Divers

[Point de vue] La guerre environnementale

Voilà des années que l’on entend dire que le climat est détraqué, que l’on n’a plus les saisons d’antan, etc. Le dicton populaire « Il n’y a pas de fumée sans feu » nous avertit-il d’une réalité que nous n’osons pas entrevoir ? Notre esprit oscille entre deux explications. La plus courante, celle que les media ne cessent de nous rabâcher, est que c’est la pollution introduite par les activités de l’homme qui influe sur le climat. L’autre, c’est qu’il s’agirait d’une autre pollution, provoquée délibérément dans des buts peu louables…

Commençons par nous rappeler ce qu’on nous enseignait à l’école, à savoir que les changements de climat, qui se sont produits à plusieurs reprises depuis la création de la terre, sont des phénomènes lents, qui s’étalent sur des décennies, voire des siècles. Ceci tend à confirmer l’idée d’une intervention humaine.

Cependant, il est prouvé que les multiples déclarations pseudo-officielles du GIEC – ce comité soi-disant scientifique sur lequel s’appuient les media pour authentifier la thèse officielle sur le dérèglement climatique – n’ont en fait rien de scientifique et ne sont que de la propagande malhonnête destinée à justifier la nécessité du gouvernement mondial qu’on veut nous imposer. Prenons un exemple : comment se fait-il que les media nous matraquent avec la fonte de la calotte glacière dans l’hémisphère Nord, et qu’il n’en est rien dans l’Antarctique ? La raison est simple. Il suffit de regarder la photo ci-jointe : en réalité, la calotte glacière est découpée au laser par un avion qui procède comme on laboure un champ, très méthodiquement. Tapez « banquise découpée au laser » sur Google et vous verrez la vidéo correspondante.

Reste donc la deuxième explication, l’intervention humaine… voyons ce qu’il en est.

Selon les informations recueillies auprès d’Irène Sauty de Chalon de l’ACSEIPICA, dès 1905,  le génial inventeur Tesla avait traité de façon pratique de la maîtrise du climat par l’électricité ; ses brevets qui permettent de transmettre des quantités illimitées d’énergie électrique  n’importe où sur terre ont servi à des fins hégémoniques pour produire des phénomènes météorologiques dirigés.

Le système repose sur des champs TBF (très basse fréquence) à haute tension dans l’ionosphère, sur l’échauffement de la calotte glaciaire et sur la production sélective de la foudre à n’importe quel endroit de la planète…Dès 1977, les super puissances ont la maîtrise du fameux « rayon de la mort », le canon à plasma…

Rappelons que la guerre environnementale définie comme « la modification intentionnelle d’un système écologique naturel dans le but de causer des destructions » est interdite par les lois internationales depuis 1977, date de l’approbation par les Nations Unies de la Convention contre les modifications climatiques (ENMOD).

Cette même année, le président américain Carter dévoilait les détails d’un projet ultra secret du Pentagone dont le nom de code était Noah’s Ark (l’arche de Noé), un réseau de bunkers sur terre et dans l’espace destiné à recevoir des hauts fonctionnaires-clés en cas de guerre nucléaire….mais nul besoin d’être un exégète biblique pour savoir que ce nom concerne une guerre météorologique et non pas atomique….

«  De Carthage à l’Irak via le Vietnam, on détruit la nature pour anéantir l’ennemi. Et s’anéantir soi-même ». Cette déclaration du général Fabio Mini est le préambule d’un long article intitulé « La guerre environnementale  globale a déjà commencé » (http://www.acseipica.fr).

Beaucoup de gens pensent que, depuis la chute du communisme et la fin de la guerre froide, il n’y a plus de risques de guerre, tout au moins à l’échelle mondiale. C’est oublier le camp mondialiste, qui s’est fixé comme objectif de réduire la population mondiale à cinq cent millions d’habitants ! Voici ce qu’écrit Claire Séverac, dans son livre « La guerre secrète contre les peuples » (Kontre Kulture, 2015) :

« Dans la famille des savants fous, John Hodren, conseiller d’Obama dans le domaine des sciences et des technologies, (…) a déclaré plusieurs fois dans ses communiqués être pour la géo-ingénierie (ndr : c’est-à-dire la manipulation du climat par des procédés techniques). (…) Mais personne n’a oublié le livre « Ecoscience – Population, Resources, Environment », publié en 1977 et également coécrit par Anne H. Ehrlich et Paul R. Ehrlich, dans lequel il dit que la population mondiale optimale est de un milliard. (…) Il parle d’un gouvernement supranational qui déciderait de la population maximale pour le monde, et par région. »

La manipulation du climat par les épandages aériens de nanoparticules d’aluminium et de baryum (ce dernier permet par ses propriétés de conductivité électromagnétique de transporter le spectre basse fréquence sur une onde porteuse de haute fréquence) est  devenue une question de sécurité nationale.

L’auteur de ces lignes en a été témoin cet été. Vous savez, quand vous voyez dans le ciel la traînée blanchâtre provoquée par le passage d’un avion supersonique, vous constatez 1) qu’elle est relativement courte ; 2) qu’elle s’efface assez rapidement. Or, il a vu dans le ciel alpin, lors d’une randonnée, plusieurs traînées blanchâtres, les unes relativement parallèles, d’autres transversales à celles-ci, qui restaient visibles pendant quinze à vingt minutes. Ce ne pouvait être des avions commerciaux, d’une part parce qu’ils ne suivent pas la même trajectoire à quelques minutes d’intervalle, d’autre part parce qu’en un point donné du ciel, il est assez étonnant de voir des avions volant dans des directions très différentes. Ces traînées blanchâtres ne pouvaient être que des épandages criminels !

Contrôler le climat implique de contrôler l’information sur le climat. En ce sens, la manipulation du climat est synonyme de climat de manipulation : aux Etats-Unis, toute une propagande a été mise en œuvre pour faire croire que le réchauffement global est dû au CO2, susceptible d’être taxé… Les nouveaux « nuages » ont fait l’objet d’une nouvelle nomenclature.

Si, à l’instar de Tesla, l’on considère la planète comme une sphère de fluide électrique, on peut comprendre comment un circuit résonnant utilisant la Terre comme conducteur peut générer de très hautes tensions aux antipodes d’un émetteur quelconque.

Par exemple, les Etats Unis qui financent un puissant émetteur TBF en Australie (Pine Gap) contrôlent de fait la zone qui se trouve à l’antipode de la station d’émission, en l’occurrence, le Triangle des Bermudes, théâtre de phénomènes étranges…et ainsi de suite…

Pour la France, les deux tempêtes de 1999 pourraient être une mesure de rétorsion climatique suite à l’opposition française aux OGM et au Traité de l’A M I.

Une guerre de moins en moins secrète… pour qui ouvre les yeux

Les épandages chimiques sont pratiqués depuis longtemps dans nombre de pays. Les matières émises, principalement à base de particules d’aluminium et de baryum, ont pour objet de tuer l’homme et la nature, mais en les faisant mourir lentement, de manière à ce que cela ne se remarque pas. En ce qui concerne la France, ils ont démarré en 2002.

Comment se protéger contre tout cela ? Cela ne sera malheureusement possible que lorsque le camp du Bien, dont la Russie est l’un des principaux moteurs, aura vaincu le camp du Mal, c’est-à-dire le mondialisme, dont la triade Etats-Unis – Grande Bretagne – Israël est le meneur politique et le cartel des grandes banques internationales le meneur financier. La France doit donc choisir l’Alliance avec la Russie contre les Etats-Unis, ce qui implique, comme première étape, de sortir complètement de l’OTAN.

Dans un prochain article, nous vous parlerons du système “HAARP”, un sigle dont la traduction  française est « Programme de Recherche Active sur les Hautes fréquences aurorales ». Un sinistre programme…

Georges Tartaret

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.