L’occasion de la guerre civile ?

Même si on vivait sur une île déserte on ne pourrait pas ne pas savoir que des gens courent derrière un ballon dans le désert climatisé aux prix des « travailleurs » traditionnels du lieu – les néo-esclaves, dans une pure tradition millénaire des humanistes musulmans – en arborant les « couleurs » nationalistes révolutionnaires…

Quel ennui… Les (très) rares souvenirs de coupe du monde remonte à 1998 ou 2006, dans la moiteur de l’été… pour de l’argent cela ne dérange de diffuser dans les froides nuits hivernales depuis un désert étouffant, mais climatisé… Allez savoir.

Il semble que pour se réchauffer dans la vieille Europe, les marocains, tellement heureux d’être qualifié, brûlent un peu tout ce qui passe sous leur main, et expriment leur joie en donnant de chaleureux « pains », avec ce’ qu’on trouve comme objets contondants sur place, au tout venant.

Chaque phase de qualification fait exploser les émeutes dans la République…

La « France », paraît-il, est favorite… Tout est bradé, alors au moins il reste les gens qui courent derrière un ballon, et qui viennent de nos anciennes colonies – et toutes nos anciennes colonies viennent sur l’invitation de la Raie Publique dans la métropole d’ailleurs…

A ce rythme, imaginez le scénario : les marocains gagnent la demi-finale.

Émeutes généralisées en France, et joies barbares – disons footeuses – péniblement contenues par ce qui reste des « forces de l’ordre » non décédés par suicide, ou non agressés par les gens qu’ils arrêtent mais relâchés le lendemain…

Et… la France en demi-finale… contre le Maroc….


Que pourrait-il bien se passer ?

On imagine les maffieux quataris transiger avec le pourri président de la République en discussion avec l’émir du Maroc pour réfléchir qui faire gagner – moyennant paiement sous la table à qui veut, soit l’arbitre, soit les joueurs, soit tout le monde – pour éviter l’explosion en « France » et la conservation des prébendes républicaines – car le désordre ne les inquiète qu’autant que cela pourrait menacer leurs prébendes…

Pas évident comme dilemme : dans tous les cas on se demande comment éviter les combats de rue.

La France doit perdre. Car un Maroc joyeux brûlera et tuera, mais s’arrêtera là certainement, alors qu’une France perdante ne saura que baisser la tête et se laisser brûler et tuer, pour éviter de crever l’abcès.

Sauf à compter les autres « français », algériens et tunisiens, qui pour l’occasion pourrait se revendiquer français pour se venger de ces sales marocains qui les ont vaincus sur la pelouse verte qui ne pousse pas dans leur pays…

Et si la France gagne…

Qui sait, le départ de la guerre civile a peut-être trouver son occasion…

Avec les bateaux et les violeurs partout,espérons que chacun garde son arme hérité de ses aïeuls pas trop loin…

(Toute ressemblance avec des faits réels est fortuite évidemment)

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France

Antoine Michel

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.