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La fin des petites libertés…

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Français, combien de temps supporterez-vous encore de vous faire malmener ? Combien de temps tolèrerez-vous de vous faire voler vos libertés sans réagir ? De vous faire entraver à des échelles sans précédents ; enfermer chez vous sans protestations avec laissez-passer et sauf-conduits, sous peine d’amendes ou pire ; museler sous peine d’amendes et pire ?! Dictature du thermomètre et des tests absurdes, oukases sur les commerces et les affaires de façon unilatérales et stupides, vexations en tout genre…! Ils cherchent le chaos et s’en fichent, car ils se croient protégés, il faut se lever !

Ne parlons pas de toutes ces libertés locales et corporatives perdues depuis des siècles déjà, et rognées encore et encore pour celles qui n’ont pas été totalement dissoutes à cette heure — comme la liberté d’enseignement, régulièrement attaquée.  Pire, à ce rythme, on forcera bientôt les médecins, sages-femmes et infirmières, ces curateurs du corps, à assassiner des bébés et des vieux ! L’affaiblissement de nos libertés est ancienne et n’est pas étrangère à la situation catastrophique actuelle, mais quand même !

Ici, au Japon, rien d’obligatoire. Il n’y a pas d’entraves à la circulation — si ce n’est aux frontières (ce qui est une prérogative régalienne et, soit dit en passant, la seule mesure susceptible d’être efficace contre une pandémie : la République en France a d’ailleurs fait l’inverse, enfermant les gens chez eux, et ouvrant toujours plus ses frontières) — et pas d’obligation de port du masque non plus. Pas d’amendes, pas de décrets administratifs forçant à la fermeture des magasins ou obligeant à des mesures sanitaires folles — tout est laissé à l’appréciation des responsables locaux, le gouvernement ne fait que donner des indications, jamais coercitives. Sur ces six mois, en plein confinement, j’ai même pu en profiter pour faire voyager (partir en pèlerinage, en fait) à travers le Japon : semaine sainte à Osaka, pèlerinage à Akita, puis repos en montagne… Et personne pour nous insulter ! Ce fut même tout l’inverse ! Les hôtels et restaurants nous faisaient la fête : enfin des clients pour survivre ! Malgré cela, la situation est grave et les boutiques — dont certaines que nous fréquentions et qui marchaient pourtant bien — ferment en masse !

Que faites-vous en France ? Pourquoi vous laissez-vous faire comme des mollusques invertébrés et sans influx nerveux ?! On tue des vieux, on tue des bébés, on tue le lien social, on tue les libertés fondamentales : levez-vous et résistez, avec ruse et prudence, mais sans lâcher et sans peur des conséquences ! Car, à ce rythme, plus on attend, plus la situation sera terrible et irrécupérable ! 1793 n’est pas arrivé du jour au lendemain, il a fallu des décennies d’atmosphère délétère et des années de peurs et de massacres entre 1789 et 1793…

Nous pouvons arrêter le carnage qui s’annonce si nous résistons ! Si nous restaurons ! Dans la prière et l’action au service du bon Dieu et du Roi !

Paul de Beaulias

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

Une réflexion sur “La fin des petites libertés…

  • PELLIER Dominique

    Le Japon, comme la FRANCE, a ses défauts, mais il est vrai qu’on nous mène ici par le bout du nez, nous disant les choses puis leur contraire, dans une obscurité impénétrable. Dame, comment pourrait-on mieux gouverner !

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