Vie des royalistes

Rappel : Les Mercredis de l’IDA – Conférence du mercredi 30 octobre 2013

 

L’Institut duc d’Anjou, Vexilla Galliae et le Centre d’Etudes Historique sont heureux de vous convier à la conférence du

 

Mercredi 30 octobre 2013 à 20h00

  

Mémoires et correspondance de l’abbé Edgeworth de Firmont*

avec le révérend père Augustin Pic op

et avec la présence du prince Louis de Bourbon, chef de la Maison Royale de France 

 
Maison des ingénieurs ETP
15, Rue Cortambert
75016 Paris
 
Métro : ligne 6 ou 9 Trocadéro ou Rue de la pompe
RER : Boulainvilliers
Bus: 63, 32, 22
Voiture : Parking possible au 78 rue de Passy – 75116 Paris
 
Participation aux frais : 7 euros ou 5 euros (ecclésiastiques, étudiants, chômeurs)
 
Contact : secgal@institutducdanjou.fr
 
*Les brefs mémoires et correspondance de l’abbé Edgeworth de Firmont, ultime confesseur de Louis XVI, ont été publiés sous la Restauration, presque huit ans après sa mort. L’essentiel en a été repris en Angleterre, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, dans une petite monographie traduite en France à l’occasion du bicentenaire de la Révolution. Ces textes et cette étude n’avaient toutefois donné lieu à aucune approche historique de fond. La découverte d’une trentaine de lettres manuscrites, aussi intéressantes sur la vie et l’esprit de leur auteur qu’utiles pour vérifier l’authenticité des pièces imprimées en 1815 et 1818, la fameuse Relation des derniers instants du Roi surtout, en a donné l’occasion.
On trouvera donc ici réunis tous les écrits de l’abbé aujourd’hui accessibles, précédés d’un état des connaissances sur le personnage, ses réseaux de relations et amitiés en France, Irlande, Angleterre et ailleurs, son statut institutionnel dans l’Église de Paris pendant la crise révolutionnaire (historiquement douteux avant ces nouvelles lettres), son lien à la famille royale aux Tuileries puis au Temple, ses fonctions auprès de Louis XVIII émigré, ses convictions sur le rapport du politique et du religieux et sa physionomie spirituelle.
Cette première étude sur un homme dont le souvenir se réduit le plus souvent au 21 janvier 1793 et au célèbre « Fils de saint Louis, montez au ciel » qu’il aurait prononcé, permet aussi d’entrevoir quelques figures oubliées du clergé de l’Émigration.

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