Doit-on soutenir les « flics » et autres forces de l’ordre ?, par Antoine Michel
Je sais que cet article va choquer, mais je le dis tout net : nous n’avons pas à soutenir les forces armées de la République qui nous gazent, qui nous persécutent, qui nous crèvent les yeux, si ce n’est pire, depuis des années.
Ces policiers et autres forces de « l’ordre » (républicain, donc du désordre) sont, individuellement, certainement de bonne volonté et ils ne savent pas vraiment qu’ils sont l’instrument de Lucifer par son lieutenant sur terre, le président de la République, qu’il investit par son suppôt, le chaos constant, qui se nomme « démocratie » et « volonté générale ».
Cela ne change rien aux faits : ces forces de l’ordre sont les gardiens du désordre intrinsèque de la République, et ils sont nos ennemis structurellement, tant qu’ils ne viennent pas aux pieds du roi.
Alors qu’ils ne s’étonnent pas de prendre « cher » avec les immigrants : ils n’ont que la monnaie de leur pièce ! A force d’obéir à des ordres injustes en persécutant les bons français, à forces de compromis et de lâchetés, il est juste normal et logique qu’ils soient les victimes de leur propre incurie.
Les policiers devraient juste se rebeller contre la République tout de suite, pour régler la cause de leurs maux.
Mais nous, tant qu’ils ne renient pas leur affiliation républicaine en tant que corps (et pas en tant qu’individus), il ne faut pas les soutenir : car soutenir l’instrument, c’est approuver la main qui les tient, la République !
Donc disons-le : bien fait, et que cela leur permette de se réveiller enfin. Comme quoi, leurs crimes de nous avoir gazé, arrêté, mis en garde à vue et crevé des yeux, entre autres, sont vengés par la Providence dans l’usage inattendu d’un instrument exogène à la France… (on ne lâche rien, jamais, jamais, jamais) Et qu’ils ne s’en plaignent pas : ils sont solidaires des crimes en tant qu’ils sont commis en tant que corps, puisque tous ces ordres injustes sont justement des ordres systématiques, et non pas des « péchés » individuels commis en dehors ou dans l’abus de leurs prérogatives, donc tout le corps des policiers et autres forces de « l’ordre » sont solidairement coupables de ces crimes, il est logique que cela retombe sur eux d’une façon ou d’une autre.
Il ne faut évidemment jamais, en tant que chrétien, chercher à se faire vengeance soi-même : la vengeance appartient à Dieu. Mais quand Dieu nous venge, nous avons le devoir de le constater, et de souligner que c’est un appel à la conversion.
Prions pour eux, mais ne les soutenons pas dans leurs mauvaises actions.
Pour Dieu, pour le Roi, pour la France
Antoine Michel