Chretienté/christianophobie

Les étonnantes visions de Saint Nilus

Saint Nilus, ermite du Vème Siècle, s’était retiré dans la solitude pour prier pour le monde, qu’il estimait si perverti qu’il arrivait à penser que les temps de la terre étaient accomplis. C’était il y a plus de 1500 ans !
 

Mais, ce qu’il nous annonce, est le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui : ” Quand le temps de la venue de l’Antéchrist approchera, l’intelligence des hommes sera obscurcie par des passions charnelles, l’avilissement et la licence s’accentueront. Le monde deviendra alors méconnaissable. Les gens changeront d’apparence, il sera impossible de distinguer les hommes des femmes à cause de l’effronterie de leur manière de s’habiller et dans la mode de leurs cheveux.”

Sinistre similitude avec les moeurs d’aujourd’hui : ” Ces gens là seront cruels et comme des animaux sauvages à cause des tentations de l’Antéchrist. On ne respectera plus les parents et les aînés. L’Amour disparaîtra. Et les pasteurs chrétiens, évêques et prêtres, deviendront des hommes vains, complètement incapables de distinguer le chemin à droite du chemin à gauche. En ce temps-là, les lois morales et les traditions des chrétiens et de l’Eglise changeront. Les gens ne pratiqueront plus la modestie, et la dissipation régnera ! le mensonge et la cupidité atteindront de grandes proportions et malheur à ceux qui empileront des trésors! “


Et que dire sur cette sexualité débridée, annonciatrice de la théorie du genre : ” La luxure, l’adultère, l’homosexualité, les actions secrètes et le meurtre seront la règle de la Société .”

Saint Nilus, anachorète, docteur de l’Eglise, est originaire de l’Ancyre, en Galatie. Il reçut les leçons de Saint Chrysostome. Les honneurs et les richesses n’avaient aucun attrait pour son âme tout occupée de Dieu, et sa famille partageait ses pieux sentiments. Lui-même se retira dans le désert du Sinaï, où il pratiqua les exercices les plus parfaits de la vie monastique, partageant son temps entre la prière, l’étude et le travail des mains. Ce fut là qu’il composa les écrits parmi lesquels on remarqua surtout son vigoureux plaidoyer pour un retour à la pauvreté monastique par une apologie d’une vie de prière loin de l’agitation des cités.


Il s’était retiré dans la solitude pour prier pour le monde qu’il estimait si perverti, et ses oraisons furent gratifiées de quelques lumières particulières pour l’époque où les temps de la terre seraient accomplis…

Eric Muth

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