Social et économie

Vaccination, assignats et loi des suspects

Nous vivons 1789 en 2020 et, cette fois-ci, à un niveau mondial. Ils ont simplement remplacé la « liberté du peuple » par la « santé du peuple ». 

Tout bon sens a été évacué depuis longtemps, toute pensée raisonnable supprimée, toute réflexion bannie, tout sens commun honni. Comme en 1917 en Russie ou dans les années 1930 en Allemagne, l’idéologie dicte à nouveau sa froide machinerie, ordonnant à tout un chacun : devient mon esclave, ou meurt.

Il suffit de faire de l’histoire pour comprendre la gravité des tribulations qui s’annoncent. L’Église hiérarchique, qui a perdu tout enracinement en Europe, ne sera même plus là pour nous soutenir. Au contraire, elle est aujourd’hui dans l’autre camp.

Où en sommes-nous dans l’avancée du gouvernement de la Terreur ? Plutôt 1789, 1792 ou 1793 ? Disons que la vaccination et le passeport sanitaire qui va avec font penser à une sorte de combinaison infernale des assignats et de la loi des suspects.

La vaccination comme assignat

Souvenons-nous : un facteur décisif de la réussite de la Révolution française, outre la peur, fut d’avoir « mouillé » un grand nombre de sujets clefs, qui avaient mal acquis les biens de l’Église spoliés par la Révolution à travers les assignats. De cette façon, la Révolution avait créé une sorte de « consentement » forcé. Des tas de gens corrompus, qui n’auraient pas été spécialement révolutionnaires en d’autres conditions, furent contraints de protéger la Révolution coûte que coûte. En effet, il devient plus difficile de résister une fois que l’on a commis un acte irrémédiable, qui engage, et qui peut faire craindre des représailles en cas de restauration (argument utilisé à outrance, qui s’est révélé complétement faux puisque la Restauration fut d’une clémence hautement chrétienne et royale).

La vaccination comporte cet aspect pousse-au-crime : une fois vacciné, il vous sera bien plus difficile de reconnaître que tout ce qui se passe est un mensonge planétaire, que ce « vaccin » — qui n’en est pas un, ne l’oublions pas — est inoculé dans le cadre d’un essai clinique géant, dont on espère qu’il ne servira pas à une stérilisation de la population. La marche forcée pour arracher le « oui » des citoyens évoque ce besoin de créer un consentement factice pour créer par la force un peuple vacciné — un peuple régénéré —, qui n’a d’autre choix que d’être pour la révolution sanitaire ou de ne pas être.

La vaccination comme loi des suspects.

Sous la Révolution, ceux qui ne défendaient pas ostensiblement la liberté étaient forcément contre la liberté, des crypto-aristocrates en d’autres termes, soit de véritables dangers pour la Nation, de la chair à guillotine pour faire simple. De même, si vous n’êtes pas vaccinés, vous n’êtes pas pour la santé publique, vous êtes donc a priori contre la santé publique, c’est-à-dire un danger pour la santé de la Nation. Les politiciens l’ont dit, rapidement suivis par les journalistes : si vous refusez la vaccination, vous êtes un antipatriote ! Il faut donc vous éliminer, socialement s’entend. Mitterrand et Badinter ont rangé la guillotine au placard.

Le passeport sanitaire entérine cette élimination sociale. Une véritable épuration se prépare, comme durant toute révolution : on fait d’abord fuir par la peur, puis l’on force à faire partir tout élément résistant, pour mieux tenir la machine répressive, le rouleau compresseur qui n’aura plus qu’à massacrer le petit reste sans que personne ne se plaigne.

Regardez nos nouvelles pravda du nom d’IFOP, Elabe et autres IPSOS, elles le font comprendre : « Est-il légal de licencier quelqu’un de non vacciné ? » Évidemment, tout le monde aurait répondu oui. « Voulez-vous étendre le pass sanitaire pour les visites d’hôpital ? » Oui, en majorité, là encore…

Le passeport sanitaire est un peu notre étoile jaune — dont ils vont inventer un avatar 3.0, style QR code (ou mieux, qui sait ?).

Résistons !

Il faut donc, nous preux sujets du Roi, nous bétonner et résister en n’ayant aucune illusion, ni sur le sort qui nous attend, ni sur l’effet de notre résistance : tout sera fait pour nous faire commettre l’acte de consentement, jusqu’à nous faire perdre emploi, situation, etc.

Alors bétonnons-nous, nous et notre famille, pour résister vaille que vaille, et resserrons nos communautés charnelles et spirituelles de proximité tant que nous avons encore quelques interstices pour respirer.

Profitons du peu de temps qu’il nous reste de liberté restreinte sur internet pour faire le plein de tout ce qui peut nous servir, tant sur le plan matériel que spirituel : couture, gestion de la maison, techniques de chasse, maniement des armes, prières, contact, bonnes revue, etc., etc.

Et fourbissons nos armes pour faire ce que nous pouvons, là où nous sommes, en attendant l’appel du roi. Prions encore et encore pour nous sanctifier, et pour nous donner, ainsi qu’à nos familles, les vertu de force et de courage, car il est facile de se sacrifier, mais il ne faudra pas craquer quand nos familles seront aussi attaquées.

Paul-Raymond du Lac

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

2 réflexions sur “Vaccination, assignats et loi des suspects

  • Jean Jacovella

    M. Paul-Raymond du Lac, j’ai lu avec attention votre article.

    Oui, il est certain que nous revivons un 1789 mais cette fois à l’échelle mondiale et la donne est différente en terme d’oppression. Cette république avait bien un plan lorsqu’elle s’est imposée par la force et ce plan se dévoile au XXIe siècle avec l’asservissement de tout un peuple, du moins une partie car l’autre a bien l’intention de résister, et tant mieux, ce qui prouve que les Français ne sont pas tous idiots. Les consciences se réveillent peu à peu et une solidarité se met en place.

    De l’autre coté, les forces obscures sont sûres d’elles, elles se croient fortes…
    Nombre de dictateurs ont été sûrs de leur victoire, mais au final, ils ont échoués. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’en face des gens ont dit NON à l’injustice, NON à l’esclavage. Nous royalistes devons agir et maintenant car nous n’avons plus le temps d’attendre. Notre roi se doit de prendre une décision cruciale si il veut que la France soit libérée de cette dictature républicaine, que ses loyaux sujets, son peuple soit libre, que ce pays redevienne prospère et fort. Oui, il faudra en passer par la force car en face nos ennemis seront armés et sans pitié. Mais cette fois-ci, il faudra gagner impérativement ! Alors préparons-nous, et aidons notre roi à retrouver sa place légitime, de droit divin.

    Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

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