Politique

Une seule solution : vivre clandestinement !

Pour ceux, légalistes, qui n’ont pas le courage de sortir de la légalité, qu’allez-vous faire ? Laisser l’État prendre vos enfants et les endoctriner ? Vous faire virer et taxer jusqu’à ce que mort politique s’ensuive ? Vous laisser malmener et les laisser vous interdire la Messe de toujours ? Cesser de vivre, d’aller au restaurant et n’importe où ailleurs ? Pire, vous faire vacciner par lâcheté et pusillanimité, et devenir tel le chien de la fable de la fontaine ? Laissez vos anciens mourir à petit feu dans les mouroirs d’État ? Payer toutes vos taxes jusqu’à mourir sous la charge ? Laisser les assassins courir, enlever et pervertir vos filles, agresser vos enfants ? Ne plus appeler un chat un chat, et dire qu’un chien est un homme, un non-vacciné un sous-homme ? Laisser fermer vos écoles ? Vous laisser spolier par le grand capital libertaire et révolutionnaire ?

Il est de nécessité de plonger tranquillement dans la clandestinité pour tout ce qui est vital et de ne pas les laisser vous marcher sur les pieds. Nous sommes faibles, certes, mais forts aussi : nous devons faire discrètement ce que nous avons à faire — éduquer nos enfants, servir Dieu et le Roi, dire la vérité, agir dans la justice… — en renforçant nos communautés naturelles et surnaturelles.

Nous sommes forts par notre nombre et la crispation de la Gueuse révolutionnaire le prouve : ils perdent le contrôle, ne leur donnons pas la joie ni la possibilité de reprendre la main par notre lâcheté et notre mollesse, par notre tiédeur.

Soyons forts, et formons nos jeunes à être forts pour en faire des battants, des chevaliers et des croisés !

Et pour les vieux, c’est pareil ! Votre mollesse et vos compromis incessants depuis des décennies, par « tolérance », par gentillesse et et autres bêtises, nous ont conduit à la catastrophe présente : alors, faites amende honorable et si votre âge et votre position ne vous permettent plus d’œuvrer activement et directement pour Dieu et le Roi — disons, si vous êtes à la retraite ou si vous êtes trop affaibli pour agir —, alors redoublez de prières et de sacrifices ; c’est le moins que vous devez devant la lourde responsabilité que vous avez d’avoir permis ce qui se passe.

Alors entrons en clandestinité, modulable en fonction des circonstances et des lieux, pourvoyons au pire, pour donner le change et éviter que nos enfants soient enlevés, nos communautés détruites, sans compromissions ni compromis, dans l’intransigeance qui fonctionne quoiqu’il en coûte et dans le secret s’il le faut et quand il le faut, ou du moins sans publicité.

Soyons prêts à surgir comme les Vendéens de leurs bosquets quand les bleus seront à portée, puis à retourner au bocage, à l’abri, pour faire vivre nos familles.

Antoine Michel

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France !

Une réflexion sur “Une seule solution : vivre clandestinement !

  • Tout à fait d’accord avec vous. De plus, ce pouvoir n’a que faire de nous, puisque nous sommes par définition des ennemis, des renégats, des méchants. Il suffit de ne plus participer, ni collaborer de quelque manière que ce soit avec ce régime politique dévoyé et déliquescent. Le plus difficile est d’être constant dans l’effort car il faut agir et se comporter ainsi chaque jour. Ce n’est pas un acte ponctuel mais plutôt une manière d’être qui consiste à dire à l’oppresseur : «  Vous me voyez, mais je ne suis pas là ; vous me parlez, mais je ne vous entends plus ; vous me demandez d’obéir, je ne consens qu’à obtempérer quand je ne peux pas faire autrement. »La clandestinité permet aussi de développer des vertus un peu oubliées : supporter les privations, agir dans la discrétion…

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