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Le Moyen-Âge est bien plus avancé que nous !

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(écrit avant le 16 mars, complété le 24 mars)

La débandade internationale devant la terreur incontrôlée de la menace microbiologique apparaîtra certainement cocasse aux historiens futurs, du moins pour les faits s’étant déroulés jusqu’à maintenant.

Imaginez : presque toutes les sociétés mondiales désorganisées de fond en comble et mises à genoux par une terreur incontrôlée qui provient avant tout de l’incurie médiatique et politique.

« Gouvernants » incapables de gouverner, si ce n’est à coup de mesures totalitaires ne faisant que montrer leur incurie – on le savait depuis longtemps, mais là, les conséquences de la gabegie démocratique et libérale sautent tellement aux yeux. Les politiciens – car ils ne sont rien d’autre, et certainement ni des chefs, ni des gouvernants, ni des politiques, ni des hommes d’Etat…- sont incapables de prendre de véritables décisions, et toujours à contre-temps et contre tout bon sens : comme s’ils faisaient tout, avec les médias en prime, pour augmenter la peur en cascade. Et quand il est trop tard, on prend des mesures radicales qui exposent bien toute leur imprévoyance, ainsi que la gabegie de l’état à tous les niveaux – gabegie qui tue, car si tout le monde ne peut pas être soigné c’est bien dû à de mauvaises politiques qui durent depuis trop longtemps.

Un peu comme dans ce sketch des Monthy Python, ou des pilotes facétieux font une annonce inopinée durant un vol : « Ne vous inquiétez pas, les réacteurs ne sont pas en feu ». Alors pourquoi le dire ? Vous voyez le tableau… Ça c’était avant. Maintenant, c’est débandade. Enfin, dans la réalité, les politiciens ne sont pas facétieux, ils sont dépassés quand ils ne sont pas malintentionnés. Certains mondialistes doivent bien se mordre les doigts à l’heure qu’il est.

En fin de compte : une situation qui aura des conséquences socio-économiques très importantes au niveau mondial, et dont les premières victimes seront les petites gens, comme toujours, et tous ceux qui n’ont pas leurs arrières bien protégées…

Et tout cela pour quelques dizaines de milliers de morts dans le monde entier… Si l’épidémie devait par malheur devenir véritablement grave, on se demande si les gens n’en viendraient pas à s’entre-tuer, vue la situation tendue alors qu’elle ne devrait pas le mériter tant que cela.

Quand on pense qu’il est de bon ton partout, et à commencer à l’école, de se moquer de notre bon « moyen-âge » – mot fabriqué au 19e siècle et désignant plus de 1000 ans, et sans aucun sens à part celui de créer un mythe, comme tout le monde le sait -, on rigole !

La situation à l’époque pouvait être autrement plus difficile, en particulier si nous considérons le XIVe siècle, le mini-âge glaciaire, la guerre de cent ans et son lot de brigands et les pestes. La peste, ce n’est pas du même niveau que le petit corona : les morts étaient vraiment nombreux, parfois un tier voire la moitié de la population, sans distinction d’âge et de sexe, et le tout avec des symptômes autrement impressionnant et repoussant.

Sans compter la faim, les guerres et un banditisme larvaire – avec de grandes pauses évidemment dans le siècle, ainsi qu’une variation géographique importante, avec des lieux complétement épargnés et n’ayant subi aucun catastrophe (féodalité oblige, les pays étaient compartimentés, et une crise, aussi sévère pouvait-elle être, restait presque tout le temps confinée à une aire géographique limitée, à la différence de notre chère mondialisation qui rend toute crise mondiale en un clin d’œil (merci le progrès !).

Au-delà de ces faits, le plus frappant consiste dans la résistance et la force de la société médiévale, qui ne s’est pas écroulée malgré des épreuves autrement plus importantes que les nôtres : nous passons, à côté de nos aînés, pour des fillettes chochottes ridicules qui crions à la mort pour une ampoule au pied, là où nos ancêtres gardaient les dents fermés et avançaient malgré l’amputation de leurs deux jambes et d’un bras…

Ne parlons même pas de la piété de nos ancêtres… Je ne veux pas rendre trop ridicule nos chers pasteurs « à la foi si ardente » qu’ils inventent le concept de messe publique et privée, de vidage des bénitiers et d’abandon de tout courage.

Si seulement nous retrouvions ne serait-ce que le centième du caractère, de la force, de la foi de nos ancêtres, quelles grandes choses pourrions-nous faire, dans ce monde où, depuis quelques décennies au moins, tout est si facile !

Le vrai sens de la restauration se trouve dans la réappropriation, la restauration, de la foi, du sens commun naturel, de la force d’antan : nous avons perdu peut-être beaucoup de patrimoine culturel, intellectuel et coutumier, mais nous pouvons bien facilement restaurer l’esprit chrétien et royal, cela ne demande qu’une franche conversion nourrie dans la foi au Christ et dansla fidélité au Roi.

Alors, pourquoi attendre, convertissez-vous !

Pour Dieu, pour le Roi, pour la France,

Antoine Michel

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