Politique

De « Soumission » à la réalité : l’islam se prépare à prendre le pouvoir

Dans son dernier roman « Soumission » paru le 7 janvier 2014, Michel Houellebecq nous prédit une France gouvernée dans quelque temps par des musulmans avec toutes les conséquences que l’islamisation de notre pays aura sur notre quotidien et sur l’avenir de nos enfants. Qu’on apprécie ou non l’auteur n’est pas la question, mais la lecture de ce livre, pas si fable que cela, nous plonge dans une réalité qui est en train de se concrétiser avec un parti musulman aux élections départementales dans toutes les grandes villes de France.  

Alors pour qui regrette la « fin du patriarcat », la « féminisation de la société » et « la reconnaissance des droits des homosexuels » : l’islam ne demande qu’à vous faire entrer dans sa toile d’araignée géante. Il vous faut embrasser cette religion qui permet d’avoir et de dominer plusieurs femmes (voilées), de retrouver son pouvoir priapique, d’imposer sa vision binaire du monde… ces affirmations semblent si terrifiantes qu’on en a la chair de poule et des hauts-le-cœur.

Depuis des décennies, les catholiques, « souvent faibles et enfermés dans une ascèse théologie inutile », et les athées et les autres, les gens « ordinaires » qui côtoient la réalité dans les rues, et non en profitant, sans se poser de question, des ors de la république au sénat, à l’assemblée nationale et autres lieux prestigieux que la France met à la disposition de ses élus, grâce aux vestiges laissés par la royauté, n’ont cessé de mettre en garde contre la montée de l’islam. Les gens « ordinaires », dont je fais partie, côtoient tous les jours la réalité. Sans pouvoir se faire entendre : il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

Et pourtant, nous voilà au pied du mur : un parti musulman, l’Union des Démocrates Musulmans de France (UDMF près de 900 adhérents et 8.000 sympathisants) va présenter plusieurs candidats aux élections départementales, notamment à Bobigny, seule mairie de France où siège un élu UDMF. Née en novembre 2012, « cette jeune formation va présenter des candidats à Marseille, Nice, Strasbourg, Avion près de Lens (Nord-Pas-de-Calais) et dans la banlieue lyonnaise », a précisé Nagib Azergui à l’AFP.

Nagib Azergui, qui a grandi à Nanterre, près des bidonvilles, estime que les Français de confession musulmane ne se reconnaissent pas dans l’offre politique actuelle et veulent «sortir du bipartisme». Et d’ajouter : «Il y a une place pour ce parti», entre la droite, coupable de «discrimination», et la gauche, rejetée pour son «instrumentalisation» du vote arabo-musulman. Ce parti se veut non confessionnel, à l’instar du parti chrétien-démocrate de Christine Boutin, dont il prétend suivre l’exemple. Étant donné les résultats obtenus par ce parti, on pourrait ne pas s’inquiéter, mais la menace est plus que réelle depuis qu’Internet permet toutes les audaces et toutes les ambitions.

Les grandes lignes de son programme devraient inquiéter les Français et leurs élus politiques, supposés les défendre, en tout cas les représenter pour le meilleur et non le pire. Le vote des étrangers aux élections locales, l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, l’autorisation du port du voile à l’école, le rétablissement dans les livres d’histoire des épisodes tragiques de la guerre d’Algérie et de la colonisation, l’apprentissage de la langue arable, et autres droits tout aussi effroyablement apparents,  sont à l’ordre du jour. En vue des élections des 22 et 29 mars, l’UDMF a présenté dans le canton de Bobigny Khalid Majid, 36 ans, cadre commercial à la SNCF, et Schérazade Benhaddad, 34 ans, une militante associative et secrétaire de la section locale du parti.

Pour propager leurs convictions et grossir le nombre de leurs sympathisants, Internet est le moyen le plus simple à utiliser. C’est gratuit et ça s’infiltre naturellement dans tous les foyers. «Aujourd’hui, dans un contexte dramatique comme celui que nous connaissons, nous avons davantage besoin d’entendre nos voix trop longtemps noyées dans le silence» explique M. Majid dans sa profession de foi, publiée sur internet. «C’est un combat essentiel pour lutter contre les stigmatisations et amalgames dangereux qui associent terrorisme et islam».

Il parait qu’entre les mots « islam » et « islamisation », il ne faudrait pas tout confondre. L’islam est la 3ème religion monothéiste après le judaïsme et le christianisme, une religion que l’on veut nous faire admettre comme tolérante, alors que le mot « amour » ne figure pas une seule fois dans le Coran, un texte qui devrait avoir beaucoup de mal à évoluer. Quand on pense que le porc est interdit (c’était valable au temps où n’existaient pas les frigidaires et les congélateurs) mais surtout que l’abattage des bêtes se réalise selon un rite d’une telle barbarie qu’il n’est pas possible de manger Hallal sans entendre le hurlement des bêtes que l’on égorge en direction de la Mecque. Le pire concerne les hommes qui arrivent au paradis d’Allah où 72 Houris, donc des jeunes femmes éternellement jeunes et belles, les attendent et retrouveront leur virginité après l’acte sexuel.

Qu’en est-il du nombre réel de musulmans en France ? La communauté musulmane en France métropolitaine est supérieure à 6 millions de personnes et inférieure à 9 millions. Le nombre de musulmans “actifs” s’établit entre 2,5 et 4 millions. Impossible de déterminer le nombre de musulmans tentés par l’islamisme radical et encore moins celui des membres prêts à passer à l’action qui sont probablement plusieurs milliers, y compris les convertis,  mais sans doute guère plus.

Les musulmans avançaient hier masqués. Aujourd’hui, ils se regroupent dans un parti politique, et si rien n’est fait, la France chrétienne va terminer sa vie au fond d’une cour d’école, égorgée par les musulmans radicaux, qui brandiront sa tête, comme hier les révolutionnaires promenaient les têtes de leurs victimes au bout d’une pique. Mais ne désespérons pas. En France, la création de parti est une activité libre. Sur le plan juridique, c’est une association qui dépend de la loi 1901 et qui ne nécessite donc pas d’autorisation particulière pour exister. L’État peut en revanche dissoudre (par décret en Conseil des ministres ou décision du tribunal de grande instance) toute association, et donc un parti, si elle a été créée «en vue d’une cause ou d’un objet illicite, contraire aux lois, aux bonnes mœurs, ou qui aurait pour but de porter atteinte à l’intégrité du territoire national et à la forme républicaine du gouvernement». De très bons juristes devraient pouvoir défendre notre identité chrétienne, même si les ministres sont franc-maçons, donc de gauche, anticléricaux, athées et soucieux de préserver le nombre de leurs électeurs.

Français, réveillez-vous, l’application des règles du Coran ne vous épargnera pas et qu’on n’essaie pas de nous faire croire que ce Livre est inoffensif. Pour les universitaires, qui pensent, réfléchissent, oui, mais c’est une toute petite minorité, pas pour les autres, la majorité…

Solange Strimon

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