Social et économie

Errare humanum est, perseverare diabolicum

Nous allons droit dans le mur si nous ne faisons rien. J’espère me tromper, mais je suis inquiet. La folie est devenue le nouveau bon sens, cela ne présage rien de bon ! Je peux comprendre, à la limite, que tout le monde se trompe au début, quand l’inconnue et la surprise tétanisantes sont là, mais maintenant…

Disons-le tout net : ce virus est ridicule, il tue peu, et il ne fait pas de mal, à part celui que nous nous faisons nous-mêmes ! Notre époque est ridicule, et si les générations futures sont normales, notre époque sera sévèrement jugée, et c’est peut-être d’ailleurs pour cela que le bon Dieu l’autorise, pour servir de repoussoir absolu aux générations futures, sur tous les plans. Soyons honnêtes, ce virus est ridicule. Quand on pense qu’on assassine chaque année au minimum 200.000 bébés… Là, personne pour pleurer. Ceci n’est qu’un exemple, ô combien symbolique !

Surtout, plus personne ne regarde la réalité, on invente des indices, des graphiques et des chartes, ainsi que des protocoles pour se rassurer, mais à y regarder de près, ils sont plus stupides les uns que les autres. Pire : ils servent d’engrenage infernal, quantitatif, déresponsabilisant tous les responsables : vous avez plus que 37,5 de fièvre ? Viré ! Plus de tant de nouveaux cas ? Confinés !, etc., etc. C’est l’engrenage infernal. Fou et dangereux !

Je ne suis pas médecin et Dieu m’en préserve ! Car s’il faut faire 11 ans d’études pour pondre ces bêtises, alors il est prouvé que l’étude universitaire abêtit… C’est ici que c’est inquiétant : personne ne veut remettre en cause frontalement tout le cadre sanitaire, qui est comme devenu un nouvel Évangile, par décret du comité scientifique et par la bénédiction de la peur et des instances nationales… Heureusement que nous sommes dans des âges de progrès, de lumières et de liberté !… car si on ne le disait pas, on verrait l’obscurantisme ambiant, la décadence et la barbarie et l’opium du peuple !

Cette incapacité chronique de reconnaître ses erreurs : où êtes-vous passés examen de conscience quotidien, confession et pénitence publique ? Notre société est devenue si anticatholique…

Et cela n’augure rien de bon : que se passera-t-il à l’arrivée de l’hiver, avec ses maladies normales ? Car en hiver on tombe malade, et on meurt, c’est comme ça. Aujourd’hui, pourtant, mourir est un crime, comme tomber malade dirait-t-on. Sans compter les malhonnêtes pervers qui vont tout faire pour continuer à profiter un maximum de la situation pour avancer leur folie.

Et les gouvernants veulent à ce point prouver qu’ils sont sans reproche — alors que personne n’est sans reproche, et venant de ces gouvernants-là, c’est vraiment se moquer du monde ! — qu’on les imaginerait bien commettre des crimes pour « prouver » qu’ils avaient raison ! Alors prions en ces temps troublés ! Prions le bon Dieu, Notre Dame, nos saints de France, et saint Michel !

Que notre bon Roi revienne vite ! Que nous allions au plus vite à ses pieds !

Paul-Raymond du Lac

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

Une réflexion sur “Errare humanum est, perseverare diabolicum

  • PELLIER Dominique

    On se moque ostensiblement du monde en faisant retentir plusieurs sons de cloche, se contredisant eux-mêmes, les uns les autres. Qui croire, que faire ? Peut-être, est-ce cela le plus dangereux, l’ignorance de la vérité, de ce qu’il faut faire ou ne pas faire, surtout clairement et définitivement.

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