Chretienté/christianophobiePolitiqueVie des royalistes

Le bois desséché enflammé par la Foi !

Le bois desséché par la révolution mortifère va s’enflammer sous le feu de la restauration !

Notre bon roi Louis XX a produit un discours historique le 30 mars dernier au congrès des familles à Vérone.

À lire, relire et relire encore. ICI. (https://urlz.fr/9kFF?fbclid=IwAR1gJmL3UHVIOnZW9p4vcu3-6meydWK5sA70L7h7Rxb1r9pAqMERmmKT47g)

Une page se tourne. La révolution est morte (ou plutôt la révolution mortifère qui est la mort arrive à sa conclusion inéluctable, sa propre mort). Il suffit d’ouvrir les yeux pour constater les dégâts faits sur ces deux derniers siècles. C’est évident, c’est affligeant.

Mais la Providence fait bien la chose, elle nous fait prendre conscience de l’absurdité des illusions contre-nature de toutes ces idéologies qui refusent la réalité, notre nature et l’ordre naturel.

Quelle vaccination ! La jeune génération voit toutes les conséquences, et il devient de plus en plus difficile de nier la réalité qui crève les yeux. La jeune génération en subit les conséquences au jour le jour. La Providence fait bien les choses, et comme toujours utilise l’Ennemi pour un plus grand bien.

La déconstruction opérée par les révolutionnaires arrive à ses ultimes conséquences : nous avons les chances de n’avoir plus que l’essentiel sur lequel nous concentrer. La Foi, la famille, les vérités. Trop a été détruit, il ne nous reste plus qu’à construire sainement et saintement, et ainsi de passer d’une attitude défensive qui subit, à celle conquérante. La jeune génération a été élevé dans une défiance de toutes les autorités : cela nous a permis de retrouver les autorités nécessaires de Dieu et du roi, et de retrouver le sens véritable de l’obéissance qui respecte l’ordre. Toujours le respect de ses pères, de ses parents, des autorités, mais une inflexibilité et une intransigeance absolue contre toute injustice et erreur. « Une loi injuste n’est pas une loi ». Un ordre injuste ne doit pas être exécuté.

Oui, nous reconnaissons et nous nous humilions devant les autorités instituées par Dieu (là où la révolution les niait dans leur existence même) mais nous nous refuserons toujours d’aller contre la Foi, contre la justice, contre la charité (là où la révolution exigence une obéissance aveugle, indigne même de l’esclave).

Bonne Providence : tu as desséché ce pays pour en faire un bois si sec que Ta Foi ne demande qu’à l’effleurer pour qu’il s’embrase comme il ne s’est jamais embrasé.

Et la restauration arrive.

Une page se tourne, notre bon Roi nous montre la voie.

Deo Gratias ! Te Deum. Deo Gratias !

La justice et l’autorité se rencontrent à nouveau pleinement.

Écoutons le Roi et préparons-nous.

Enfin la révolution à la poubelle.

Quel discours ! Tout est dit de façon concise. Un exemple pour nous tous. Un exemple pour nos pasteurs. Et incarné par sa propre famille, il nous montre la voie : croissez et multipliez-vous.

Il relaie la sagesse des anciens.

Au plaisir de Dieu.

Que la volonté de Dieu soit faite.

Pour finir, faisons appel à Saint Louis, que notre bon Roi invoque naturellement :

« Dieu notre Père, nous te rendons grâce pour les merveilles que tu as accomplies en Saint Louis, à qui nous demandons d’intercéder pour nous et pour la France. Saint Louis, toi qui considérais ton baptême comme le plus grand don reçu, ravive en nous le désir de vivre en enfants de Dieu. Toi qui méditais chaque jour la Parole de Dieu, aide-nous à retenir les enseignements de la Passion de Jésus et à offrir notre vie par amour. Toi qui compris en ta jeunesse l’horreur du péché, aide les jeunes à grandir dans la droiture et la fidélité. Toi qui fus un époux et un père très aimant, aide nos familles à être ferment d’unité pour notre monde. Toi qui servis les pauvres, qui cherchas la justice et la paix, ouvre nos cœurs aux petits et viens en aide à nos dirigeants. Seigneur, à l’exemple et à l’intercession de Saint Louis, accorde-nous de prendre en pèlerin chacune de nos décisions de la terre, en ayant en vue la vie du ciel. Amen ! »

La politique c’est maintenant et chacun dans nos positions et nos devoirs, en famille, dans les œuvres, dans les prières.

L’intendance suivra.

Les institutions suivront.

Le Christ Roi reprend sa place. Le lieutenant de Dieu lui fraie la voie sur terre, que son vicaire l’aide à sanctifier ses œuvres.

Vive le Roi !

Antoine Michel

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.