Politique

Entre giflette et génocide, par François des Millets

Le 8 juin 2021, après avoir visité le lycée hôtelier de Tain-l’Hermitage, dans la Drôme, Emmanuel Macron court à la rencontre de la foule et reçoit une gifle sous le cri de  « Montjoie ! Saint-Denis ! À bas la Macronie ! ». Immédiatement interpellé, l’homme est placé en garde à vue pour « violence volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique ».

Le 10 juin, Emmanuel Macron déclare : « ce n’est pas grave de recevoir une gifle quand on va vers une foule », tout en qualifiant le geste « d’imbécile et violent ». Dans un entretien accordé à la presse, il commente : « Ne laissons pas des individus ultra-violents prendre possession du débat public. Ils ne le méritent pas », pour ajouter dans le même temps : « Tout va bien. Il faut relativiser cet incident qui est, je pense, un fait isolé. Il ne faut pas que cela vienne occulter le reste des sujets si importants qui concernent la vie de beaucoup.[1] » Pour justifier le fait de ne pas avoir déposé plainte, il explique : « compte tenu de la place qui est la mienne, je pense qu’il fallait laisser la justice suivre son cours » tout en ajoutant que la « justice s’en est tout de suite saisie[2] ». Effectivement, le jour même, le parquet de Valence annonce qu’une plainte va être déposée par le préfet de la Drôme[3]… De l’art habituel de dire tout et le contraire de tout pour embrouiller les esprits et penser plaire à tout le monde. Mais pour penser l’un et le multiple, il faut être Platon… et Jupiter n’est pas Platon.

Le même jour, soit deux jours seulement après l’événement, le procès s’ouvre devant le Tribunal de Valence.

Lors de ses réquisitions, le procureur, tout en constatant qu’il n’y a pas d’ITT, qualifie le geste d’« acte de violence délibérée (…) parfaitement inadmissible[4] », semblant particulièrement préoccupé par un risque de récidive chez un prévenu qui, pourtant, acceptant d’être jugé immédiatement, ne demande pas le renvoi de son procès afin de préparer sa défense.

18 mois de prison ferme seront requis !

À l’audience, le prévenu reconnaît son geste, né d’une impulsion inspirée par un sentiment d’injustice à la vue d’un président au « regard sympathique et menteur » qu’il « n’apprécie pas[5] ».

Jugé en comparution immédiate, l’individu écope d’une peine de 18 mois de prison dont 4 mois fermes avec mandat de dépôt, assortie d’une période probatoire de 2 ans, de la privation de ses droits civiques pendant trois ans, d’une interdiction d’exercer toute fonction publique à vie et de détention des armes pendant cinq ans et d’une obligation de suivi psychologique.

À l’annonce du verdict, sa compagne fond, silencieusement, en larmes[6]. Sous escorte policière et menottes aux poignets, il quitte la salle d’audience pour être incarcéré le soir même. Unanime, la classe politique républicaine condamne le geste et soutient la victime.

Le gouvernement, d’abord, avec à sa tête le premier ministre Castex qui devant une assemblée nationale qui se lève et applaudit, déclare « la politique ça ne peut en aucun cas être la violence, l’agression verbale, et encore moins l’agression physique[7] ».

Dans son sillage, pour LaRem, Sacha Houlié dénoncera un acte « d’une extrême gravité », appelant « une condamnation et une prise de conscience de chacun de la façon dont on a de se comporter », ajoutant « quant à cet individu, il mérite la plus grande fermeté[8] ».

Le député du Gard et, par ailleurs, président de la Commission de la Défense nationale et des Forces armées, déclare que « s’en prendre ainsi physiquement au président de la République Emmanuel Macron est inadmissible ! Face à ceux qui cherchent à attaquer la République et à affaiblir notre démocratie, j’en appelle à la condamnation la plus ferme et au sursaut républicain[9] ».

Avec une fermeté sans réserve, Marine Le Pen qualifie ce comportement d’« inadmissible et profondément condamnable dans une démocratie ». Dans un tweet, elle condamne « fermement l’agression physique intolérable[10] ».

Selon Valérie Pécresse, « aucun désaccord politique ne justifie une telle violence[12] ». Et pour Éric Woerth qui sera bientôt lui-même mis en examen dans une autre affaire[13], il s’agit là d’ « une honte absolue”, « une gifle à la République »[14].

Quant à Najat Vallaud-Belkhacem, elle considére que « cette image du Président de la République giflé fait froid dans le dos » et appelle à penser « au monde que nous laissons à nos enfants[15] ». Même Jean-Luc Mélenchon se déclare « solidaire du Président[16] ».

C’est peu dire que la république, drapée dans sa dignité, n’a de mots assez forts pour qualifier la gravité du geste, l’horreur de sa signification et l’effroi de ses conséquences… Et pourtant…

Et pourtant, la république est responsable de la mort d’un enfant par les mauvais traitements qu’elle lui a infligé. Pauvre, malheureux enfant.

La république a commencé par guillotiner ses deux parents. Son père, tout d’abord, au terme d’un jugement qui n’en a que le nom. Il se prénommait Louis. C’était le Roi de France.

Robespierre, lui-même, l’avocat de l’obscur, l’auxiliaire de l’injustice, le boucher d’Arras, l’avoua lui-même sans se dissimuler :

« Il n’y a point de procès à faire. Louis n’est point un accusé, vous n’êtes point des juges ; vous êtes, vous ne pouvez être que des hommes d’État et les représentants de la nation. Vous n’avez point une sentence à rendre pour ou contre un homme, mais une mesure de salut public à prendre, un acte de Providence nationale à exercer. Quel est le parti que la saine politique prescrit pour cimenter la République naissante ? C’est de graver profondément dans les cœurs le mépris de la royauté, et de frapper de stupeur tous les partisans du roi ». […] » Louis fut roi, et la République est fondée». Et encore : « la victoire et le peuple ont décidé que lui seul était rebelle. Louis ne peut donc être jugé, il est déjà condamné[17] ».

Louis ne pouvait être jugé. Et pourtant, il fut condamné à mort, coupé en deux, tronçonné au cou, égorgé puis décapité. Un sinistre 21 janvier 1793, après un vote majoritaire de la Convention, par une machine monstrueuse qui bientôt, dans ses saccades infernales, déversera sur le pavé des places publiques l’océan du sang des innocents. Celui de millions de Françaises et des Français subirent par elle un sort horrible. Partout en France et pas seulement en Vendée. Au point que les sabots des chevaux glissaient dans les rues, sur ces vagues écarlates.

Alors, on inquiéta, on dénonça, on rechercha, on pourchassa, on arrêta et on emprisonna les femmes, les enfants, les vieillards, les hommes, avant d’offrir leurs gorges innocentes à la lame de la guillotine ; on précipita les corps vivants dans les eaux troubles des fleuves, on enfourna les enfants dans les fours à pain, on trancha, égorgea, transperça, dans une folie meurtrière, les membres d’un peuple pour le soumettre tout entier. Pour le changer, on le fit disparaître. On alla jusqu’à faire de la peau de leurs cadavres des culottes ou des couvertures de livres[18]. On cravacha jusqu’à la chair les chevaux fous de l’enfer, tirant derrière eux le fiacre hideux de la Révolution sur la route infernale du génocide.

C’est bien en France et en 1789 que le crime contre l’humanité a été inventé. Et ce ne sont pas les nazis qui l’ont inventé. C’est bien la république. 

Et puis, à cet enfant, l’on guillotina aussi sa mère. Elle se prénommait Marie-Antoinette et elle était Reine de France.

Le 27 mars 1793, Robespierre, toujours lui, réclama sa tête à la tribune :

« La punition d’un tyran, obtenue après tant de débats odieux, sera-t-elle donc le seul hommage que nous ayons rendu à la liberté et à l’égalité ? Souffrirons-nous qu’un être non moins coupable, non moins accusé par la Nation, et qu’on a ménagé jusqu’ici, comme par un reste de superstition pour la royauté ; souffrirons-nous qu’il attende tranquillement ici le fruit de ses crimes ? Une grande République, outragée avec tant d’insolence, trahie avec tant d’audace, attend de vous l’impulsion qui doit ranimer dans tous les cœurs une sainte antipathie pour la royauté, et donner une nouvelle force à l’esprit public. »

Lors d’un procès truqué qui ne fut qu’une funeste mascarade, Marie-Antoinette affrontera pendant deux jours presque sans discontinuer, les déclarations de faux témoins dans un dossier vide.  

Rien ne lui sera épargné pour obtenir sa tête, jusques aux pires accusations d’inceste sur la personne de son fils inventées par la bouche vénéneuse d’un dénommé Jacques-René Hébert :

« ces deux femmes le faisaient souvent coucher entre elles deux ; que là, il se commettait des traits de la débauche la plus effrénée. (…) Que cette criminelle jouissance n’était point dictée par le plaisir, mais bien par l’espoir politique d’énerver le physique de cet enfant, que l’on se plaisait encore à croire destiné à occuper un trône, et sur lequel on voulait, par cette manœuvre, s’assurer le droit de régner alors sur son moral, que, par les efforts qu’on lui fit faire, il est demeuré attaqué d’une descente, pour laquelle il lui a fallu mettre un bandage ». Et l’accusateur d’ajouter odieusement : « depuis que cet enfant n’est plus avec sa mère, il reprend un tempérament robuste et vigoureux.[19]»

Pour seule réponse, la Reine qui était d’abord une mère déclara : « la nature se refuse à répondre à une pareille inculpation faite à une mère. J’en appelle à toutes celles qui peuvent se trouver ici. »

Seulement coupable d’être l’épouse d’un Roi innocent, la Reine Marie-Antoinette fut condamnée à la peine de mort le 16 octobre 1793 et exécutée le jour même.

Comme si cela ne suffisait, dans les semaines et quelques mois qui précédèrent ce second assassinat, les tombes royales de ses aïeux furent profanées.

À la séance du 31 juillet 1793, Barrère martelait à la Convention « que, pour célébrer la journée du 10 août, qui a abattu le trône, il fallait, dans son anniversaire, détruire les mausolées fastueux qui sont à Saint-Denis. Dans la monarchie, les tombeaux mêmes avaient appris à flatter les rois ; l’orgueil et le faste royal ne pouvaient s’adoucir sur ce théâtre de la mort, et les porte-sceptre qui ont fait tant de maux à la France et à l’humanité semblent encore, même dans la tombe, s’enorgueillir d’une grandeur évanouie. La main puissante de la République doit effacer impitoyablement ces épitaphes superbes et démolir ces mausolées qui rappelleraient des rois l’effrayant souvenir ».

Le 10 août 1793, il fut décidé « que les tombeaux et mausolées des ci-devant rois, élevés dans l’église de Saint-Denis, dans les Temples et autres lieux, dans toute l’étendue de la République, seraient détruits ».

Pendant les journées du 6, 7 et 8 août 1793, dans la nécropole royale de la basilique Saint Denis, ce furent 51 tombeaux qui furent profanés, saccagés, mutilés, dispersés en morceaux. 79 corps dont celui de 25 rois, de 17 reines, de 71 princes et princesses de sa Maison furent jetés, pêle-mêle, au milieu de la chaux vive, dans deux fosses creusées non loin de là[20]. Le corps du bon Roi Henri IV fut exposé aux curieux, dressé debout, durant deux jours dans la basilique[21]. D’autres furent mutilés, certains révolutionnaires n’hésitant pas à dépouiller les corps des ongles, cheveux, dents ou os pour les revendre. La dépouille mortelle de Marie de Médicis fut insultée et ses cheveux sur son crâne arrachés.

L’horreur n’eut plus de limite.

Quant à l’enfant lui-même, il se prénommait Louis. Il était le Dauphin devenu Roi depuis l’assassinat de son père. Innocent parmi les innocents, il sera enfermé à la prison du Temple en 1792,  de laquelle il ne sortira plus pour mourir dans sa cellule, à l’âge trop précoce de dix ans[22]. Déjà, au début du mois de mai 1795, le médecin Pierre Joseph Desault, le décrit « mourant, victime de la misère la plus abjecte, de l’abandon le plus complet ».  

« Un être abruti par les traitements les plus cruels[23] ».

Martyr parmi les martyrs, arraché à sa mère après l’exécution de son père, isolé dans une cellule, le pauvre enfant fut soumis à d’épouvantables conditions de détention : sa « cellule était très étroite, sombre et suintante d’humidité, à tel point que les bois de la porte avaient gonflé et qu’il fallait soulever l’énorme battant pour l’ouvrir. Le mobilier se réduisait à une table en bois et un lit. Pour déjeuner, à 8 heures, il recevait toujours le même pitoyable repas :  Quelques fruits avariés ou trop secs et un peu de lait qui s’agitait inutilement au fond d’un bol ébréché. Comme il (le garde Lasne) en avait l’habitude, il déposa le plateau à même le sol avant de s’avancer presque à tâtons vers la porte. […] Le gardien vit que le plateau de la veille était toujours à la même place, au bas du lit. Les assiettes n’avaient pas bougé, tout était en ordre mais le prisonnier n’avait rien mangé. […] Les cheveux de l’enfant n’avaient pas été coupés depuis longtemps et des boucles sales glissaient un peu partout… » Les conclusions de l’inspecteur étaient péremptoires : « … il faut absolument transporter le prisonnier dans une autre pièce. Toutes ces grilles, ces serrures en mauvais état, et aussi l’absence de lumière, aggravent la santé morale de l’enfant[24]. »

Après que Robespierre a été guillotiné, l’enfant est trouvé « dans un état déplorable, prostré, vivant au milieu des ordures, incapable de marcher tant il a les genoux gonflés, souffrant de rachitisme [25]».

Plutôt que de pousser l’enfant sur l’échafaud, la République choisit de le torturer jusqu’à le faire mourir de ses hideux traitements. De mort lente.

Cet enfer sur terre, qui aurait muer n’importe quel autre être humain en une bête, ne priva pas l’admirable enfant-Roi ni de bonté, ni de charité jusque et envers ses propres bourreaux. À la question vicieuse et cruelle que lui posait le cordonnier analphabète Simon, son geôlier :  « Capet, si les royalistes te délivraient, que ferais-tu ? ». Il répondit : « Je vous pardonnerais[26]  ! »

Le couple Simon, ces misérables Thénardiers du réel, le contraindront sous des pluies de gifles, à jurer, à blasphémer, à renier son origine, à coiffer l’affreux bonnet rouge, à se gorger d’un vin « de même couleur pour lui faire chanter la Carmagnole[27] ». Sous la perpétuelle menace de la guillotine, le duo de l’horreur plongeait l’enfant dans un abîme de terreur.

« Au printemps 1795, il n’était plus seul dans ce cachot. Chaque soir, toujours au même endroit de la cellule éclairée par la lumière provenant de l’antichambre, venait se blottir une souris grise. Sa présence était comme sa raison d’être. Chaque soir, il l’attendait. Loin d’effrayer le jeune prisonnier, elle partageait son repas du soir. En dehors de ce moment privilégié, l’avenir n’était assuré que par quelques bruits d’autres rongeurs, dans le silence des murs. Il ne quitta cette cellule que peu avant sa mort, lorsqu’il fut transféré dans le salon occupé par sa famille, dans la prison du Temple, avant son incarcération[28] ».

L’enfant-Roi succomba au manque d’hygiène, aux conditions inhumaines de sa détention, aux traitements terrifiants que la république lui infligea jusqu’à ce que, victime des tortures subies tout au long de ses années de détention sans jugement aucun, il ne meure lui aussi, comme ses parents.

Il sera enterré dans l’anonymat.

République, avant de te draper dans les linges de l’offuscation et de penser à condamner, avec la plus grande vigueur, qui que ce soit, rappelle-toi des crimes et des atrocités que tu as commis !

Souviens-toi de ces familles, de ces enfants, de ces femmes et de ces hommes que tu as torturés et massacrés !

Du génocide franco-français que tu as osé perpétrer sur notre sol !

Et dis-toi que, si cette gifle qui n’aurait pas dû être donnée à cet homme qui te représente parce que c’est un homme, s’il ne s’agit pas d’« aller chez lui en passant par les chiottes et par les tuyaux et lui péter la gueule », toi, république, en tant que régime, tu ne mérites que de disparaître. En raison des crimes que tu as commis. 

Comme avant toi, le nazisme, le maoïsme, le communisme et toutes les dictatures que tu as inspirées, auxquelles tu as servi de monstrueux modèle et dont la liste interminable de ceux qui sont morts par elles et par toi, en dépit de tes mensonges, est inscrite au fronton étoilé du ciel des innocents, sont morts.

Et sois certaine alors que, dans ta tombe, les yeux des millions de tes victimes françaises te regarderont…

Paix à l’âme de la Famille Royale, de touts les Français morts par la République, de cet aïeul qui attendit pendant soixante-douze heures à la Conciergerie, son exécution.

ET VIVE LE ROI !

François des Millets


[1] E. VEAUVY et R. CHARBONNIER, Emmanuel Macron réagit après la gifle : « Ne laissons pas des individus ultra-violents prendre possession du débat public. Ils ne le méritent pas, Le Dauphiné, 08 juin 2021.

[2] L’homme qui a giflé Emmanuel Macron condamné à dix-huit mois , de prison dont quatre ferme, Le Monde, 10 juin 2021.

[3] T. SELLIEZ, Emmanuel Macron giflé : les réactions dans le Gard, France Bleu Gard Lozère. 8 juin 2021.

[4] M. DARNAULT et J. DELAGE, Macron giflé : revivez la comparution de Damien T., condamné à 4 mois de prison ferme, Libération, 10 juin 2021.

[5] L’homme qui a giflé Emmanuel Macron condamné à dix-huit mois de prison dont quatre ferme, Le Monde, 10 juin 2021.

[6] Margot Madesclaire (@MargotMades) June 10, 2021.

[7] T. HAMON, E. HUCHARD, Emmanuel Macron giflé : les réactions de la classe politique,  CNews, 08/06/2021.

[8] T. HAMON, E. HUCHARD, Emmanuel Macron giflé : les réactions de la classe politique,  CNews, 08/06/2021.

[9] T. SELLIEZ, Emmanuel Macron giflé : les réactions dans le Gard, France Bleu Gard Lozère. 8 juin 2021.

[10] Marine Le Pen (@MLP_officiel) June 8, 2021.

[11] Xavier Bertrand (@xavierbertrand) June 8, 2021

[12] T. HAMON, E. HUCHARD, Emmanuel Macron giflé : les réactions de la classe politique,  CNews, 08/06/2021.

[13] Affaire Tapie : Éric Woerth mis en examen pour un avantage fiscal contesté, LCI, 5 juillet 2021.

[14] Emmanuel Macron giflé : les réactions politiques, LCI, 8 juin 2021.

[15] Najat Vallaud-Belkacem (@najatvb) Juin 8, 2021.

[16] Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) Juin 8, 2021

[17] M. de ROBESPIERRRE, Discours sur le procès de Louis XVI, Le Moniteur, n° 340 du 5 décembre 1792, p. 1441.

[18] Anne ROLLAND-BOULESTREAU, Résonance d’une « perversion » : tanner la peau humaine en Vendée militaire (1793-1794), Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest, 120-1 | 2013, 163-182.

[19] KETSCHENDORF, K. de, Archives judiciaires : Recueil complet des discussions législatives … résultant des grands procès politique jugés en France de 1792 à 1840, Bruxelles & Liège Librairie polytechnique de Decq, 1869, p. 213.

[20] L. CERF, La violation des tombeaux royaux, Historia, 11 mars 2019. https://www.historia.fr/historia-vintage/la-violation-des-tombeaux-royaux-par-le-docteur-l%C3%A9on-cerf

[21] Revue des questions historiques, 1889, p. 190.

[22] https://www.chateauversailles.fr/decouvrir/histoire/grands-personnages/louis-xvii

[23] L. DANDRIEU, Les morts mystérieuses : 6. Louis XVII ou l’indicible martyre, Valeurs actuelles, 19 août 2010.

[24] Louis XVII : le calvaire d’un Dauphin de France, https://www.curieuseshistoires.net/louis-xvii-calvaire-dun-dauphin-de-france/.

[25] L. DANDRIEU, Les morts mystérieuses : 6. Louis XVII ou l’indicible martyre, Valeurs actuelles, 19 août 2010.

[26] Louis XVII : le calvaire d’un Dauphin de France, https://www.curieuseshistoires.net/louis-xvii-calvaire-dun-dauphin-de-france/.

[27] L. DANDRIEU, Les morts mystérieuses : 6. Louis XVII ou l’indicible martyre, Valeurs actuelles, 19 août 2010.

[28] Louis XVII : le calvaire d’un Dauphin de France, https://www.curieuseshistoires.net/louis-xvii-calvaire-dun-dauphin-de-france/.

Une réflexion sur “Entre giflette et génocide, par François des Millets

  • Le cri de la chouette

    Se remémorer, de temps en temps, le martyre de la Vendée est du meilleur effet pour les légitimistes. Mais honorer ladite Vendée c’est autre chose, ce fut déjà le cas à la Restauration et c’est toujours le cas aujourd’hui. Notre roi est allé à Ste Anne d’Auray mais il n’est jamais venu parmi les Vendéens, la chapelle des Lucs sur Boulogne est elle trop humble ? Notre territoire est-il toujours trop crotté ?

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