

[22] “Pope Francis to have Covid-19 vaccine, says it is the ethical choice for all”, Reuters, 9 janvier 2021.

[23] Président du Committee on Doctrine and the Committee on Pro-Life Activities, “Moral Considerations Regarding the New Covid-19 Vaccines”, Conférence des évêques des États-Unis.

[24] “Note on the morality of using some anti-Covid-19 vaccines”, Congrégation pour la Doctrine de la foi, 21 décembre 2020.

[25] Daniel Wrapp, et al. “Cryo-EM structure of the 2019-nCoV spike in the prefusion conformation”, Science Magazine, 13 mars 2020.

[26] “Guidance on Getting the COVID-19 Vaccine”, Children of God for Life.

[27] Pfizer, “A Phase 1/2/3 Study to Evaluate the Safety, Tolerability, Immunogenicity, and Efficacy of RNA Vaccine Candidates Against COVID-19 in Healthy Individuals”, BioNTech.

[28] Peter Doshi, “Pfizer and Moderna’s ‘95% effective’ vaccines—we need more details and the raw data”, thebmjopinion, 4 janvier 2021.

[29] John P. A. Ioannidis, “Infection fatality rate of COVID-19 inferred from seroprevalence data”, Bulletin of the World Health Organization, 14 octobre 2020. Article ID: BLT.20.265892.

[30] VAERS, Vaccine Adverse Event Reporting System.

[31] Amanda Woods, “23 die in Norway after receiving Pfizer Covid-19 vaccine: officials”, New York Post, 15 janvier 2021.

[32] Entretien avec Bill Gates, “Vaccine Safety Compromise”, BBC Breakfast, 12 avril 2020.

[33] “How the Pfizer-BioBTech Covid-19 Vaccine was Developed”, 60 Minutes, 21 décembre 2020.

[34] Nations unies, “Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme”, 19 octobre 2005.

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